Marie Celette

Direction de la photographie

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Irina Lubtchanksy, AFC, talks about her collaboration with Arnaud and Jean-Marie Larrieu on "Le Roman de Jim"
By Brigitte Barbier for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024

Adapted from the latest novel by writer Pierric Bailly, Le Roman de Jim (published by POL in 2021) explores fatherhood outside of blood ties. The film was shot entirely in the Haut Jura, in the settings described in the book. The Larrieu brothers, Arnaud and Jean-Marie, - the directing duo who shoot all their films in the mountains, such as Peindre ou faire l’amour and Tralala – directed this melodrama. They called on cinematographer Irina Lubtchansky, AFC, to craft the visuals of this saga spanning 25 years. She reflects on this first collaboration with two directors who set the tone for French auteur cinema. With Le Roman de Jim, the Larrieu brothers return to the Cannes Film Festival in 2024, in the Cannes Première official selection. (BB)

Le directeur de la photographie Jean-Marie Dreujou, AFC, parle de son travail sur "La danza de la realidad", d’Alejandro Jodorowsky

Les entretiens au Festival de Cannes

Jean Marie Dreujou, AFC, est depuis Deux frères le fidèle collaborateur de Jean-Jacques Annaud. Il a également signé l’image de huit films au côté de Patrice Leconte (dont La Fille sur le pont, nommé au César de la meilleure photo en 2000). Aujourd’hui, c’est l’écrivain, réalisateur et poète Alejandro Jodorowski qui lui confie la caméra sur La danza de la realidad, un film autobiographique réalisé à l’aune de ses quatre-vingt-trois printemps. (FR)

L’éditorial d’octobre 2024, par Jean-Marie Dreujou, président de l’AFC

Editoriaux de la Lettre

Pierre-William, un des deux présidents d’honneur de l’AFC, nous a quittés le 23 septembre à 23h23. Voici les mots que Pierre-William avait écrits pour la présentation de l’exposition qui retraçait sa carrière à la Maison des artistes : « Être opérateur, c’était une manière de ne pas penser à moi, de ne pas parler de moi, en sorte une forme de pudeur. Peut-être que j’arrive à un moment où j’ai envie de parler de moi… On ne sait pas bien comment on franchit le cap ; un jour on se dit que si ça se trouve, on pourrait raconter des choses personnelles qui ne seraient pas moins intéressantes que bien d’autres ».

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