Pierre-Marie Paubel

Direction de la photographie
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Articles (30)

Pierre Aïm, AFC, looks back at the challenges faced during the filming of Tariq Saleh’s "Eagles of the Republic"
"The movie Pharaoh", by François Reumont for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025

With Eagles of the Republic, Swedish filmmaker Tarik Saleh changes register and offers a CinemaScope format story with two different narrative tones. First, a kind of comedy-drama featuring a film superstar George El Nabawi (Fares Fares, his favourite actor) and his personal problems, then a much darker political thriller with a rather unexpected twist. Pierre Aim, AFC - who had already photographed his two previous films - reunites with him on this project shot over 40 days in Istanbul to cheat the city of Cairo. (FR)

"Dis pas de bêtises" : l’hommage de son fils à Pierre-William Glenn

Festival de Cannes 2025

Le Festival de Cannes, sur son site Internet, publie un entretien avec Vincent Glenn – le fils de Pierre-William Glenn, qui fut l’un des membres fondateurs de l’AFC et un temps son président –, dont le film documentaire est présenté à Cannes Classics. « Véritable lettre d’amour d’un fils à son père, Dis pas de bêtises ! se penche sur la relation qu’il a tissée avec son père, célèbre chef opérateur de la Nouvelle Vague. Dans ce document touchant, Pierre-William Glenn est de tous les plans, au crépuscule de sa vie. »

Pierre Aïm, AFC, revient sur les défis du tournage des "Aigles de la République", de Tariq Saleh
"Le pharaon des plateaux", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025

Avec Les Aigles de la République, le cinéaste suédois Tarik Saleh change de registre et offre un film en format Scope à plusieurs facettes. D’abord, une sorte de comédie dramatique mettant en scène une superstar de cinéma (Fares Fares, son acteur fétiche) et ses problèmes personnels, puis un thriller politique beaucoup plus noir au rebondissement assez inattendu. Pierre Aïm, AFC – qui avait déjà signé l’image de ses deux précédents films - le retrouve sur ce projet tourné sur 40 jours à Istanbul pour tricher la ville du Caire. (FR)

Interview with Dion Beebe, ACS, ASC, winner of the Pierre Angénieux Tribute 2025
By François Reumont for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025

Australian director of photography Dion Beebe has been chosen to receive the 2025 Excellens Pierre Angénieux prize. After working with director Jane Campion in 1999 on Holy Smoke, his career took off in Hollywood when he lensed Chicago with Rob Marshall (the film adaptation of the broadway musical). This was shortly followed by Michael Mann’s Collateral, in 2004 and a number of very big productions such as Rob Marshall’s Memoirs of a Geisha, 2005 or Doug Liman’s Edge of Tomorrow (2014). He talks to us about his profession, what the digital revolution has meant for him, and about Angénieux zooms... of course ! (FR)

Entretien avec Dion Beebe, ACS, ASC, lauréat de l’Hommage Pierre Angénieux 2025
Par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025

Cette année, c’est le directeur de la photographie australien Dion Beebe, ACS, ASC, qui a été choisi par Angénieux pour recevoir l’hommage du même nom. Ayant été remarqué au côté de la cinéaste Jane Campion en 1999 avec Holy Smoke, sa carrière décolle surtout à Hollywood lors de sa collaboration avec Rob Marshall sur l’adaptation filmée de la comédie musicale Chicago. S’en suivent alors Collateral, de Michael Mann, en 2004, et plusieurs très grosses productions comme Memoirs of a Geisha, de Rob Marshall, ou Edge of Tomorrow, de Doug Liman (2014). Il vient nous parler de son métier, de ce que la révolution du numérique a signifié pour lui et des zooms... Angénieux bien sûr ! (FR)

Marine Atlan, cinematographer, and Pierre Mazoyer, colorist for
 "The Girl in the Snow", by Louise Hémon
By Hélène de Roux for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025

Embodying the Enlightenment and early female emancipation, the resolute and not God-fearing Aimée (Galatea Belluggi) sets up her books and planisphere in a stable turned into school, in the hollow of an Alpine valley circled by slopes and the shade of fir trees. Coldly received by a handful of local families, only the youngest of whom speak French, the young teacher is confronted with darkness, both literal and metaphorical, but also with the burning experience of a sensuality that is both an extension of Rationality and the bearer of a curse. Filmed over eight winter weeks by Marine Atlan in a 1.33 aspect ratio favoring both portraits and peaks, this cruel Maupassant-style tale follows Aimée’s physical and mental evolution as close as possible to the skins and to flames, with all the rigor and clarity of a film that has found its language.
(HdR)

Marine Atlan, cheffe opératrice, et Pierre Mazoyer, étalonneuse, nous parlent de "L’Engloutie", de Louise Hémon
Par Hélène de Roux pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025

Telle une incarnation des Lumières et d’une émancipation féminine précoce, la résolue et laïque Aimée (Galatea Belluggi) installe ses livres et son planisphère dans une étable qui servira d’école, au creux d’un vallon alpin encerclé par les pentes et l’ombre des sapins. Accueillie froidement par les quelques familles locales dont seuls les plus jeunes parlent français, la jeune institutrice fait face à l’obscurité, littérale et métaphorique, mais fait aussi l’expérience brûlante d’une sensualité à la fois prolongement de la Raison et porteuse de malédiction. Filmé sur huit semaines d’hiver par Marine Atlan dans un ratio 1,33 favorisant les portraits comme les cimes, ce conte cruel à la Maupassant fait ressentir l’évolution physique et mentale d’Aimée au plus près des peaux et des flammes, avec toute la rigueur et l’évidence d’un film qui a trouvé son langage. 
(HdR)

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