Pierre-William Glenn

Direction de la photographie

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Articles (30)

Pierre-William Glenn dessine une caméra pour le Micro Salon 2023
Par Gilles Porte, AFC

2023

Pierre-William Glenn ne souhaite pas regarder le petit film que j’ai fait avec lui avant d’aller ensemble au Micro Salon. « Je préfère avec les autres, sur grand écran… » « Les autres », ce sont ses anciens collègues de l’AFC, les nouveaux et celles et ceux qui s’investissent dans des industries techniques, derrière des films, et dont quelques-uns restent à jamais des artisans.

Retour sur "La Nuit américaine", en l’honneur de Pierre-William Glenn, son directeur de la photographie

Actualités AFC

Accompagné d’étudiants de l’ENSLL, j’ai filmé la soirée du 8 septembre 2021 où l’AFC rendait hommage à Pierre-William Glenn en projetant, sur grand écran et en plein air, La Nuit américaine, de François Truffaut, qu’il a photographié. Cette vidéo de six minutes vient à la suite, dans cet article et en tant que mémoire visuelle, d’un texte où Gilles Porte, l’un des initiateurs de la soirée, fait l’historique et le récit détaillé de cette nuit qualifiée de « magique ». (Dominique Gentil)

Disparition de Pierre-William Glenn, AFC, de nombreux témoignages parvenus à l’AFC

Actualités AFC

À la suite du départ de Pierre-William Glenn, AFC, vers d’autres lumières que celles d’ici-bas, de nombreux témoignages sont parvenus à l’AFC, en provenance de membres directeurs et directrices de la photographie de l’AFC, d’une part, et de personnalités du cinéma qui l’ont côtoyé sur un plateau, en tant qu’ami ou connaissance, ou encore sur les bancs du département Image de La Fémis, d’autre part. En voici quelques-uns parmi les plus marquants...

Le film court de Gilles Porte, AFC, pour Sony au Micro Salon 2023, où Pierre-William Glenn, AFC, dessine une caméra, désormais en ligne

2023

Nous publions avec un certain retard deux vidéos liées à la présentation Sony au Micro Salon 2023. L’une de la captation de cette présentation par Fabien Pisano, Jean-Yves Martin et Gilles Porte, AFC, l’autre du film court de ce dernier, tourné en Sony Venice 2, où Pierre-William Glenn, AFC, dessine une caméra.

A propos des "Silences de Johnny", documentaire de Pierre-William Glenn, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes

Lorsqu’on interroge quelqu’un sur la carrière de Johnny Hallyday au cinéma, rares sont les personnes, même les fans, qui peuvent lister plus de cinq films sur les trente-quatre qu’il a interprétés. Et pourtant sa carrière d’acteur a commencé avant celle de chanteur, en 1954, dans Les Diaboliques, de Henry-Georges Clouzot. Il est même probable que Johnny ait découvert Elvis Presley et le Rock’n’roll en voyant Loving You (Amour frénétique) au cinéma à l’âge de 14 ans.

La Master Class de Pierre-William Glenn au Festival du film français de Richmond est en ligne

Conférences, tables rondes, colloques, séminaires, Leçons de cinéma

En 2019, la 27e édition du Festival du film français de Richmond (Etats-Unis) s’est déroulée du 28 au 31 mars, accueillant films et cinéastes français et francophones tout en proposant des Master Classes de certains de ses invités. Gilles Porte, AFC, ayant été l’un d’entre eux, présente ici une vidéo de la rencontre avec Pierre-William Glenn, AFC, autre invité de marque du festival.

En hommage à Pierre-William Glenn, AFC
Texte lu par Gilles Porte, AFC, lors des obsèques au cimetière de Montreuil

Pierre-William Glenn

Si Pierre-William n’avait pas un jour imaginé l’AFC sur une nappe en papier en compagnie d’Henri, Raoul, Ricardo, Georges, Robert, Alain et Denis, nous ne nous nous serions sans doute jamais rencontrés avec Vincent, Agnès, Carlo, Nathalie, Romain, Sarah, Eric, Pascale, Jean-Noël, Claude, Jean-Marie, Elin, Michel, Marie, Marc, Caroline et tous les autres que je ne peux citer dont beaucoup sont présents aujourd’hui... L’AFC, c’est un "Collectif" et cette notion de "Collectif", Pierre-William y tenait beaucoup, beaucoup, beaucoup...

Transpalux rend hommage à Pierre-William Glenn, AFC

Billets d’humeur

Il y a des hommes qu’on ne pourra pas oublier. Pierre-William Glenn aura marqué l’histoire du cinéma et celle de Transpa. Très impliqué dans les industries techniques et très proche de Didier Diaz, qui a participé à tous les projets de son ami aussi bien en tant que réalisateur avec son premier film, Le Cheval de fer, qu’à son dernier film en tant que directeur de la photographie, Un fil à la patte.

Articles (30)

Gerry Fisher is not dead
By Pierre-William Glenn, AFC

Gerry Fisher

Gerry Fisher was one of the greatest men I met in my life. Joseph Losey asked me to be the Director of Photography on Monsieur Klein in the event Gerry didn’t obtain the special dispensation to work at this position in France (professional cards reigned supreme in those days…).

Gerry Fisher n’est pas mort
Par Pierre-William Glenn, AFC

Gerry Fisher

Gerry Fisher a été une des grandes rencontres de ma vie. J’avais été sollicité par Joseph Losey pour être le chef opérateur de Monsieur Klein au cas où Gerry n’obtiendrait pas la dérogation pour travailler à ce poste en France (les cartes professionnelles faisaient loi à l’époque…).

Partagez votre expérience avec la nouvelle génération !
par Jean-Jacques Bouhon et Pierre-William Glenn

ENSMIS La Fémis

Depuis maintenant trois ans, les élèves en Image de troisième année à La fémis doivent obligatoirement faire un stage professionnel entre le début du mois d’avril et la fin du mois de juin. Certains d’entre vous ont déjà, par le passé, accueilli des élèves des promotions précédentes et l’expérience a été pour le moins enrichissante.

Pour Edmond Richard
Par Pierre-William Glenn, AFC

Edmond Richard

Je l’avais rencontré, en visite sur le tournage de Fantasia chez les ploucs, de Gérard Pirès, en 1971. Le personnage était particulièrement original : un coffre plein de médecines bizarres, une réputation de médecin accoucheur, une dégaine de Lord anglais et une rigidité technique inébranlable (il avait décidé de tourner tout le film à 8 de diaphragme et il s’y tenait. Avec une pellicule de 100 ASA les acteurs avaient très chaud dans les intérieurs…).

Pour Jacques Loiseleux
Par Pierre-William Glenn, AFC

Jacques Loiseleux

J’ai connu Jacques sur un feuilleton de Telfrance, en 1967, où j’étais acteur, chef de bande d’une horde de motards au titre significatif : Les Oiseaux rares. Le courant est tout de suite passé entre le chef opérateur-cadreur et le jeune idiot que j’étais à l’époque, à la tête d’une bande de futurs pilotes du championnat du monde, faisant fi de toute limitation de vitesse, de toute sécurité élémentaire et dont beaucoup sont morts de leur passion maintenant.

Adieu l’Artiste
par Pierre-William Glenn, AFC

Alain Derobe

Alain Derobe était le fils de Jeander, critique très sérieux et réputé de Libération et j’ai eu la chance de le rencontrer à l’IDHEC en 1964. J’y étais élève en Image et Alain – Pilou pour les intimes – était un intervenant professionnel du département. La sympathie s’est créée immédiatement puisqu’Alain achetait des lots de motos aux Domaines pour en reconstruire une en bon état de marche et que j’allais à l’Ecole avec une Triumph 6T...

Notre travail à La fémis
par Jean-Jacques Bouhon et Pierre-William Glenn

Billets d’humeur

Au début de l’année 2005, nous avons repris la direction du département Image de l’école de cinéma la plus prestigieuse à la suite d’Alain Monclin et de Pierre Novion.
L’histoire est longue des liens de notre association avec les écoles publiques de cinéma puisqu’une majorité des membres de l’AFC est sortie soit de l’ENS Louis-Lumière (surnommée autrefois " Vaugirard ") ou de l’IDHEC (ancêtre de l’actuelle Fémis).

Présentation de Richard Andry
par Pierre-William Glenn

Nouveaux venus à l’AFC

J’ai connu Richard sur mon 1er long métrage en tant que réalisateur en 1973 pendant la préparation du film documentaire Le Cheval de fer, aventure hors norme tournée pendant toute la saison des courses motocyclistes du Championnat du monde de vitesse en 1974. Richard y tenait une caméra et remplissait déjà brillement la fonction d’assistant multi standard qu’exige ce genre de production.

L’éditorial de la Lettre de décembre 2010
par Caroline Champetier et Pierre-William Glenn

Editoriaux de la Lettre

Aujourd’hui le rythme et la façon dont les outils d’enregistrement des images viennent à nous se sont considérablement modifiés.
Il a peu de temps encore, le mouvement d’un directeur de la photographie et de ses assistants vers une caméra, une pellicule, un traitement chimique ou numérique se faisait progressivement. Certains d’entre nous adoptaient une machine et un processus de fabrication des images avec constance, d’autres rejouaient leur choix d’un film à l’autre, il en était ainsi des équipes et des relations avec les prestataires associés à notre travail.

Films (64)