Tom Harari
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Tom Harari parle de son travail à l’image sur "Le Temps d’aimer", de Katell Quillévéré
Par François Reumont, pour l’AFC
Les entretiens au Festival de Cannes
Dans Le Temps d’aimer, Katell Quillévéré choisit comme protagoniste une femme tondue à la Libération, vivant seule avec son fils conçu avec un officier de la Wehrmacht. Sa rencontre avec un homme fragile et torturé va propulser l’intrigue vers un mélodrame queer dans la France conservatrice des années 1950 et 70. Tom Harari en signe les images. (FR)
Mise en ligne de la captation de l’Appel à des États généraux du cinéma 2022, en formats courts ou longs
Actualités AFC
Vendredi 6 octobre 2022, des professionnels du cinéma, des organisations et des associations du secteur se sont réunies pour lancer un "Appel à des États généraux du cinéma", faisant suite à une tribune publiée en mai dernier dans Le Monde et intitulée "Les choix politiques de nos institutions fragilisent gravement le cinéma". Plus de 1 500 personnes ont suivi les débats à l’Institut du monde arabe et sur la plateforme YouTube. Ces échanges sont maintenant accessibles ici sous forme de trois modules de plus ou moins 40 minutes reprenant les thématiques de la journée, précédés de 24 "capsules" de quelques minutes reprenant les points forts des interventions.
"Onoda", d’Arthur Hariri, Prix Louis Delluc 2021
Prix, Trophées, Académies, Meilleure photo
Réuni le 12 janvier 2022, présidé par Gilles Jacob et composé d’une vingtaine de critiques de cinéma et personnalités, le jury du Prix Louis Delluc – l’un des plus prestigieux du cinéma français – a choisi de récompenser, pour l’année 2021, Onoda – 10 000 nuits dans la jungle, d’Arthur Harari, photographié par Tom Harari.
TSF à Cannes 2021 : à propos d’"Onoda, 10 000 nuits dans la jungle", d’Arthur Harari, photographié par Tom Harari
Technique
Le film Onoda, 10 000 nuits dans la jungle, réalisé par Arthur Harari et produit par Nicolas Anthomé pour Batysphère, sorti dans les salles le 21 juillet, a marqué le 74e Festival de Cannes. Ce film français de 2h40, follement ambitieux, tourné en Asie et en japonais, atypique dans sa narration et dans son style, a reçu une ovation lors de la projection de l’ouverture officielle de la sélection Un Certain Regard. De retour de Cannes, Aurélien Branthomme, spectateur cannois heureux (et Superviseur technique image, Workflow & Color Management chez TSF Caméra), s’entretient avec Tom Harari, chef opérateur du film.