Hélène Cases
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Hélène Louvart, AFC, revient sur la mise en images de "Romería", de Carla Simón Par Brigitte Barbier pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Romería est le troisième film de la réalisatrice catalane Carla Simón. Son film précédent, Nos soleils (Alcarràz), a obtenu l’Ours d’or à Berlin en 2022. Avec Romería, la réalisatrice reprend le thème familial déjà exploré dans ses précédents longs métrages mais cette fois-ci pour évoquer la relation entre ses parents biologiques alors qu’elle ne les a jamais connus. C’est la cheffe opératrice Hélène Louvart, AFC, qui signe l’image de ce film très personnel et important pour Carla Simón. Au-delà de l’accompagnement sur l’aspect aussi bien narratif qu’artistique d’Hélène Louvart, leur collaboration s’est appuyée sur une amitié développée depuis plusieurs années. Romería est en Compétition officielle de la 78e édition du Festival de Cannes. (BB)
Telling in pictures the story of "Eleanor the Great", by Scarlett Johansson By Hélène Louvart, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
This film was my first collaboration with Scarlett Johansson, who was directing her first feature film. We met and had very informative discussions about the script, her intentions, how she envisioned filming, and above all, how to organize the shoot. The actors needed to feel a certain freedom, so we had to avoid a set that was too technically demanding. The lead actress, June Squibb, was 94 years old, so it was up to us to adapt to her, rather than the other way around, as much as possible...
Raconter en images l’histoire d’"Eleanor the Great", de Scarlett Johansson Par Hélène Louvart, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Ce film est ma première collaboration avec Scarlett Johansson, qui réalisait son premier long métrage. Nous nous sommes rencontrées avec des discussions très instructives autour du scénario, de ses intentions, de la manière envisagée pour filmer, et surtout de l’organisation du tournage. Les acteurs devaient pouvoir ressentir une certaine liberté, il fallait éviter de se diriger vers un plateau trop lourd techniquement parlant. L’actrice principale, June Squibb, avait 94 ans, c’était donc à nous de s’adapter à elle, plutôt que l’inverse, dans la mesure du possible…
Marine Atlan, cinematographer, and Pierre Mazoyer, colorist for "The Girl in the Snow", by Louise Hémon By Hélène de Roux for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Embodying the Enlightenment and early female emancipation, the resolute and not God-fearing Aimée (Galatea Belluggi) sets up her books and planisphere in a stable turned into school, in the hollow of an Alpine valley circled by slopes and the shade of fir trees. Coldly received by a handful of local families, only the youngest of whom speak French, the young teacher is confronted with darkness, both literal and metaphorical, but also with the burning experience of a sensuality that is both an extension of Rationality and the bearer of a curse. Filmed over eight winter weeks by Marine Atlan in a 1.33 aspect ratio favoring both portraits and peaks, this cruel Maupassant-style tale follows Aimée’s physical and mental evolution as close as possible to the skins and to flames, with all the rigor and clarity of a film that has found its language.
(HdR)
Marine Atlan, cheffe opératrice, et Pierre Mazoyer, étalonneuse, nous parlent de "L’Engloutie", de Louise Hémon Par Hélène de Roux pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Telle une incarnation des Lumières et d’une émancipation féminine précoce, la résolue et laïque Aimée (Galatea Belluggi) installe ses livres et son planisphère dans une étable qui servira d’école, au creux d’un vallon alpin encerclé par les pentes et l’ombre des sapins. Accueillie froidement par les quelques familles locales dont seuls les plus jeunes parlent français, la jeune institutrice fait face à l’obscurité, littérale et métaphorique, mais fait aussi l’expérience brûlante d’une sensualité à la fois prolongement de la Raison et porteuse de malédiction. Filmé sur huit semaines d’hiver par Marine Atlan dans un ratio 1,33 favorisant les portraits comme les cimes, ce conte cruel à la Maupassant fait ressentir l’évolution physique et mentale d’Aimée au plus près des peaux et des flammes, avec toute la rigueur et l’évidence d’un film qui a trouvé son langage.
(HdR)
Sélection officielle du Festival de Cannes 2025, 78e édition

Festival de Cannes 2025
La Sélection officielle de la 78e édition du Festival de Cannes, qui se tiendra du 13 au 24 mai 2025, a été annoncée le 10 avril par Iris Knobloch, présidente, et Thierry Frémaux, délégué général. Parmi les films sélectionnés, quatorze ont été photographiés par des membres de l’AFC. Informations diverses...
Berlin Festival 2025 Sébastien Buchmann, AFC, discusses the shooting of "Ari", by Léonor Serraille "Ari’s Gentleness", by François Reumont for the AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie
After Jeune femme (Caméra d’or at Cannes in 2017) and Petit frère, French filmmaker Léonor Serraille now offers a portrait of a young man, portrayed by Andranic Manet, who plays the lead role. Ari is a character full of contradictions who is navigating between malaise and hope, and who suddenly discovers a role in his life that he hadn’t anticipated. Sébastien Buchmann, AFC, is responsible for the images in this film, produced by Arte as part of a series on youth. (FR)
La Journée internationale des droits des femmes accompagnée par le magazine "Cinematography World"

Revue de presse
Samedi 8 mars 2025, le magazine britannique Cinematography World a accompagné la Journée internationale des droits des femmes en faisant partager des articles qui mettent en lumière le travail remarquable de huit directrices de la photographies de par le monde à travers un de leurs films les plus récents. Coup de projecteur sur Tasha Back, Alice Brooks, ASC, Cecile Embleton et Alys Tomlinson, Judith Kaufmann, BVK, Suzie Lavelle, ISC, BSC, Hélène Louvart, AFC, Polly Morgan, ASC, et Nanu Segal, BSC.
Festival de Berlin 2025 Sébastien Buchmann, AFC, nous parle du tournage de "Ari", de Léonor Serraille "La douceur d’Ari", par François Reumont, pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Après Jeune femme (Caméra d’or à Cannes en 2017) et Petit frère, la cinéaste française Léonor Serraille propose cette fois-ci le portrait d’un jeune homme porté par Andranic Manet, qui interprète le rôle principal. Ari est un personnage tout en contradictions qui navigue entre mal-être et espoir, et qui va soudain découvrir un rôle dans sa vie qu’il n’avait pas prévu. C’est Sébastien Buchmann, AFC, qui signe les images de ce film, produit par Arte dans le cadre d’une collection sur la jeunesse. (FR)