François Ede

Direction de la photographie

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Articles (30)

Entretien avec François Ede à propos de la version restaurée de "Lola Montès"

Entretiens avec des directeurs de la photographie

François Ede, directeur de la photographie, s’intéresse depuis longtemps aux différentes techniques du cinéma et à celle qu’il connaît plus particulièrement sur le bout du doigt, la prise de vues et tout ce qui touche aux images de film, à leur traitement et à leur pérennité.
Il a participé, entre autres restaurations, à celle de Jour de fête de Jacques Tati, film tourné en noir et blanc mais aussi, en parallèle, sur pellicule couleur avec le procédé Thomson Color, et, en 2002, à celle de Playtime qui avait été tourné en 70 mm.
François Ede est membre du Conservatoire des techniques cinématographiques de la Cinémathèque française.

François Catonné, AFC, parle de son travail avec le réalisateur mauritanien Med Hondo

Propos et entretiens

Au printemps 2021, l’éditeur Revus Et Corrigés faisait paraître la revue "Histoire(s) de cinémas d’Afrique(s)", qui rassemblait une série de portraits et rencontres autour des réalisateurs africains Ousmane Sembène, Safi Faye, Med Hondo… Parmi les titres de chapitre de cet ouvrage, qui dresse un panorama des productions du continent, de Nollywood à l’Afrique du Sud en passant par l’Afrique de l’Ouest, on relève "Med a été en colère toute sa vie", un entretien avec François Catonné, AFC, que nous reproduisons ici.

Projection à Cannes Classics du film "Les Ordres", de Michel Brault photographié par Michel Brault et François Protat
par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Festival de Cannes 2015

Dans le cadre de la Sélection officielle - Cannes Classics, "Les Ordres" (1974), le film de Michel Brault photographié par Michel Brault et François Protat, sera projeté lundi 18 mai Salle Bunūel à 16h30. Marc Salomon, membre consultant de l’AFC, rend hommage au parcours de ce directeur de la photographie qui s’illustra dans le cinéma direct mais qui fut bien plus qu’un opérateur, un cinéaste.

François Catonné, AFC, ou "La maîtrise de la lumière"

Revue de presse

Le Centre d’Arts Ronzier, à Valenciennes (Nord), devait accueillir, du 4 novembre au 16 décembre 2020, une importante exposition du directeur de la photographie François Catonné, AFC, présentant des photos, des documentaires et des estampes numériques. Ayant été momentanément reportée, elle a toutefois fait l’objet d’un article enthousiaste publié dans la revue Miroir de l’Art.

François Catonné, AFC, au micro de France Inter

Propos et entretiens

Dans son émission "L’humeur vagabonde", programmée sur France Inter jeudi 28 janvier 2016, la productrice Kathleen Evin recevait le directeur de la photographie François Catonné, AFC, à propos de sa rencontre avec Vladimir Velickovic. Dans le cadre des Journées Internationales du film sur l’Art, le Louvre projette deux films qu’il a consacrés au travail de cet artiste-peintre.

Le directeur de la photographie Jean-François Hensgens, AFC, SBC, parle de son travail sur "A perdre la raison", de Joachim Lafosse

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Jean-François Hensgens, SBC, qui a rejoint l’AFC en 2010, a été assistant caméra sur les films des frères Dardenne – La Promesse, Rosetta, et Le Fils – au côté du directeur de la photographie Alain Marcoen, SBC. Il devient directeur de la photo en 2004 pour Fratricide de Yelmas Arslan puis travaille avec Olivier Vanhoofstad pour Dikkenek et Go Fast. Il consolide son expérience avec des films comme Banlieue 13 - Ultimatum de Patrick Alessandrin, Tête de turc de Pascal Elbé, Cat Run et Darktide de John Stockwell.
Le film du réalisateur belge Joachim Lafosse, A perdre la raison, est inspiré d’un fait divers tragique, une mère de famille qui égorge ses cinq enfants et qui avait bouleversé la Belgique, il y a cinq ans. Nous retrouvons pour ce drame Emilie Dequenne (la Rosetta des frères Dardenne) ainsi que le couple du Prophète de Jacques Audiard, Niels Arestrup et Tahar Rahim.

Articles (10)

"Le Toit de la baleine", de Raoul Ruiz, photographié par Henri Alekan
François Ede se souvient...

Histoire de la cinématographie

Dans le cadre de sa plateforme Internet "Henri", la Cinémathèque française propose de redécouvrir ce film de Raoul Ruiz, tourné en Hollande, en 1982. Le Toit de la baleine est une fable ethnographique censée se situer dans d’improbables paysages de Patagonie. Nous avons demandé à François Ede, qui participa au tournage ainsi qu’à la restauration du film en 2016, de se replonger dans ses souvenirs afin de revenir, en particulier, sur le travail d’Henri Alekan, toujours audacieux et inventif.

Derrière le miroir, trucages, jeux d’optiques et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz
Conférence de François Ede et Elodie Boin-Zanchi, dans le cadre de la rétrospective Raoul Ruiz

Conservatoire des techniques cinématographiques

Les expérimentations techniques sont au cœur de nombreux films de Raoul Ruiz car il aimait faire des jeux d’images comme on fait des jeux de mots. Nombre de ses films ont été tournés avec des budgets souvent dérisoires, parfois avec des chutes de pellicule, une caméra prêtée et le concours bénévole d’amis acteurs et techniciens.

"Derrière le miroir, trucages, jeux d’optique et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz", conférence en ligne sur le site de la Cinémathèque française

Vidéos des conférences du Conservatoire des techniques

"Derrière le miroir, trucages, jeux d’optique et effets d’étrangeté dans les films de Raoul Ruiz", l’avant-dernière conférence de la saison 2015-2016 du Conservatoire des techniques cinématographiques, est désormais en ligne – en vidéo – sur le site Internet de la Cinémathèque française.

Films génétiquement modifiés
Lettre ouverte de François Ede, réalisateur et chef opérateur

Billets d’humeur

Les films tournés en Scope et en 1,85 seront désormais recadrés en 14/9 (1:1,55) sur les chaînes du service public.
Jusqu’à présent les chaînes publiques diffusaient les films au format Scope avec des caches noirs en bas et en haut de l’image pour conserver la largeur du cadre (" letterbox "), ce n’était évidemment pas la panacée, mais au moins le format d’origine des films était respecté.
Le 21 août, France 3 diffusait Paris brûle-t-il ? de René Clément. Ce film tourné en CinémaScope a été mutilé par recadrage dans un format qui n’a jamais existé au cinéma : le 14/9 ou 1:1,55 !

Agenda du samedi 17 mai

Agendas

  • Les films AFC du jour
  • Sélection officielle, en compétition
  • Linha de Passe de Walter Salles et Daniela Thomas, photographié par Mauro Pinheiro Jr, Laboratoires Eclair, projection au Grand Théâtre Lumière à 8h30 et 22h
  • Le film sera de nouveau projeté dimanche 18 mai Salle du Soixantième à 19h.
  • Sélection officielle, Cannes Classics
  • Lola Montès de Max Ophuls, photographié par Christian Matras, version restaurée projetée Salle du Soixantième à 19h45
  • Lire l’entretien accordé par François Ede à propos de son travail sur la restauration de Lola Montès.
  • Sélection de la Quinzaine des réalisateurs
  • De la guerre de Bertrand Bonello, photographié par notre consœur Josée Deshaies, projection Théâtre Croisette - Palais Stéphanie à 9h et 19h
  • Lire l’entretien accordé par Josée à propos de son travail sur De la guerre.
  • Contact AFC : +33 6 03 50 09 28

Journée "Pour une histoire des laboratoires cinématographiques"

Conférences, tables rondes, colloques, séminaires, Leçons de cinéma

L’équipe de l’unité de recherche Arts : Pratiques et Poétiques de l’UFR ALC* - université Rennes 2 - organise, vendredi 5 octobre 2018, une journée d’études intitulée "Nuits rouges : pour une histoire des laboratoires cinématographiques". En présence de François Ede, Jean-Pierre Neyrac et Vanessa Nicolazic, il y sera question de fusions et acquisitions, de Super 16, de tireuses, des débuts de l’étalonnage, de métol-hydroquinone, de pyrogallol et autres mystérieuses formules...

Jean-Pierre Beauviala (1937-2019)
La ville criminogène, le son concomitant et... un chat sur l’épaule

Jean-Pierre Beauviala

L’histoire d’Aaton fut d’abord et toujours celle d’un homme, Jean-Pierre Beauviala, au parcours singulier et unique dans l’histoire du cinéma et de ses techniques. Certes son nom vient s’ajouter à une liste de pionniers et industriels français, d’Etienne-Jules Marey et Louis Lumière à André Coutant et Pierre Angénieux, mais il incarne plus que les autres un certain génie français, cartésien et intuitif, considérant que trouver les bonnes réponses exige de se poser d’abord les bonnes questions afin de fournir les outils adaptés aux besoins de chacun.