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Claire Mathon, AFC, discusses her work on Céline Sciamma’s film “Portrait de la jeune fille en feu”, by Céline Sciamma

Les entretiens au Festival de Cannes
Cinematographer Claire Mathon, AFC, sat down for an interview with François Reumont to discuss her work on Céline Sciamma’s film Portrait d’une jeune fille en feu. Here, we offer you a transcript of her words.
La directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, parle de son travail sur "Marguerite et Julien", de Valérie Donzelli Un conte moderne

Les entretiens au Festival de Cannes
Valérie Donzelli a choisi, pour son quatrième long métrage, de se plonger dans le XVIIe siècle à sa manière. C’est à Céline Bozon, AFC, qu’elle a confié la mise en image de cette histoire d’amour baroque et "rock and roll" entre un frère et une sœur... (FR)
Entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, à propos du film "L’Autre monde" de Gilles Marchand En Sélection officielle du Festival de Cannes 2010, Séance de minuit

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Céline Bozon a travaillé à plusieurs reprises avec Jean-Paul Civeyrac et aussi avec Cédric Khan, Tony Gatlif et son frère, Serge Bozon. Très liée au jeune cinéma français, elle assoit désormais son expérience de directrice de la photographie en signant l’image d’une vingtaine de longs métrages.
Scénariste de Dominik Moll pour Harry, un ami qui vous veut du bien et pour Lemming, Gilles Marchand a réalisé en 1993 un premier long métrage Qui a tué Bambi. C’est une première collaboration pour Céline Bozon sur ce thriller L’Autre monde, hors compétition à Cannes en Séance de minuit.
Nous avions déjà rencontré Céline l’an dernier pour le film d’Axelle Ropert La Famille Wolberg, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs.
Scénariste de Dominik Moll pour Harry, un ami qui vous veut du bien et pour Lemming, Gilles Marchand a réalisé en 1993 un premier long métrage Qui a tué Bambi. C’est une première collaboration pour Céline Bozon sur ce thriller L’Autre monde, hors compétition à Cannes en Séance de minuit.
Nous avions déjà rencontré Céline l’an dernier pour le film d’Axelle Ropert La Famille Wolberg, sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs.
Entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC

Propos et entretiens divers
Exposure, le magazine en langue anglaise de Fujifilm, a publié, dans son n° 19 (Automne 2010), un entretien avec la directrice de la photographie Céline Bozon, AFC, dans lequel elle évoque ses débuts et parle de sa façon de travailler dans le cinéma d’aujourd’hui.
Elle fait part également de ses expériences avec les pellicules Fuji Eterna et Eterna Vivid, et de la façon dont elle envisage les nouveaux outils.
- Lire une traduction de cet entretien, avec l’aimable autorisation de Fujifilm France que l’on remercie.
80e édition de la Mostra de Venise Céline Bozon, AFC, revient sur le tournage de "Sidonie au Japon", d’Élise Girard "Sidonie vide son sac", par François Reumont

Le Festival de Venise 2023 - 80e édition
Partie visiter le Japon à l’invitation de son éditeur, une grande écrivaine française voit son passé resurgir au pays du Soleil-levant. C’est Isabelle Huppert qui endosse le rôle de ce film signé Élise Girard (Drôles d’oiseaux, Belleville Tokyo). Entre lieux iconiques, paysages de cartes postales et hôtels de luxe, le voyage de Sidonie se transforme peu à peu dans une ambiance fantastique où le fantôme de son mari défunt vient lui tenir compagnie. Céline Bozon, AFC, est aux manettes de l’image et vient nous partager son expérience d’un tournage au pays de Mizoguchi. Un film en sélection à la 80e Mostra de Venise où il est projeté le mercredi 30 août dans la section parallèle "Journées des Auteurs". (FR)
Céline Bozon, passer la frontière Par Ariane Damain Vergallo pour Ernst Leitz Wetzlar

Portraits de directeurs de la photographie dans l’optique de Leitz
Quand la conseillère d’orientation de son lycée de Lyon lui avait dit d’une manière un peu péremptoire qu’il ne fallait pas choisir un métier dans la photographie car c’était se choisir une vie sans travail, sans argent, sans horizon, bref une vie de bohémienne, cela avait interloqué Céline Bozon du haut de ses 14 ans. Ses parents, tous deux professeurs, lui disaient alors – dans une veine post-soixante-huitarde – exactement l’inverse : « Fais ce qui te plaît, ce qui te passionne ».
Robert Alazraki présente Céline Bozon

Nouveaux venus à l’AFC
J’ai rencontré Céline Bozon au cours d’un voyage à Beaune, nous étions deux des invités de Fuji pour participer aux Rencontres de l’ARP. J’ai suivi son parcours depuis, et quand j’ai eu besoin de renseignements sur une pellicule particulière (Kodak 5299), elle m’a aidé avec ses essais (et un œil très fin).
C’est exactement ce que j’espère d’un collègue, j’ai donc pensé qu’elle pourrait en aider d’autres et je suis content de l’accueillir parmi nous.
C’est exactement ce que j’espère d’un collègue, j’ai donc pensé qu’elle pourrait en aider d’autres et je suis content de l’accueillir parmi nous.
Eric Gautier présente Céline Bozon
Nouveaux venus à l’AFC
Je connais le travail de Céline depuis un film de Jean-Paul Civeyrac, Le Doux amour des hommes (2002). Je me souviens d’une image très structurée et classique, mais aussi élégante et sensuelle (comme chez Bresson). Le film a été tourné en vidéo, en format Beta numérique à l’époque ; tant de " Cinéma " dans l’image électronique me semblait une prouesse…
Céline Bozon parle de son travail sur "La France" et "Un homme perdu"

Entretiens avec des directeurs de la photographie
En sortant de La fémis en 1999, Celine Bozon débute avec Jean-Paul Civeyrac sur un film fait de manière très libre, avec très peu d’argent, une équipe toute petite et en vidéo. Cela a donné Fantômes, un long métrage qui est sorti en salle. Ensuite il y a eu Le Doux amour des hommes et Toutes ces belles promesses. Parallèlement, elle tourne un moyen métrage Mods avec son frère Serge Bozon, puis deux films de Tony Gatlif (Exils et Transylvania). En 2007, la Quinzaine des réalisateurs a sélectionné deux films dont elle a fait l’image : La France, le second long métrage de son frère, et Un homme perdu de la cinéaste libanaise Danielle Arbid.
Films (1)
Tijuana Bible
de Jean-Charles Hue
Produit par Les Films d’Avalon, La Torre y el Mar
Photographié par
Jonathan Ricquebourg, AFC
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