Première dans les effets spéciaux : quatre des plus grosses sociétés du secteur en France, Mikros Image, Buf Compagnie, Duboi et L’EST ont œuvré ensemble sur les effets spéciaux d’Astérix aux Jeux olympiques, en faisant travailler pendant dix-huit mois jusqu’à 200 techniciens. Pour réduire au maximum le temps de la postproduction, chacun était chargé d’une tâche précise : Duboi a développé les extensions du décor ; Buf Compagnie a assuré les travaux liés à la figuration 3D ; Mikros Image a traité les cascades, tandis que l’ a assuré une supervision générale des effets visuels. (Duboi, L’EST et Mikros Images sont membres associés de l’AFC. NDLR)
J’ai manqué l’occasion dans la Lettre 150 de janvier 2006 de parler d’un film qui sortait, et sur lequel nous avons fait les effets visuels. Mais comme le film marche bien, et qu’il sera peut-être encore à l’affiche en février, je me rattrape. Il s’agit de " Lord Of War ", le film d’Andrew Niccol, produit par Philippe Rousselet.
Lors des conférences données pendant le Micro Salon, Mikros Image a ainsi présenté deux de ses créations parmi lesquelles certains effets visuels clés sur Le Renard et l’enfant, réalisé par Luc Jacquet et Astérix aux Jeux Olympiques de Thomas Langmann et Frédéric Forestier.
Boulevard Ney, Levallois, début 2009 Nous avons demandé à Buf Compagnie de travailler sur une autre séquence, pour un plan " full 3D " (entièrement en images de synthèse). Il y a une magnifique séquence de tempête, tournée en Atlantique par Luc Drion. Des plans stupéfiants, sur un navire de la marine nationale, l’Abeille-Bourdon, dans une mer déchaînée. Jacques et Jacques voudraient que, en un seul plan-séquence, la caméra parte de cette mer, en " top-shot " assez serré, et monte jusque dans l’espace, à travers les couches nuageuses et l’atmosphère, pour rejoindre un satellite.
Entretien accordé à François Reumont par Kevin Berger, superviseur des effets spéciaux, à propos du travail effectué par notre associé L’EST sur l’amplification numérique des effets spéciaux pyrotechniques du film de Rachid Bouchareb Indigènes photographié par Patrick Blossier. Pour ce film tourné en 35 mm Scope, L’EST a travaillé en étroite collaboration avec l’équipe d’effets spéciaux Les Versaillais. Cet entretien est paru dans un numéro hors série Cannes daté du 24 mai 2006. (...)
A l’occasion de la quatrième édition de ParisFx qui aura lieu les 15 et 16 décembre prochains, la société Duran, via son studio d’effets visuels Duran Duboi, présentera ses travaux sur les effets visuels de deux longs métrages : Derrière les murs, photographié Nicolas Massart, et La Rafle, photographié par David Ungaro.
Respecter les comédiens Ce sera une séquence de pollution qui suivra ce plan. Il y a d’abord une série d’images censées être prises par le satellite et qui doivent révéler la pollution. Ce sont des côtes, des estuaires, des embouchures de fleuves desquels se déverse, dans la mer, une matière noire inquiétante.
Présenté hors compétition à la dernière édition du Festival de Cannes, le nouveau film de Robert Guédiguian L’Armée du crime, produit par Agat Films & Cie, retrace la vie et le combat du militant Missak Manouchian et de son groupe de résistants, contre l’armée allemande et une police française collabo, dans le Paris occupé de 1941. Dans une ultime opération de propagande, ces immigrés, morts pour la France, entreront dans la légende. Les années 2000 ont vu la naissance de l’étroite collaboration artistique entre Robert Guédiguian et Mikros image. Depuis plus de 8 ans déjà, Mikros image accompagne chacun des projets du réalisateur en post production ainsi que dans les effets visuels.
Ça va mieux en le disant ! Il y a une ligne rouge que Jacques Perrin et Jacques Cluzaud ont défini dès le départ et que nous n’avons jamais franchie : Pas question d’avoir recours aux trucages pour des plans naturalistes, si cela doit nous conduire à modifier ou remplacer les actions des animaux, ou les animaux eux-mêmes. Tout ce qui montre la vie animale sous-marine devait être parfaitement réel. Un seul trucage, qui aurait dérogé à cette règle, pouvait jeter le soupçon sur tout le film, et décrédibiliser des années d’efforts pour obtenir ces scènes incroyables tournées dans des conditions extraordinaires.
Réalisé par Jérôme Salle, ce deuxième opus des aventures de Largo Winch est une coproduction France-Belgique-Allemagne, d’envergure internationale. Avant sa sortie, le film a fait un petit tour par la Belgique, et est passé entre les mains des graphistes de Mikros image Liège pour finaliser certains plans. Ce projet cinématographique complexe et passionnant fut l’occasion pour les graphistes de Mikros image Liège d’apporter leur expertise en 2D et en 3D, sous la supervision du studio Mac Guff.
Première dans les effets spéciaux : quatre des plus grosses sociétés du secteur en France, Mikros Image, Buf Compagnie, Duboi et L’EST ont œuvré ensemble sur les effets spéciaux d’Astérix aux Jeux olympiques, en faisant travailler pendant dix-huit mois jusqu’à 200 techniciens. Pour réduire au maximum le temps de la postproduction, chacun était chargé d’une tâche précise : Duboi a développé les extensions du décor ; Buf Compagnie a assuré les travaux liés à la figuration 3D ; Mikros Image a traité les cascades, tandis que l’ a assuré une supervision générale des effets visuels. (Duboi, L’EST et Mikros Images sont membres associés de l’AFC. NDLR)