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Effets visuels

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Articles (30)

Jonathan Ricquebourg, AFC, revient sur ses choix techniques et esthétiques pour "Earwig", de Lucile Hadzihalilovic
Reflets dans une dent de verre, par François Reumont

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Dans une maison sombre aux volets perpétuellement fermés, Mia, une fillette édentée, vit seule en compagnie d’Albert, un homme payé pour prendre soin d’elle. C’est à partir de cet argument assez épuré que démarre le nouveau film de Lucile Hadzihalilovic, dans une ambiance d’uchronie qui n’est pas sans rappeler celle des premiers films du tandem Caro et Jeunet. Marc Caro ayant apporté une petite touche de direction artistique en concevant un étrange appareil buccal chargé de recueillir la salive de la jeune protagoniste. C’est Jonathan Ricquebourg, AFC, qui signe les images de ce film fantastique presque gothique où le spectateur cherche parfois ses repères. (FR)

Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques

Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.

Exposition "L’Homme de Naples", des photographies de Luciano D’Alessandro à la Galerie Cinéma

Expositions et Musées

Anne-Dominique Toussaint et la Galerie Cinéma présentent, jusqu’au 14 janvier 2023, "L’Homme de Naples", une exposition des photographies de Luciano D’Alessandro issues du livre de Macha Méril paru en novembre dernier aux éditions de l’Archipel. Dans L’Homme de Naples, Macha Méril raconte son histoire d’amour passionnée, dont elle n’avait jamais parlé, avec le photographe italien. Un texte fort et émouvant agrémenté de 50 photos superbes et intimes, dont la plupart sont exposées à la galerie.

Annick Mullatier nous a quittés

Annick Mullatier

Les directrices et directeurs de la photographie de l’AFC ont appris avec tristesse la nouvelle du décès d’Annick Mullatier, survenu à Paris, mardi 30 juin 2020, à l’âge de 72 ans. Avec sa disparition, le monde du cinéma - celui des tournages en particulier, de la production à la fabrication des images en passant par la réalisation - perd l’une des plus attachantes figures qui lui a été donné de rencontrer. Durant les quelque trente années passées chez Fiaji puis Fujifilm, Annick aura su tisser, entre bonne humeur et trésor d’humanité, des liens singuliers, parfois amicaux, avec nombre d’entre nous, prenant toujours soin de mettre au second plan son aptitude à faire commerce de la pellicule.

Articles (3)

L’EST a eu en charge les effets visuels d’ "Océans" (épisode 3)
Chronique par Christian Guillon

Laboratoires, Postproduction, VFX

Boulevard Ney, Levallois, début 2009
Nous avons demandé à Buf Compagnie de travailler sur une autre séquence, pour un plan " full 3D " (entièrement en images de synthèse). Il y a une magnifique séquence de tempête, tournée en Atlantique par Luc Drion. Des plans stupéfiants, sur un navire de la marine nationale, l’Abeille-Bourdon, dans une mer déchaînée. Jacques et Jacques voudraient que, en un seul plan-séquence, la caméra parte de cette mer, en " top-shot " assez serré, et monte jusque dans l’espace, à travers les couches nuageuses et l’atmosphère, pour rejoindre un satellite.

Les sociétés françaises d’effets spéciaux à l’honneur dans la presse Effets spéciaux : les Français novateurs
par Nicole Vulser

Revue de presse

Le Monde, 29 janvier 2008

Première dans les effets spéciaux : quatre des plus grosses sociétés du secteur en France, Mikros Image, Buf Compagnie, Duboi et L’EST ont œuvré ensemble sur les effets spéciaux d’Astérix aux Jeux olympiques, en faisant travailler pendant dix-huit mois jusqu’à 200 techniciens.
Pour réduire au maximum le temps de la postproduction, chacun était chargé d’une tâche précise : Duboi a développé les extensions du décor ; Buf Compagnie a assuré les travaux liés à la figuration 3D ; Mikros Image a traité les cascades, tandis que l’ a assuré une supervision générale des effets visuels. (Duboi, L’EST et Mikros Images sont membres associés de l’AFC. NDLR)

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