Léonce-Henri Burel
Direction de la photographie
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A la mémoire de Jean Charvein Par Jean-César Chiabaut
Jean Charvein
Jean a été mon premier " ami de cinéma " et l’est resté. Grâce à lui je suis " entré dans la carrière ", il m’a recruté en 1956 comme deuxième assistant dans l’équipe de Léonce-Henri Burel, parce que j’étais un Niçois, comme lui et le cadreur, Henri Raichi – pour un film de Robert Bresson, Le Condamné à mort s’est échappé.
Articles (30)
Séance de Q&R avec Matias Boucard, AFC, à propos du film "Eiffel", de Martin Bourboulon

Les entretiens de Camerimage
Dans le biopic historique Eiffel, Martin Bourboulon fait se heurter la grande et la petite histoire. Car si la trame de fond du scénario reste la construction de la célèbre tour, le film met plutôt l’accent sur l’histoire d’amour vécue parallèlement par Gustave Eiffel. À l’image, Matias Boucard, AFC, navigue avec une grande maîtrise entre la délicate intimité de cette romance interdite et la grandiloquence métallisée du projet visionnaire qui a changé l’image de Paris à tout jamais. Présenté à Camerimage en compétition principale, Matias Boucard est revenu sur les principaux défis que lui ont posé ce film et les solutions qu’il y a trouvées, lors d’une séance de Q&R. (MC)
"Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France (1833-1907)" Exposition au musée d’Orsay

Expositions et Musées
Organisée par le musée d’Orsay et le musée de l’Orangerie, au côté du Los Angeles County Museum of Art, l’exposition "Enfin le cinéma ! Arts, images et spectacles en France 1833-1907", présentée du 28 septembre 2021 au 16 janvier 2022, est l’occasion de rappeler, grâce à la réunion de quelque 400 œuvres, que le cinéma est la suite naturelle du cinématographe des frères Lumière, dont les "photographies animées" sont le fruit d’une succession de dispositifs visuels et d’attractions, et que les premiers films sont les héritiers de multiples pratiques, artistiques ou scientifiques, érudites ou populaires.
Tribute to Jean Penzer By Marc Salomon, consulting member of the AFC

Jean Penzer
Born on 1st October 1927 at Livry-Gargan to parents of Russian birth. His father was born at Krisilo (today in Ukraine) and his mother at Vitebsk (today in Belarus). They met in Odessa before moving to France in 1911, where they were naturalized in 1928. Jean-Bernard Penzer studied cinema at the Vaugirard cinema school from 1945-1947 (same class as Jean Boffety, Pierre Tchernia, Georges Leclerc, René Mathelin and Georges Dufaux) before working as an assistant cameraman from 1947-1955.
"Les Manufactures de nos rêves - Les studios de cinéma français des années 1930" Un livre de Morgan Lefeuvre

Livres et revues
Il est question, dans cet ouvrage, d’une histoire sociale et culturelle des studios de cinéma français depuis les débuts du parlant jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, qui accorde une large place à l’organisation des tournages, à la question des conditions de travail des techniciens de la production ainsi qu’aux luttes sociales qui animent les professionnels du cinéma de la décennie. Ce livre est l’aboutissement d’un long travail de recherche dans les archives et de collecte d’informations souvent inédites, il représente par ailleurs le premier ouvrage sur l’histoire des studios français. (Morgan Lefeuvre)
Hommage à Jean Penzer Par Marc Salomon, membre consultant de l’AFC

Jean Penzer
Né le 1er octobre 1927 à Livry-Gargan, de parents d’origine russe. Son père était né à Krisilo (aujourd’hui en Ukraine) et sa mère à Vitebsk (aujourd’hui en Biélorussie). Ils s’étaient connus à Odessa avant de venir s’installer en France, en 1911, où ils obtiendront la naturalisation en 1928. Jean-Bernard Penzer avait étudié le cinéma à l’école de Vaugirard entre 1945 et 1947 (dans la même promotion que Jean Boffety, Pierre Tchernia, Georges Leclerc, René Mathelin et Georges Dufaux) avant de travailler comme assistant opérateur entre 1947 et 1955.
"Sculpter la lumière", écouter ou réécouter Henri Alekan et Louis Page parler de leur métier

Propos et entretiens divers
Les Nuits de France Culture, dans son émission nocturne du 19 mars 2021, passé minuit, rediffusait le 5e épisode de "Cinéromans, les archives sonores du cinéma français" intitulé "Sculpter la lumière". Deux de ses grands artisans, les directeurs de la photographie Henri Alekan et Louis Page, évoquant leur parcours respectif, remontaient le temps pour dérouler le demi-siècle d’histoire d’un métier qui n’avait déjà plus grand chose à voir, au moment de l’enregistrement – en août 1982 –, avec ce qu’il était quand ils ont débuté, dans les années 1930.
César et Production : Prix Daniel Toscan du Plantier 2021

Autres prix
Remis le 3 mars 2021 par Frédérique Bredin et Alain Attal, Chargés de Mission du Bureau de l’Académie des Arts et Techniques du Cinéma, et Henri de Roquemaurel, Directeur du pôle Image & Médias de BNP Paribas, le Prix Daniel Toscan du Plantier, qui distingue chaque année la productrice ou le producteur ayant le plus marqué l’année cinématographique écoulée par son travail et sa détermination, a été attribué à Caroline Bonmarchand (Avenue B Productions). Elle a produit, en 2020, Énorme, film réalisé par Sophie Letourneur et photographié par Laurent Brunet, AFC.
Leitz présente Henri, le nouveau chercheur de champ

Caméras et Accessoires
Ce nouveau système est basé sur les connaissances et l’expérience uniques de Leica dans le développement de boîtiers professionnels, combinées à la profonde compréhension de Leitz du marché des objectifs cinéma et des besoins particuliers de ses utilisateurs professionnels dans le monde entier.
Les films chronophotographiques d’Étienne-Jules Marey à voir en ligne

Cinémathèque française
Depuis plusieurs mois, la Cinémathèque française diffuse, sur sa plate-forme Henri, quelques pépites méconnues du patrimoine cinématographique. C’est ainsi que l’on peut redécouvrir, depuis le 16 décembre et avec une certaine émotion due à la vision de toutes premières images animées, premiers pas – au propre comme au figuré –, annonçant le cinématographe en devenir, les films chronophotographiques d’Étienne-Jules Marey.
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A la mémoire de Jean Charvein Par Jean-César Chiabaut
Jean Charvein
Jean a été mon premier " ami de cinéma " et l’est resté. Grâce à lui je suis " entré dans la carrière ", il m’a recruté en 1956 comme deuxième assistant dans l’équipe de Léonce-Henri Burel, parce que j’étais un Niçois, comme lui et le cadreur, Henri Raichi – pour un film de Robert Bresson, Le Condamné à mort s’est échappé.