Musée haut, musée bas
Paru le La Lettre AFC n°181
Il s’agit de mettre en images le scénario tiré de sa pièce Musée haut, musée bas, grand succès théâtral, pièce qu’il connaît sur le bout des doigts. De la mécanique de précision.

Photo David Koskas
Avec sa bonne humeur tyrannique, Jean-Michel Ribes contrôle et maîtrise tout, décors, costumes, et ne cède jamais rien quant à son travail avec la centaine d’acteurs qui veulent participer à la fête.
Paradoxalement, le réalisateur reste très ouvert en ce qui concerne l’image, le mouvement, les teintes, et commence alors un tournage parfaitement jubilatoire.
« Bien sûr, nous eûmes des orages », même une tempête (la fin du film) qui nous causa certains problèmes. Tourner deux semaines au Petit Palais (le mal nommé), l’hiver, avec deux Sony 900, des fausses teintes, des acteurs surbookés, des enfants, des animaux, les vrais gardiens, nous mit parfois les nerfs à vif.
Mais éclairer ensuite, en studio, les sublimes et très nombreux décors de Patrick Dutertre, avec l’aide précieuse de Pascal Pajaud, nous apaisa.
Maintenant, laissez-vous happer par ce toboggan cinématographique, parfaitement atypique.

Photo David Koskas

Photo David Koskas

Photo David Koskas

Photo David Koskas
Technique
Matériel caméra : Bogard, 2 caméras Sony 900Matériel électrique : Transpalux et Switch on
Matériel machinerie : Cinesyl et TSF