Léonce-Henri Burel

Direction de la photographie

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Articles (1)

A la mémoire de Jean Charvein
Par Jean-César Chiabaut

Jean Charvein

Jean a été mon premier " ami de cinéma " et l’est resté. Grâce à lui je suis " entré dans la carrière ", il m’a recruté en 1956 comme deuxième assistant dans l’équipe de Léonce-Henri Burel, parce que j’étais un Niçois, comme lui et le cadreur, Henri Raichi – pour un film de Robert Bresson, Le Condamné à mort s’est échappé.

Articles (30)

"Le Toit de la baleine", de Raoul Ruiz, photographié par Henri Alekan
François Ede se souvient...

Histoire de la cinématographie

Dans le cadre de sa plateforme Internet "Henri", la Cinémathèque française propose de redécouvrir ce film de Raoul Ruiz, tourné en Hollande, en 1982. Le Toit de la baleine est une fable ethnographique censée se situer dans d’improbables paysages de Patagonie. Nous avons demandé à François Ede, qui participa au tournage ainsi qu’à la restauration du film en 2016, de se replonger dans ses souvenirs afin de revenir, en particulier, sur le travail d’Henri Alekan, toujours audacieux et inventif.

Henri Cartier-Bresson nous a quittés

Henri Cartier-Bresson

Henri Cartier-Bresson est mort à Céreste (Alpes-de-Haute-Provence), lundi 2 août, à l’âge de quatre-vingt-quinze ans.

Avec Jacques-Henri Lartigue et Robert Doisneau, Henri Cartier-Bresson a longtemps été un des seuls photographes dont le grand public connaissait le nom, souvent ramené à ses seules initiales : H. C.-B.
D’une insatiable curiosité, il définissait ainsi son rapport à la photographie :
« Pour moi, l’appareil est un véritable aimant. Il vous donne envie d’enfermer le monde entier dans cette petite boîte, avec tous les détails significatifs qui font le charme de l’existence. » (...)

Centième anniversaire de la naissance d’Henri Alekan

Henri Alekan

La Cinémathèque française organise une séance spéciale, le samedi 27 juin 2009 à 14h30, Salle Henri Langlois, autour d’une projection de L’Etat des choses de Wim Wenders.
Et, après la projection, une rencontre avec Agnès Godard, Willy Kurant, Jean-Louis Leconte et, sous réserve, Wim Wenders.



Henri Cartier-Bresson en DVD

Regard sur la photographie

« Photographier, c’est retenir son souffle quand toutes nos facultés se conjuguent devant la réalité fuyante...
Photographier : c’est mettre sur la même ligne de mire la tête, l’œil et le cœur. C’est une façon de vivre. »
Ces quelques mots du photographe Henri Cartier-Bresson viennent en introduction d’un livret illustré accompagnant un coffret de deux DVD consacré au photographe et édité par MK2 et la Fondation Henri Cartier-Bresson.

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Parution d’"Henri Alekan - Le Vécu et l’Imaginaire"
Un recueil de souvenirs présenté par José-Louis Bocquet et Philippe Pierre-Adolphe

Livres et revues

En avril 1987, Philippe Pierre-Adolphe et José-Louis Bocquet rencontraient Henri Alekan dans le cadre d’un reportage réalisé dans sa propriété en Bourgogne ; âgé de 78 ans, il était au sommet de sa carrière. Plus de dix ans après, en 1999, une première édition du Vécu et l’Imaginaire paraît aux éditions de La Sirène évoquant ses souvenirs. En octobre 2019, une réédition est publiée, complétée et enrichie de textes inédits bénéficiant d’une iconographie issue des archives d’Henri Alekan, déposées à la Cinémathèque française par son épouse Nada.

La Cinémathèque française lance "Henri", une plateforme de collections de films

Cinémathèque française

Dans un communiqué datant du jeudi 10 avril, la Cinémathèque française annonce le lancement de "Henri", une plateforme qui propose, tous les soirs à 20h30, la surprise d’un film rare qu’elle aura sauvegardé et restauré au cours des vingt dernières années. Elle s’est ouverte avec le mise en ligne, ce même jour, du film de Jean Epstein La Chute de la maison Usher (1928), photographié par Georges Lucas.

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A la mémoire de Jean Charvein
Par Jean-César Chiabaut

Jean Charvein

Jean a été mon premier " ami de cinéma " et l’est resté. Grâce à lui je suis " entré dans la carrière ", il m’a recruté en 1956 comme deuxième assistant dans l’équipe de Léonce-Henri Burel, parce que j’étais un Niçois, comme lui et le cadreur, Henri Raichi – pour un film de Robert Bresson, Le Condamné à mort s’est échappé.