Laurent Dailland

L’AFC a récemment admis au sein de l’association la division Camera Stabilizer Systems d’Arri en tant que membre associé. Matias Boucard, Laurent Dailland et Philippe Ros, ses parrains AFC, font ci-après les présentations d’usage de ce nouveau venu tel qu’ils l’ont fait au moment de présenter sa candidature à leurs pairs

Film d’ouverture du 76^e Festival de Cannes, Jeanne du Barry offre à l’Américain Johnny Depp son premier rôle en langue française au côté de Maïwenn, qui occupe le rôle-titre et met en scène son sixième long métrage. C’est à Laurent Dailland, AFC, chef opérateur qui a photographié beaucoup de films d’époque, mais pas seulement, qu’elle confie la mise en image de ce film d’un genre inattendu dans sa filmographie. Laurent Dailland évoque son travail sur support argentique et revient sur ses choix pour créer un univers à la fois sobre et moderne et accompagner l’histoire de la favorite du roi Louis XV. (BB)

The 76th Cannes Film Festival’s opening film, Jeanne du Barry, is American actor Johnny Depp’s first French-language role, alongside Maïwenn, who directs and stars as the lead character in her sixth feature film. She entrusted Laurent Dailland, AFC (French Society of Cinematographers), with the cinematographic direction of this film of an unexpected genre in her filmography. Experienced in period films, – but not only – , Laurent Dailland talks about his work using 35mm film, and the choices he made to create a sober yet modern world to accompany the story of King Louis XV’s favourite. (BB)

Rémy Chevrin nous rejoint à l’AFC...
Comment vous présenter quelqu’un que je côtoie depuis longtemps et que vous apprécierez tout comme moi, autant sur le plan professionnel qu’amical ?

Lors du 15^e Micro Salon de l’AFC, Madelyn Most s’est entretenue avec le directeur de la photographie Laurent Dailland, AFC, à propos de sa nouvelle passion : l’emploi des optiques anciennes.

Ce film représente une année de travail : 4 mois de préparation, 23 semaines de tournage, 8 semaines d’étalonnage numérique au lieu des 5 prévues… Le réalisateur, Alain Chabat, est quelqu’un que j’admire beaucoup. Il y a entre nous, confiance et cohésion et un peu plus que ça... Nous nous sommes rencontrés sur le tournage de La Cité de la peur d’Alain Berbérian. J’aime beaucoup son humanité et pour moi, c’est un vrai cinéaste. Quand il m’a appelé pour éclairer les pubs Orangina, j’étais frappé par son sens de la caméra. Lui qui réalisait (…)

Il est évident que la disparition annoncée des Laboratoires Frasnay nous touche tous. Si j’emploie ce terme plutôt que LTC, c’est pour souligner que nos fournisseurs, il y a quelques années, étaient des " noms ", des " familles " , des " personnes ". Aujourd’hui, les visages ont laissé la place à des " spectres " agissant d’on ne sait où pour on ne sait qui... Tellement plus simple d’endosser le costume de Ponce Pilate.

Avec le chef électro, Pascal Pajaud, nous avons construit une tente totale, que nous avons appelée " Sunbox "

Le stabilisateur Trinity, qui permet de filmer avec un rig stabilisé électroniquement sur 5 axes, a été utilisé pour la première fois sur un long métrage franco-chinois réalisé par Gérard Krawczyck. Laurent Dailland, le directeur de la photographie du film, nous dévoile son expérience unique dans le désert du Xinjiang avec cet appareil développé par Arri.

Après les premiers retours des essais, j’ai eu une grande angoisse. J’avais très peur de la définition des plans larges après un passage par une chaîne 2K. Alors, j’ai fait un caprice. J’ai ressorti une caméra VistaVision. Finalement l’étalonnage numérique 2K a aligné le tout, et je ne trouve pas que les plans tournés en VistaVision (les plans très larges ou ceux comprenant des matte-paintings) aient plus de pêche que les autres. Seule la perspective (puisque, à champ équivalent, les plans sont tournés en plus longue focale) donne un côté (…)

La Cité de la peur, une comédie familiale revient sur la Croisette au Cinéma de la Plage. Evidemment, je pense à Alain Berbérian, le réalisateur de ce film qui nous a quittés trop tôt. Une ressortie, une projection à Cannes, lieu du crime... Je suis hyper content.

L’arrivée récente de Pierre-Hugues Galien, dont nous sommes les parrains, mais bien au-delà avec l’arrivée de plusieurs nouveaux membres à l’AFC, et pour ne citer que quelques-uns – Renaud Chassaing, Pierric Gantelmi d’Ille, Romain Lacourbas, Stéphane Massis –, nous a permis de réfléchir aux nouveaux chemins qui peuvent s’ouvrir au sein de l’association.

Comme annoncé il y a peu de temps, le directeur de la photographie Pierre-Hugues Galien a rejoint l’AFC, admis par ses pairs. Laurent Dailland, AFC, son parrain avec Eric Guichard, AFC, nous le présente ici.

Une flaque d’eau, un parapluie et voilà Olivier lancé dans une improvisation mexicaine de Chantons sous la pluie !
Créateur de décors de cinéma et créateur de bonne humeur, je l’ai rencontré pour le film d’Alain Chabat, Le Marsupilami, une belle aventure qui sera son dernier tournage, et comme un témoignage de son exubérance...

Petite fiche signalétique : Il a l’œil qui brille ! Une femme charmante ! Trois enfants ! Il est directeur de la photo ! J’ai découvert Rémy dans la publicité, nous sommes dans la même agence d’opérateurs (First-one). Après ses "classes" d’assistant opérateur, Rémy a tourné de plus en plus de pubs, de plus en plus belles, il s’est fait une place au soleil (ce qui est de bon goût dans la pub !...) Mais, pour un opérateur, ce serait triste de ne pas faire du cinéma, le vrai métier... Je l’ai présenté à plusieurs reprises à des réalisateurs, (…)

Mercredi 18 mai, les Rendez-vous de la CST accueillaient notre membre associé Fujifilm.
Laurent Dailland, AFC, en était un des invités d’honneur.

Et jeudi 19 mai la société Panasonic offrait à son tour le cocktail

Aujourd’hui vendredi 20 mai, Eclair et Panavision, membres associés de l’AFC, sont les partenaires des Rendez-vous de la CST.

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Claquer des dents par 35° à l’ombre, de l’Afrique du Sud à l’Ecosse, un privilège réservé aux élèves de la Leçon de Cinéma de Kodak, mardi 28 juin, avec Man to Man, photographié par Laurent Dailland. L’équipe Kodak nous a accueillis rue Villiot dans l’espace fraîchement réaménagé de sa salle de projection.