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Cinematographer Romain Winding, AFC, speaks about his work on "Les Adieux à la Reine", a film by Benoît Jacquot

Propos et entretiens divers

Les Adieux à la reine (after the eponymous novel by Chantal Thomas) tells the story of Sidonie (Léa Seydoux), who was Marie Antoinette’s (Diane Kruger) reader, who was fascinated by the Queen. The story unfolds at Versailles during the regime’s last days of July 14-16 1789.
This is the eighth film I’ve shot with Benoît Jacquot. We are used to and trust one another, which allows us to become even more creative every time we work together.

Le Beau désordre
Par Diane Baratier, AFC

Du côté d’Internet

Si vous voulez respirer et vous envoler, le site de l’association Jacques Baratier est fait pour rendre la liberté a des images enfermées dans des boîtes. Nous avons créé cette association pour permettre à un cinéma indépendant d’exister malgré tout.

La situation du régime des intermittents du spectacle « n’est pas soutenable »

Revue de presse

Le Monde, 9 février 2012
Le régime d’assurance-chômage des artistes et des techniciens du spectacle est, une nouvelle fois, dans le collimateur de la Cour des comptes. La réforme de 2003 a beau avoir rendu plus restrictives les conditions d’accès aux annexes 8 (techniciens) et 10 (artistes) de l’Unedic, rien n’y fait, souligne la Cour : le nombre d’intermittents indemnisés au moins une fois dans l’année continue d’augmenter, et leur nombre est passé de 102 223 en 2007 à 106 619 en 2010.

The Shadowcatchers - Une histoire de la photographie de cinéma en Australie

Livres et revues

Publié par l’Australian Society of Cinematographers (ACS) pour une parution mi-avril, The Shadowcatchers – Une histoire de la photographie de cinéma en Australie est un ouvrage de 288 pages (format 340 x 245 mm) illustré de 380 photographies de directeurs de la photographie au travail prises sur les plateaux de tournage entre 1901 et nos jours.

Le numérique bouleverse-t-il le travail et les responsabilités du directeur de la photo ?

Propos et entretiens divers

Lors du dernier festival Camerimage, fin novembre 2011, pas mal de bruit aurait été fait non seulement autour des nouvelles caméras mais aussi de l’impact que peuvent avoir les technologies numériques sur le travail et les responsabilités des directeurs de la photographie au quotidien. Le film est-il réellement dépassé ? A ce sujet, la journaliste anglaise Madelyn Most a recueilli les propos des onze DoP anglo-saxons suivants...

Propos de Janusz Kaminski au sujet de "Cheval de guerre" de Steven Spielberg
Entretien avec Thomas Sotinel

Revue de presse

Le Monde, 22 février 2012

En complément d’un article qu’il a écrit pour Le Monde sur Cheval de guerre, le film de Steven Spielberg, le journaliste Thomas Sotinel s’est entretenu avec le directeur de la photographie Janusz Kaminski, qui tient à préciser : « Je ne trouve pas la guerre belle, mais je sais qu’il y a une beauté dans les gestes de la guerre ».

Le cinéma numérique et la queue des comètes
Par Matthieu Poirot-Delpech, AFC

Billets d’humeur

Il était d’usage, lors des tournages sur support argentique, de discourir de ce délicieux paradoxe du cadreur : il voyait tout sauf le film en train de se tourner. Ce phénomène dû à la visée reflex est simple à décrire : une fraction de temps était vue par l’opérateur, la fraction suivante était destinée à la pellicule. Le cadreur voyait " entre les images "… Cela pouvait parfois être handicapant : l’éclair qui avait été aperçu par le cadreur risquait de ne pas être vu par le spectateur... On s’en arrangeait finalement très bien.

L’Avance sur recettes fait évoluer ses modalités d’examen des projets
Par Sarah Drouhaud

Revue de presse

Le Film français, 19 janvier 2012
Selon nos informations, le CNC va prochainement procéder à un aménagement notable dans l’examen des dossiers des 1er et 2e collèges. Jusqu’ici, les membres de l’Avance sur recettes avant réalisation prenaient leur décision à partir uniquement d’un scénario, d’une note de présentation du projet et d’un devis estimatif le cas échéant.

Technicolor reprend ScanLab, les Audis de Joinville et SIS
L’acquisition de ces trois sociétés permet au groupe d’étendre ses activités de postproduction.

Revue de presse

Le Film français, 20 janvier 2012
Suite à la décision du tribunal de commerce de Nanterre du 20 janvier, Technicolor va procéder à l’acquisition des Auditoriums de Joinville (ADJ), de la Société industrielle de sonorisation (SIS) et de ScanLab, trois filiales de Quinta Industries, mis en liquidation judiciaire en décembre. Elles seront intégrées à l’activité " entertainment " du groupe international. Dans le cadre de cette opération, 34 salariés seront repris, soit 70 % de la masse salariale.

Billet d’humeur, suite à "Solidarité", le dernier éditorial de Caroline Champetier
Par Alain Coiffier

Billets d’humeur

Le terme « Solidarité », en tête de votre dernier éditorial, vient sonner fort et juste au-delà des situations qui se sont créées il y a dix ans dans le secteur des laboratoires français. Des situations d’autant moins " jolies " qu’elles ont servi de ferment – entretenues par certains producteurs aux larmes de crocodiles…– au discrédit profond qui pèse aujourd’hui sur nos industries techniques…

Le stock LTC confié à Archive TV

Revue de presse

Le Film français, 16 janvier 2012
Dans le dossier brûlant du stock de films LTC, le tribunal de commerce de Nanterre a communiqué officiellement son choix vendredi 13 janvier.
Parmi les six prétendants à la reprise du stock LTC, dont les poids lourds Eclair et Digimage, le tribunal de commerce de Nanterre a choisi un outsider, la société Archive TV, dirigée par Denis Garcia, spécialiste du stockage cinéma et audiovisuel depuis 20 ans avec sa société Capital Vision. Selon des sources proche du dossier, les juges consulaires auraient voulu éviter une situation de monopole dans le cas où le stock aurait été confié au groupe Eclair.

Technicolor pressenti comme repreneur du groupe Quinta Industries et de son laboratoire LTC
Par Alain Beuve-Méry

Revue de presse

Le Monde, 14 janvier 2012
Le démantèlement du groupe Quinta Industries, placé en liquidation judiciaire en décembre 2011, se précise. C’est la société Technicolor, actionnaire minoritaire (17 %) de ce joyau de la postproduction française – le financier franco-tunisien Tarak Ben Ammar en détient 83 % –, qui devrait reprendre la majeure partie des activités.

Lettre morte
Par Eric Guichard, AFC

Billets d’humeur

Les équipes de LTC avaient depuis deux ans réclamé corps et âme de connaître et de comprendre les tenants et les aboutissants des évolutions du paysage cinématographique. Beaucoup d’entre eux avaient aussi sollicité des stages et des reconversions dont chaque entreprise est en droit de faire bénéficier ses employés. Toutes ces demandes et ces questions seront restées sans réponses.
Chacun d’entre nous, et les nombreux témoignages le prouvent, mesure le gâchis et l’irréparable.

Heure noire chez Quinta
Par Philippe Loranchet

Revue de presse

Ecran total, 16 décembre 2011
Ouverts en 1935, les laboratoires LTC sont sur le point de fermer leurs portes. Une menace qui pèse également sur les autres sociétés de Quinta Industries, telles Duran, Scanlab et SIS, que contrôle Tarak Ben Ammar.