Portrait de groupe avec enfants et motocyclettes de Pierre-William Glenn, photographié par Jean-Jacques Bouhon, Philippe Vene, projection salle Bunuel à 20h30.
Et aussi...
Syrin, Ibrahim, Malo et tous les autres..., exposition de photographies de Gilles Porte, avec la participation de Juliette Robert, Château des mineurs - Mandelieu la Napoule.
Les films de fin d’études des élèves de la promotion 2009 de La fémis seront projetés à deux occasions dans le courant du mois d’octobre : - à la Cinémathèque française, les 8 et 9 octobre 2009 - en reprise à La fémis, les 13, 14, 15, 20, 21 et 22 octobre.
Programmes complets et horaires de ces deux présentations (et de lectures de scénarios), et plus particulièrement des travaux des élèves du département Image codirigé par Pierre-William Glenn, AFC, et Jean-Jacques Bouhon, AFC.
Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain, de Jean-Pierre Jeunet, photographié par Bruno Delbonnel AFC, ASC, a été élu au titre de la meilleure cinématographie de la décennie 1998-2008 lors d’un vote en ligne organisé récemment par l’American Cinematographer. « C’est un véritable honneur pour moi, surtout si l’on considère les titres des films en compétition », a souligné Bruno Delbonnel. « Il y a dans cette liste quelques uns des plus grands directeurs de la photo et je ne suis pas sûr de mériter d’être parmi eux, mais je suis très heureux d’en être. Ce sont tous des explorateurs. »
Cette grande soirée, séance finale des Fuji Tous Courts, est maintenant un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux du court métrage. C’est devant la salle comble du Cinéma des Cinéastes que nous avons été heureux de décerner le prix Fuji Awards 2010 au film Toute ma vie. Réalisé par Pierre Ferrière et photographié avec talent par David Quesemand, il a été plébiscité par un large public parmi les 5 films préalablement sélectionnés tout au long de l’année, lors des séances Fuji Tous Courts.
Comme chaque année au début de l’été, la ville de Bologne (Italie) redevient huit jours durant, et autant de nuits, le paradis des cinéphiles en projetant sur quatre écrans les derniers trésors des films " retrouvés " et restaurés. C’est l’occasion unique pour le millier de participants accrédités – et un large public – de découvertes et de rencontres autour de la projection de plus de 300 films. Ronald Boullet, directeur des restaurations numériques aux Laboratoires Eclair, qui a accompagné sur place une version restaurée de plusieurs films de Pierre Etaix, nous livre un compte rendu éclairé.
J’ai la tristesse de vous dire que j’ai bien lu dans votre texte "Pour sortir de l’impasse" (voir document joint) les propositions de différents niveaux d’application des Conventions collectives Cinéma selon les paliers de financements des films (de 1 à 6). J’avoue être stupéfait d’une telle régression néolibérale de la pensée !
Nous venons d’apprendre avec tristesse le décès du directeur de la photographie Edmond Richard, membre de l’AFC, survenu à Paris mardi 5 juin 2018, à l’âge de quatre-vingt-onze ans. Avec plus de cinquante films à son actif en cinquante ans de carrière, il aura partagé les univers visuels de cinéastes aussi différents que Marcel Carné, René Clément, Henri Verneuil, Jean Girault, Guy Casaril, Sébastien Japrisot, Robert Hossein, Gérad Pirès, sans oublier Orson Welles, Luis Buñuel et Jean-Pierre Mocky, auquel il sera resté fidèle pour une vingtaine de ses films.
Jean-Pierre a accompagné toute ma vie de chef opérateur, depuis la fin des années 1970 et ses entretiens passionnants aux Cahiers du Cinéma, puis avec sa caméra S16 mm pour les courts métrages et les documentaires, puis l’Aaton 35 mm, que j’ai utilisée sur presque tous mes films avant l’arrivée de la magnifique Penelope, qui reste ma caméra de prédilection.
Lorsqu’on interroge quelqu’un sur la carrière de Johnny Hallyday au cinéma, rares sont les personnes, même les fans, qui peuvent lister plus de cinq films sur les trente-quatre qu’il a interprétés. Et pourtant sa carrière d’acteur a commencé avant celle de chanteur, en 1954, dans Les Diaboliques, de Henry-Georges Clouzot. Il est même probable que Johnny ait découvert Elvis Presley et le Rock’n’roll en voyant Loving You (Amour frénétique) au cinéma à l’âge de 14 ans.
Le nouveau film de Justine Triet (Sybil, Victoria) est une sorte de mille-feuille auquel on retirerait couche après couche les différentes épaisseurs. Partant d’un drame familial au sein d’un couple franco-allemand et de leur fils unique malvoyant, le film développe alors une galerie de personnages dans le contexte d’une procédure pénale très médiatisée. Simon Beaufils signe les images de cette sorte de huis clos mental, dont les 2h30 se partagent entre un chalet de haute montagne et un tribunal. Anatomie d’une chute a obtenu la 76e Palme d’Or. (FR)
Justine Triet’s (Sybil, Victoria) new film is multidimensional, layer after layer being progressively peeled away as the film progresses. Starting as a family drama involving a Franco-German couple and their visually impaired son, the film evolves around a series of characters, in the context of a high-profile criminal trial. Simon Beaufils created the images for this closed doors thriller, with 2.5 hours divided between a high mountain chalet and a courtroom. Anatomy of a Fall (Anatomie d’une chute) was awarded the 76th Palme d’or. (FR)
De retour de Lódz, un membre du jury livre ses impressions à chaud sur le festival, les films primés, la lumière, le rôle du directeur de la photographie... et ses conditions de travail, en écho au communiqué de Conrad Hall.
Entre les murs de Laurent Cantet, photographié par Pierre Milon, sélection officielle, en compétition, laboratoire Arane Gulliver, étalonnage Jacky Lefresne, Mikros Image, projection au Grand Théâtre Lumière à 8h30 et 16h
Lire l’entretien accordé par Pierre à propos de son travail sur Entre les murs.
Dimanche 25 mai
What Just Happened? de Barry Levinson, photographié par Stéphane Fontaine, sélection officielle, film projeté au Grand Théâtre Lumière à 23h après la cérémonie de clôture qui se déroule à partir de 19h30.
Un des rares lieux aux USA où l’on peut voir des films du monde entier et où deux journées sont consacrées aux D.P. : les Cinematographers’days initiés par Luciano Tovoli et David Kaminsky depuis quelques années.
Après Sauver ou périr et Goliath, deux films inspirés d’histoires vraies, le réalisateur Frédéric Tellier et le directeur de la photographie Renaud Chassaing, AFC, se sont attaqués à un biopic sur un homme au destin exceptionnel, longtemps resté la personnalité préférée des Français. L’Abbé Pierre, une vie de combats raconte donc sur un peu plus de deux heures la vie de Henri Groues, depuis sa formation chez les moines Capucins dans la Drôme (1937) jusqu’à sa disparition en 2007 à l’âge de 94 ans. 70 ans d’une vie hors du commun, incarné à l’écran par un Benjamin Lavernhe dont la voix et l’interprétation sont stupéfiantes. Retour sur le tournage de ce portrait risqué avec Renaud Chassaing. (FR)
Le lauréat de l’Hommage Pierre Angénieux 2023 est un cinéaste qui aime le mouvement. Ayant fait ses armes dans le documentaire, sa passion pour l’image l’amène à croiser le chemin du grand réalisateur britannique Ken Loach qui lui propose de signer les images de Riff Raff, en 1991. C’est avec ce dernier qu’il va faire équipe sur plusieurs films majeurs (Raining Stones, Ladybird, My Name is Joe...) jusqu’à remporter la Palme d’or en sa compagnie avec Le vent se lève, en 2006. Changeant de direction par la suite, il collabore avec Paul Grenngrass (United 93, Captain Philips) et la cinéaste Kathryn Bigelow, dont il signe notamment Démineurs et Detroit. Barry Ackroyd, BSC, revient avec nous sur sa carrière exceptionnelle et nous parle de sa manière de faire du cinéma. (FR)
Pour la cinquième année consécutive, la CST décerne le prix Vulcain de l’Artiste Technicien honorant un collaborateur artistique ayant œuvré sur l’un des films sélectionnés à Cannes. Présidé par le directeur de la photographie américain Tom Stern, le jury est composé de Monique Koudrine, vice-présidente de la Ficam, Alain Coiffier, président de Panavision Alga Techno, Didier Diaz, président du groupe Transpalux, Pierre Lavoix, conseiller technique, et Yoan de Montgrand, étudiant à La fémis, tous les cinq membres de la CST.