Isabelle Scala

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Articles (30)

Les entretiens de l’AFC Les Tontons flingueurs
de Georges Lautner, photographié par Maurice Fellous, membre d’honneur de l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

"Tiens, vous avez sorti l’Angénieux ? ou c’est curieux chez les opérateurs ce besoin de faire des phrases" par Isabelle Scala

Les Tontons flingueurs est le 8e film de Georges Lautner, le 7e tourné avec Maurice Fellous. A l’occasion de sa restauration et de sa sortie en salles en copie numérique, et après bien des palabres (Maurice nous affirmant au téléphone que tout avait été écrit, et dit dans les bonus des DVD, et qu’il n’avait plus rien à raconter), Jean-Noël Ferragut et moi sommes allés lui rendre visite, à Pontchartrain. Il nous attendait à la gare, une « claquette à la main, des fois qu’on ne le reconnaisse pas ». Pas le clap des Tontons, donné au plombier, nous confiera sa femme...

Des réactions au Micro Salon 2006

2006

Eric Guichard nous a fait part dans son éditorial de nombreuses réactions qui nous sont parvenues après le Micro Salon. Voici celles de quelques-uns de nos membres actifs et associés. (...)

Armand Barbault, l’homme qui aimait le cinéma
par Isabelle Scala

In memoriam

Armand Barbault, l’une des figures de la production française, nous a quittés le 13 avril 2018 dans sa quatre-vingt-sixième année. Son nom, cité au générique d’une trentaine de films en tant que producteur exécutif ou directeur de production, est étroitement lié à celui de cinéastes qu’il a accompagnés, tels que Truffaut, Miller, Godard, Chéreau, Téchiné, Cavalier ou encore Mikalkov.

Michael Ballhaus, ASC, à la Cinémathèque française, impressions
par Lubomir Bakchev, Céline Bozon, Denys Clerval (tous 3 AFC) et Isabelle Scala

Cinémathèque française

Lubomir Bakchev et Céline Bozon se sont joints à Caroline Champetier, Eric Gautier, Willy Kurant et Philippe Van Leeuw, pour former un groupe de directeurs de la photographie de l’AFC qui ont planché sur la préparation de l’intervention au cours de laquelle Michael Ballhaus, ASC, à l’invitation de la Cinémathèque française, a fait part au public de son " expérience cinéma ".
Le veille de cette réunion, tous ensemble se sont entretenus avec lui, et ses propos feront l’objet d’un article à paraitre dans le n° 4 de la revue Lumières, les Cahiers de l’AFC.
Voici leurs premières impressions, suivies de celles de Denys Clerval, AFC et d’Isabelle Scala.

Micro Salon 2008, une réussite à la hauteur de l’événement
par Isabelle Scala et Jean-Noël Ferragut

2008

Entre 1 500 et 2 000 visiteurs se sont donné le mot cette année pour franchir le pas de La fémis, sous un ciel non pas azuré mais couvert de ballons et autre dirigeable chargés de les accueillir avec hauteur dès leur arrivée, et se diriger vers les différents niveaux réservés aux espaces prise de vues, lumière, machinerie, supports et postproduction. Une quarantaine de nos membres associés ont joué le jeu de rencontrer nos invités d’un jour, toujours plus curieux de découvrir outils et savoir faire en constante évolution.

Alain Derobe, alchimiste de l’image
par Dominique Gentil, AFC

Alain Derobe

J’ai collaboré avec Alain Derobe au tournage d’un film 360°, destiné au Futuroscope.
Alain avait persuadé les producteurs, Jean-Lou Montieux et Patrick Bezanval, de ne pas utiliser les rigs existant aux Etats-Unis, loués à des prix prohibitifs, nous estimant capables de concevoir des équipements plus performants et mieux adaptés à notre projet qui était complexe, car il s’agissait de filmer le tour de France cycliste.

Maurice, l’artisan
Par Pascal Fellous

Maurice Fellous

Maurice. Ici je l’appellerai Maurice, parce que c’était une convention entre nous : sur les quelques tournages que nous avons partagés, il n’y avait plus de père ou de fils, mais deux techniciens travaillant côte à côte, Maurice et Pascal.

Articles (30)

Editorial de la Lettre de janvier 2020
Par Gilles Porte, président de l’AFC

Editoriaux de la Lettre

Conscient que j’avais utilisé beaucoup plus de caractères qu’il ne m’était autorisé lors de mes éditos précédents, j’imaginais, pour ce premier édito de l’année 2020, ne mettre en avant que 71 signes [voir la photo ci-dessous]… Des signes en adéquation avec cette période de vœux qui feraient écho, en même temps, aux festivals qui placent leurs rencontres avec les étudiants au centre de leurs préoccupations. Mais cette idée, qui pouvait me laisser espérer la possibilité de sortir du cadre au cours d’une prochaine Lettre, était sans compter les événements majeurs organisés par l’AFC dès le mois de janvier !

Dedolight entrusts its exclusive distribution in France to Cartoni France

Lumière, Energie et Accessoires

Dedo Weigert : "I am delighted to start this new collaboration with the Cartoni France team. We were looking for a distributor with professional technical expertise and contacts in both Cinema and Broadcast circles. Their customer approach corresponds to the values of Dedolight and I felt at home... During my visit to their office in Paris, I found Dedolight’s spirit !"

L’actualité récente de TSF

Technique

Dans l’actualité de TSF en décembre, les nouvelles séries Anamorphiques Technovision Classic, la nouvelle tête gyro-stabilisée Arri SRH-3, sept sorties en salles de films tournés avec nos moyens techniques, dont deux photographiés par des DP AFC, dix longs métrages en tournage, dont cinq photographiés par des membres de l’AFC, et deux fictions TV.

Editorial de la Lettre de novembre 2019
Par Gilles Porte, président de l’AFC

Editoriaux de la Lettre

Réflexion automnale… Alors que ma fille Syrine, en classe de terminale, est invitée à émettre ses vœux afin de choisir ce vers quoi elle se destinera, je me souviens qu’à un âge proche du sien, je débarquais à Paris avec, pour seuls compagnons d’escapade, un appareil photo argentique et un agrandisseur. C’était en 1987… Cette année -là, on avait posé une question à 700 cinéastes du monde entier dans un hors-série du journal Libération : Pourquoi filmez-vous ?

Jean Monsigny, un homme bien
Par François Catonné, AFC

Jean Monsigny

J’ai connu Jean Monsigny il y a longtemps, c’est avec lui que j’ai commencé. C’était mon premier film, directement comme premier assistant. Je n’avais pas de second et n’avais jamais travaillé professionnellement après Vaugirard / Louis-Lumière, c’est dire si j’étais débutant (un euphémisme).

Films (17)

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