Patrice Carré

Presse

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Articles (5)

Prestataires de tournage, "Le film français" mène l’enquête

Livres et revues

Dans son édition datée du 7 juillet 2017, l’hebdomadaire Le film français publie un dossier d’enquête intitulé "Prestataires de tournage : un ’business model’ en perpétuelle évolution". En introduction, Patrice Carré rappelle que « dans un écosystème redevenu favorable, le modèle reste tendu ».

Les souvenirs cannois de Pierre-William Glenn, AFC

Festival de Cannes 2017

Dans sa 5e édition quotidienne du lundi 22 mai, l’hebdomadaire Le film français a publié un article de Patrice Carré où Pierre-William Glenn, AFC et président de la CST, fait « partager son regard, ses souvenirs et impressions de cet évènement pas comme les autres ».

La Prévisualisation On Set vue par Christian Guillon

Prévisualisation de l’image

L’hebdomadaire Le film français, dans son numéro 3686 du 18 mars 2016, a publié une enquête intitulée "La prévis, une solution encore méconnue". Christian Guillon, superviseur VFX, interrogé par Patrice Carré, revient sur le projet de recherche et développement collaboratif "Prévisualisation On Set" (POS), auquel ont participé, entre autres partenaires, l’ENS Louis-Lumière, Loumasystems et Technicolor.

Articles (30)

Comment Julien Poupard a imaginé la photographie des "Amandiers"
Un entretien publié par le CNC

Propos et entretiens

Très prolifique cette année, le directeur de la photographie de La Petite Bande (Pierre Salvadori), L’Innocent (Louis Garrel) et Les Miens (Roschdy Zem) dévoile les coulisses de sa première collaboration avec Valeria Bruni Tedeschi sur Les Amandiers. Il revient notamment sur son travail de reconstitution des années 1980, autour de l’école de théâtre créée par Patrice Chéreau.

Exposition "Nuits électriques", au MuMa du Havre

Expositions et Musées

Avec l’apparition de l’éclairage artificiel, le 19e siècle voit le paysage nocturne évoluer de manière radicale, la nuit s’illuminant progressivement en se parant d’ambiances variées : jeux d’ombres et de lumières, clair-obscur, contre-jour, premières publicités éclairées au néon… Les arts - peinture, gravure, photographie - ayant été fortement marqués par ces métamorphoses nocturnes, le MuMa du Havre, avec l’exposition Nuits électriques, propose d’explorer, du 3 juillet au 1er novembre 2020, cette question de la perception de l’éclairage artificiel urbain par les artistes de la seconde moitié du 19e siècle jusqu’à la veille de la Première Guerre mondiale.

Pierre Lhomme, from Sidney Bechet to the "Light of God"

Pierre Lhomme

Pierre Lhomme’s career has traversed nearly fifty years of French cinema, displaying the same ease and rigorousness with directors such as Alain Cavalier, Chris Marker, Jean Eustache, James Ivory, Joris Ivens, René Féret, Jean-Pierre Melville, Jean-Paul Rappeneau, Margurite Duras, Patrice Chéreau, Robert Bresson, Bruno Nuytten, and others. These richly-diverse collaborations were all nourished by an attentive and uninterrupted observation of natural lighting in all of its forms : “I train my eye everywhere, in the street, in the cinema. I am very curious about gazes, ambiences, climates. Reality is a prodigious source of inspiration.” (P.L.)

Pierre Lhomme, de Sidney Bechet à "la lumière du bon Dieu"

Pierre Lhomme

La carrière de Pierre Lhomme traverse près de cinquante ans de cinéma français, passant avec la même aisance et les mêmes exigences d’Alain Cavalier à Chris Marker, de Jean Eustache à James Ivory, de Joris Ivens à René Féret, de Jean-Pierre Melville à Jean-Paul Rappeneau, de Marguerite Duras à Patrice Chéreau, de Robert Bresson à Bruno Nuytten…, collaborations riches par leur diversité qui se nourrissent d’une observation attentive et ininterrompue de la lumière naturelle sous toutes ses formes : « Je fais mon œil partout, dans la rue, au cinéma. Je suis très curieux de regards, d’ambiances, de climats. La réalité est une source d’inspiration prodigieuse ». (P. L.)

A propos des "Silences de Johnny", documentaire de Pierre-William Glenn, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes

Lorsqu’on interroge quelqu’un sur la carrière de Johnny Hallyday au cinéma, rares sont les personnes, même les fans, qui peuvent lister plus de cinq films sur les trente-quatre qu’il a interprétés. Et pourtant sa carrière d’acteur a commencé avant celle de chanteur, en 1954, dans Les Diaboliques, de Henry-Georges Clouzot. Il est même probable que Johnny ait découvert Elvis Presley et le Rock’n’roll en voyant Loving You (Amour frénétique) au cinéma à l’âge de 14 ans.

On the necessity of the gaze of the other
Interview with cinematographer Jonathan Ricquebourg, AFC, about his work on Pierre Trividic and Patrick Mario Bernard’s film “L’Angle mort”

Les entretiens au Festival de Cannes

Pierre Trividic and Patrick Mario Bernard have been directing films together since the 1980s. Their filmography reveals a taste for the strange and the fantastic, such as Le Cas Lovecraft (documentary), Dancing, L’Autre. With L’Angle mort, they offer us a cinema that engages simultaneously with political and romantic issues. We met Jonathan Ricquebourg, AFC, last year, to discuss Jean-Bernard Marlin’s vigorous film Sheherezade. Since then, he has also signed off on the image of Jean-Charles Hue’s Tijuana Bible, and is currently working with the Trividic-Mario Bernard tandem on their latest film, L’Angle mort. This film is presented by the ACID at the 2019 Cannes Film Festival.

De la nécessité du regard de l’autre
Entretien avec le directeur de la photographie Jonathan Ricquebourg, AFC, à propos de son travail sur "L’Angle mort", de Pierre Trividic et Patrick Mario Bernard

Les entretiens au Festival de Cannes

Pierre Trividic et Patrick Mario Bernard réalisent en duo depuis les années 1980. Leur filmographie reflète un goût pour l’étrange et le fantastique, Le Cas Lovecraft (documentaire), Dancing, L’Autre. Avec L’Angle mort, ils proposent un cinéma aux enjeux à la fois politiques et romanesques. Nous avions rencontré l’an dernier Jonathan Ricquebourg, AFC, pour le vigoureux Shéhérazade, de Jean-Bernard Marlin. Il a depuis signé l’image de Tijuana Bible, de Jean-Charles Hue, et accompagne aujourd’hui le tandem Trividic-Mario Bernard pour leur dernier film L’Angle mort. Ce film est présenté par l’ACID au Festival de Cannes 2019.

Articles (5)

Prestataires de tournage, "Le film français" mène l’enquête

Livres et revues

Dans son édition datée du 7 juillet 2017, l’hebdomadaire Le film français publie un dossier d’enquête intitulé "Prestataires de tournage : un ’business model’ en perpétuelle évolution". En introduction, Patrice Carré rappelle que « dans un écosystème redevenu favorable, le modèle reste tendu ».

Les souvenirs cannois de Pierre-William Glenn, AFC

Festival de Cannes 2017

Dans sa 5e édition quotidienne du lundi 22 mai, l’hebdomadaire Le film français a publié un article de Patrice Carré où Pierre-William Glenn, AFC et président de la CST, fait « partager son regard, ses souvenirs et impressions de cet évènement pas comme les autres ».

La Prévisualisation On Set vue par Christian Guillon

Prévisualisation de l’image

L’hebdomadaire Le film français, dans son numéro 3686 du 18 mars 2016, a publié une enquête intitulée "La prévis, une solution encore méconnue". Christian Guillon, superviseur VFX, interrogé par Patrice Carré, revient sur le projet de recherche et développement collaboratif "Prévisualisation On Set" (POS), auquel ont participé, entre autres partenaires, l’ENS Louis-Lumière, Loumasystems et Technicolor.