Yann Gonzalez

Réalisation

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Articles (10)

Le directeur de la photographie Thomas Favel parle de son travail sur "Gaz de France", de Benoît Forgeard

Les entretiens au Festival de Cannes

Thomas Favel, sorti du département Image de La fémis en 2007, travaille avec Jean-Sébastien Chauvin, Yann Gonzalez, Shanti Masud, Davy Chou..., des réalisateurs à la recherche d’un cinéma fantaisiste et non naturaliste, très influencés par l’art contemporain. C’est autour de cette inspiration commune qu’il rencontre Benoît Forgeard qui lui propose son premier long métrage, Gaz de France.

Articles (9)

Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos d’"Un couteau dans le cœur", de Yann Gonzalez

Les entretiens au Festival de Cannes

Le réalisateur Yann Gonzalez concourrait pour la Caméra d’or à Cannes en 2013 avec Les Rencontres d’après-minuit. Son film Un couteau dans le cœur est en Compétition officielle de ce 71e Festival, événement assez rare pour un deuxième long métrage. Simon Beaufils, son fidèle directeur de la photographie, a travaillé récemment avec Julia Kowalski pour Crache cœur, Justine Triet pour Victoria et Christophe Regin pour La Surface de réparation. Il témoigne ici de l’engagement cinématographique de ce jeune réalisateur qu’il aime accompagner dans son grand plaisir de cinéma. (BB)

Yann Gonzalez et Jean-Bernard Marlin, Prix Jean Vigo 2018 ex aequo

Autres prix

Remis par Agnès Varda lundi 11 juin 2018 au Centre Pompidou, deux Prix Jean Vigo du long métrage ont été attribués ex aequo à Jean-Bernard Marlin pour Shéhérazade, photographié par Jonathan Ricquebourg, AFC, d’une part, et à Yann Gonzalez pour Un couteau dans le cœur, photographié par Simon Beaufils, d’autre part.

Étalonnage avec Baselight pour "Un couteau dans le cœur"

Laboratoires, Postproduction, VFX

Jérôme Brechet, directeur d’exploitation de la société Mopart et étalonneur, entre autres, d’Un couteau dans le cœur, et Thomas Eberschveiler, consultant workflow chez FilmLight, reviennent sur cette aventure technique. Ce film de Yann Gonzalez, sélectionné au Festival de Cannes 2018, et dont l’image est signée par Simon Beaufils, a été tourné en pellicule et étalonné à distance entre Paris et Mexico.

Le directeur de la photographie Simon Beaufils parle de son travail sur "Victoria", de Justine Triet

Les entretiens au Festival de Cannes

Simon Beaufils collabore à plusieurs reprises avec Vladimir Perisic (Ordinary People, Les Ponts de Sarjevo), Lucie Borleteau pour Fidélio, l’odyssée d’Alice, ou Yann Gonzalez pour Les Rencontres d’après-minuit. Il travaille dernièrement avec Julia Kowalski pour Crache cœur avant de rencontrer la réalisatrice Justine Triet qui avait été remarquée au Festival de Cannes 2013 dans la programmation de l’ACID avec La Bataille de Solférino.

Surimpressions cannoises
Par Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain

Festival de Cannes 2018

Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain aux côtés d’Alain Besse, Patrick Bézier, Isabelle Gibbal-Hardy, Vincent Lowy et Aline Rolland, livre ses impressions cannoises en trois chapitres distincts. Il y est fortement question, c’est le moins qu’on puisse attendre d’une ex-étudiante tout juste sortie de l’ENS Louis-Lumière, d’image et surtout de cinéma.

Articles (30)

La première GSS arrive chez Papa Sierra

Prises de vues spécialisées

Papa Sierra reçoit sa première GSS, adaptée à ses besoins. Le dernier documentaire de Yann Arthus Bertrand suscite la plus grande attention de la part de Papa Sierra. Après plusieurs mois de tests et d’essais en vol, Papa Sierra a choisi GSS pour assurer ses prises de vues aériennes en 4K.

Articles (10)

Entretien avec le directeur de la photographie Simon Beaufils à propos d’"Un couteau dans le cœur", de Yann Gonzalez

Les entretiens au Festival de Cannes

Le réalisateur Yann Gonzalez concourrait pour la Caméra d’or à Cannes en 2013 avec Les Rencontres d’après-minuit. Son film Un couteau dans le cœur est en Compétition officielle de ce 71e Festival, événement assez rare pour un deuxième long métrage. Simon Beaufils, son fidèle directeur de la photographie, a travaillé récemment avec Julia Kowalski pour Crache cœur, Justine Triet pour Victoria et Christophe Regin pour La Surface de réparation. Il témoigne ici de l’engagement cinématographique de ce jeune réalisateur qu’il aime accompagner dans son grand plaisir de cinéma. (BB)

Yann Gonzalez et Jean-Bernard Marlin, Prix Jean Vigo 2018 ex aequo

Autres prix

Remis par Agnès Varda lundi 11 juin 2018 au Centre Pompidou, deux Prix Jean Vigo du long métrage ont été attribués ex aequo à Jean-Bernard Marlin pour Shéhérazade, photographié par Jonathan Ricquebourg, AFC, d’une part, et à Yann Gonzalez pour Un couteau dans le cœur, photographié par Simon Beaufils, d’autre part.

Étalonnage avec Baselight pour "Un couteau dans le cœur"

Laboratoires, Postproduction, VFX

Jérôme Brechet, directeur d’exploitation de la société Mopart et étalonneur, entre autres, d’Un couteau dans le cœur, et Thomas Eberschveiler, consultant workflow chez FilmLight, reviennent sur cette aventure technique. Ce film de Yann Gonzalez, sélectionné au Festival de Cannes 2018, et dont l’image est signée par Simon Beaufils, a été tourné en pellicule et étalonné à distance entre Paris et Mexico.

Le directeur de la photographie Simon Beaufils parle de son travail sur "Victoria", de Justine Triet

Les entretiens au Festival de Cannes

Simon Beaufils collabore à plusieurs reprises avec Vladimir Perisic (Ordinary People, Les Ponts de Sarjevo), Lucie Borleteau pour Fidélio, l’odyssée d’Alice, ou Yann Gonzalez pour Les Rencontres d’après-minuit. Il travaille dernièrement avec Julia Kowalski pour Crache cœur avant de rencontrer la réalisatrice Justine Triet qui avait été remarquée au Festival de Cannes 2013 dans la programmation de l’ACID avec La Bataille de Solférino.

Surimpressions cannoises
Par Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain

Festival de Cannes 2018

Louise Vandeginste, membre du jury du Prix Vulcain aux côtés d’Alain Besse, Patrick Bézier, Isabelle Gibbal-Hardy, Vincent Lowy et Aline Rolland, livre ses impressions cannoises en trois chapitres distincts. Il y est fortement question, c’est le moins qu’on puisse attendre d’une ex-étudiante tout juste sortie de l’ENS Louis-Lumière, d’image et surtout de cinéma.