L’AFC est heureuse de vous annoncer l’arrivée du troisième numéro de Lumières, les Cahiers de l’AFC. Chaque revue est accompagnée d’un CD présentant des extraits de films, des photogrammes et des photos.
L’AFC vous propose un achat au prix, par numéro, de 20 euros (CD inclus), hors frais d’envoi.
Découvrez en images la journée du jeudi 8 mars sous le regard photographique de Nelly Florès, ENS Louis Lumière promotion 2007, et de Jean-Michel Humeau, AFC.
Jean Gonnet était le directeur de la photo qui - avec Alain Derobe - m’a initié aux métiers de l’image au sortir de l’IDHEC au milieu des années 1960. (...)
Dans le cadre du programme de recherche de l’Ecole, Alain Derobe et Yves Pupulin viendront présenter leurs films et leurs méthodes de travail (dispositif déployé : deux projecteurs haute puissance DMD, projection sur écran aluminé, maquettes...). (...)
Alain Derobe et Christian Guellerin ont proposé à la direction de la CST la mise en place d’un groupe de liaison inter-départements ayant trait aux formats spéciaux (70 mm, Imax, Vistavision, relief, panoramique, circulaire).
La première fois que j’ai rencontré l’équipe de Rémy Julienne, c’était comme assistant, en 1978, sur le tournage d’une comédie de Jean Yanne, qui voulait des séquences d’action spectaculaires : Jean Yanne retrouve sa voiture entravée par un sabot, ne s’en rend pas compte, démarre et... sa voiture part en tonneau. Par la suite, directeur de la photo, j’ai retrouvé l’équipe Julienne, entre autres lors des films en formats larges où la mobilité de la caméra était prédominante et leur collaboration précieuse.
An encounter with Jacques Delacoux, one of the AFC’s associate members who has remained as genuine and likeable as the first day his company, Transvideo, became an associate member of our association. An indefatigable globetrotter, he attends international trade fairs, workshops, festivals, and master classes all over the world. He opened the doors of his company in Verneuil-sur-Avre to us, in order to tell us about the company’s beginnings, the equipment it manufactures, his perspective on his profession, his encounters, his choices, and to sum it up, just what cinema means to him.
Rencontre avec Jacques Delacoux, l’un de ces membres associés de l’AFC qui, depuis que sa société Transvideo a rejoint l’association, n’a jamais entamé son " capital-sympathie ". Globe-trotter infatigable, entre salons internationaux, workshops, festivals et master class, il nous a ouvert les portes de son entreprise à Verneuil-sur-Avre. Pour évoquer ses débuts, les outils qu’il crée, la façon dont il conçoit son métier, ses rencontres, ses choix et, somme toute, ce qu’est tout simplement pour lui le cinéma.
ACS France a participé au tournage d’Astérix et Obélix : Au service de sa majesté avec sa propre équipe de Gaulois. L’équipe d’ACSF s’est adaptée pour assister la production tant au niveau logistique que technique avec l’équipe de Denis Rouden AFC et d’Alain Derobe, et exécuter les prestations en Hongrie, à Malte et en Irlande.
Alain Derobe, superviseur stéréographe, nous a quittés dimanche 11 mars 2012. Expert de la 3D de renommée internationale, il venait de superviser la 3D du tournage d’Astérix et Obélix : Au service de sa majesté de Laurent Tirard. En 2010, il avait supervisé et étalonné le relief de Pina, de Wim Wenders ; film nommé aux Oscars du meilleur documentaire de fiction cette année et qui vient de recevoir le Prix Spécial du Jury remis par l’International 3D Society de Los Angeles.
Derobe nous a quittés un après-midi de mars... Mais j’aime à croire qu’Alain va continuer à suivre passionnément la fin du travail sur le relief qu’il avait entrepris sur le tournage d’Astérix. Encore la veille de son départ, contre avis médical, il était présent en salle d’étalonnage pour le premier " teaser " du film
Joséphine Derobe est stéréographe depuis sept ans. Elle dit malicieusement : « Tout le monde pense que je suis tombée dans la potion magique de la stéréoscopie depuis mon enfance mais pas du tout ! ». Elle a fait des études de journalisme presse écrite puis a été reporter et photographe. Elle ne connaissait pas le métier de son père car à la maison, « il était taciturne et secret ». Et puis un jour, il a eu besoin d’une 2e assistante photo à la dernière minute pour un projet d’AmaK Studio.
Alain Derobe était le fils de Jeander, critique très sérieux et réputé de Libération et j’ai eu la chance de le rencontrer à l’IDHEC en 1964. J’y étais élève en Image et Alain – Pilou pour les intimes – était un intervenant professionnel du département. La sympathie s’est créée immédiatement puisqu’Alain achetait des lots de motos aux Domaines pour en reconstruire une en bon état de marche et que j’allais à l’Ecole avec une Triumph 6T...
J’ai collaboré avec Alain Derobe au tournage d’un film 360°, destiné au Futuroscope. Alain avait persuadé les producteurs, Jean-Lou Montieux et Patrick Bezanval, de ne pas utiliser les rigs existant aux Etats-Unis, loués à des prix prohibitifs, nous estimant capables de concevoir des équipements plus performants et mieux adaptés à notre projet qui était complexe, car il s’agissait de filmer le tour de France cycliste.