Dominique Bouilleret

Faire la présentation de KGS ? Que ce soit KGS France, Belgique ou Development, cela reste une sorte de challenge.
Benoît Theunissen est, à mes yeux, une sorte d’extraterrestre sur la planète cinéma, un personnage sortie de la collection " Signes de pistes ".

Le directeur de la photographie Philippe Lardon a récemment été admis en tant que membre actif au sein de l’AFC. Ses deux parrains "maison", Dominique Bouilleret et Manuel Teran, lui ont apporté leur soutien au moment de sa candidature et présentent ici ce nouvel arrivant.

Lors de cette 61e édition du Festival de Cannes qui s’est déroulée du mercredi 14 au samedi 24 mai, l’AFC a été présente pendant toute sa durée à travers le Pavillon de l’Image, grâce au soutien financier de certains de nos membres associés : Agfa, Cininter, Fujifilm, K5600, Kodak, Mikros Image, Quinta, Panavision et TSF. Nous les remercions tous vivement, notamment nos trois " fées pellicule " qui ont facilité le gîte des DP afcéens... Le pavillon a existé aussi grâce à la volonté et le dévouement de ses membres.

Situé au sein du Village International – Pantiero, non loin du CNC, de l’ARP et de la SACD, de la CST, de la Commission du Film France et de la Ficam, de la Commission Ile-de-France, de la région PACA, pour ne citer que ses voisins les plus proches, le Pavillon de l’Image se veut le lieu de rencontre de tous ceux qui travaillent à l’élaboration des films dans leur aspect visuel, tant artistique que technique.

J’ai eu l’occasion de travailler chez Télétota à plusieurs reprises et ces moments ont été des occasions d’échanges et de travail en bonne entente. (...)

L’association JjS dans laquelle je m’active et dont le but est de palier certaines lacunes en informatique sur les tournages, possède maintenant des éléments complémentaires au système Kodak KLMS.

Quand nous sommes sortis de la salle de cinéma, nous avons gentiment remercié nos hôtes, Annick et Christophe de Fujifilm, qui nous avaient conviés à une séance de 2046, de Wong Kar-wai, à l’UGC Bercy.
C’est en effet Christophe, comme tenait à le préciser Annick, qui a lancé l’idée de " spammer " ses contacts avec cette invitation autour d’un film tourné en Fuji et d’un déjeuner pour prolonger cet instant.

From Wednesday May 14^th to Saturday May 24^th, the new Image Pavilion marked the AFC’s presence at the 61^st edition of the Cannes Film Festival. The Image Pavilion was made possible by the financial support of some of our associate members: Agfa, Cininter, Fujifilm, K5600, Kodak, Mikros Image, Panavision, Quinta and TSF. We would like to express our hearty thanks, with a special mention of our three "film stock fairy godmothers" who facilitated the lodging of AFC DPs. The Image Pavilion was also made possible by the generosity and dedication of AFC members.

Kodak organisera pour la 3ème année consécutive une initiation au tournage 16 mm à de jeunes talents les 2, 3 et 4 octobre 2007.
C’est Dominique Bouilleret, AFC, qui conduira cet atelier accompagné du directeur de la photographie américain Christopher C. Pearson.

Dans notre élan de vouloir rendre compte au mieux, dans la précédente Lettre, de l’activité de l’AFC au dernier Festival de Cannes et de celle de ses associés, nous avons omis de signaler qu’étaient à l’honneur de la cimaise du Pavillon de l’Image des tirages couleurs au format 38 x 67 cm que notre partenaire et membre associé Agfa avait aimablement effectués d’après des photogrammes issus de films sélectionnés et photographiés par des DP de l’AFC.

Life’s vicissitudes led Dominique Bouilleret, AFC, to cross paths with Alain Resnais on his last film. Discussing Life of Riley, he reveals the gaiety and creativity of a very pleasant shooting. He is so glad to have been able to share this creativity with the great director and is only sorry that he won’t be able to repeat the experience. Following Alain Resnais’ demise, unfortunately their collaboration has ended just as it was beginning.

L’initiative de Kodak de faire connaître à des vidéastes l’univers de l’argentique peut sembler empreinte de naïveté.

Or, comme dans tout échange, ce n’est pas forcément celui que l’on croit qui reçoit le plus.

En effet, me prêtant au jeu, j’ai participé comme DP français aux journées Super 16 en ce début d’octobre.

Pour un jour, en compagnie de Christopher Pearson, DP américain en tournée européenne pour Kodak qui animait les trois journées à Paris avant de partir vers Moscou et Copenhague, j’ai assisté ces nouvelles recrues dans leurs premiers pas vers l’argentique.

Ce n’est pas à vélo que nous avons visité IBC cette année, même si l’étendue de ce qui semble être le plus grand salon professionnel de l’audiovisuel est toujours aussi grande.
Malgré quelques emplacements vides, signe des temps difficiles, surtout côté cinéma comme le fait remarquer Yves Cape dans sa visite, une visite exhaustive nécessite plus que les deux jours que j’y ai consacrés.
En " mission " pour Glops, dont nous reparlerons, j’en profite pour donner mes impressions à propos de ce salon.

« Notre précédente aventure commune remonte au tournage de " Karnaval ".
Thomas, depuis ce premier film n’avait pas tourné d’autre long métrage.

Nous nous sommes rencontrés de temps à autre pendant cette longue période sans pour autant être très proches.
Et puis est apparu ce projet qu’il m’a demandé de faire avec lui.

Suite à l’admission au sein de l’AFC du directeur de la photographie Michel Benjamin, Dominique Bouilleret, l’un de ses deux parrains avec Laurent Dailland, fait les présentations d’usage dans le texte qui suit.

Présenter Alain est sûrement inutile pour beaucoup d’entre nous ! En tout cas, pour moi, il a toujours été présent dans mon parcours professionnel. Je me souviens de lui chez Alga, à la boutique, rue Jean-Moulin, je débutais comme second avec Manu Teran.

Miaa reprend du service dans ses nouveaux locaux. La cuisine de Miaa et les maraudes ont repris mi-octobre. Il a fallu pas mal de persévérance, beaucoup d’huile de coude et du " savoir faire et défaire " à revendre. Quand nous avons rendu les locaux à la MJC de Mercœur en mai 2011, nous n’avions pas de doutes, l’été nous apporterait un local et les fourneaux reprendraient du service à l’automne, il a fallu déchanter.

Un déjeuner avec Philippe Lardon et Lahaziz Kheniche m’a fait connaitre le parcours de celui qui a succédé à Pierre Coq chez Alga. De son entrée chez Angénieux à son atelier de Fontenay-sous-Bois, Lahaziz est intarissable.

Ma rencontre avec Régis Prosper remonte à l’époque où, avec quelques camarades, nous tripotions les PC de tournages avec écrans cathodiques pour les rendre compatibles avec les fréquences des caméras.