Aaton LTR

Caméras

Résultats de la recherche

Articles (30)

Un hommage à Jean-Pierre Beauviala dans les "Cahiers du cinéma"

Jean-Pierre Beauviala

Dans le N° 755 - mai 2019 - des Cahiers du cinéma, le directeur de la photographie Thomas Favel rend hommage à Jean-Pierre Beauviala. Ayant fait au printemps 2006 un stage chez Aaton où il avait pour tâche de contrôler les caméras en retour de maintenance, il revient sur le parcours d’un esprit libre qui restera « au firmament des inventeurs ».

Jean-Pierre Beauviala (1937-2019)
La ville criminogène, le son concomitant et... un chat sur l’épaule

Jean-Pierre Beauviala

L’histoire d’Aaton fut d’abord et toujours celle d’un homme, Jean-Pierre Beauviala, au parcours singulier et unique dans l’histoire du cinéma et de ses techniques. Certes son nom vient s’ajouter à une liste de pionniers et industriels français, d’Etienne-Jules Marey et Louis Lumière à André Coutant et Pierre Angénieux, mais il incarne plus que les autres un certain génie français, cartésien et intuitif, considérant que trouver les bonnes réponses exige de se poser d’abord les bonnes questions afin de fournir les outils adaptés aux besoins de chacun.

Les gentils ronrons de l’Aaton
Par Gérard de Battista, AFC

Jean-Pierre Beauviala

En février 1973, Jean Rouch me demande de participer à un tournage "évènement" à l’occasion du Festival de courts métrages de Grenoble : un film sur ce festival, tourné avec une toute nouvelle caméra, en pellicule noir et blanc inversible envoyée au labo chaque soir à Paris et montée dès son retour développée pour que le film soit montré terminé à la fin du festival.

Jean-Pierre Beauviala a accompagné ma vie de chef opérateur
Par Eric Gautier, AFC

Jean-Pierre Beauviala

Jean-Pierre a accompagné toute ma vie de chef opérateur, depuis la fin des années 1970 et ses entretiens passionnants aux Cahiers du Cinéma, puis avec sa caméra S16 mm pour les courts métrages et les documentaires, puis l’Aaton 35 mm, que j’ai utilisée sur presque tous mes films avant l’arrivée de la magnifique Penelope, qui reste ma caméra de prédilection.