George Lechaptois
Direction de la photographie
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Les sorties cinéma de juillet des films tournés avec le matériel d’Arri

Les films sur les écrans et en tournage
En juillet 2024, dix-huit sorties au cinéma de longs métrages tournés avec le matériel d’Arri.
Articles (30)
En hommage à Pierre-William Glenn, AFC Texte lu par Gilles Porte, AFC, lors des obsèques au cimetière de Montreuil

Pierre-William Glenn
Si Pierre-William n’avait pas un jour imaginé l’AFC sur une nappe en papier en compagnie d’Henri, Raoul, Ricardo, Georges, Robert, Alain et Denis, nous ne nous nous serions sans doute jamais rencontrés avec Vincent, Agnès, Carlo, Nathalie, Romain, Sarah, Eric, Pascale, Jean-Noël, Claude, Jean-Marie, Elin, Michel, Marie, Marc, Caroline et tous les autres que je ne peux citer dont beaucoup sont présents aujourd’hui... L’AFC, c’est un "Collectif" et cette notion de "Collectif", Pierre-William y tenait beaucoup, beaucoup, beaucoup...
Les sorties cinéma de juillet des films tournés avec le matériel d’Arri

Les films sur les écrans et en tournage
En juillet 2024, dix-huit sorties au cinéma de longs métrages tournés avec le matériel d’Arri.
Paul Guilhaume, AFC, looks back at the technical challenges of shooting Jacques Audiard’s "Emilia Perez" "Les Passantes", by François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2024
Successfully combining family drama, a narcotics thriller, and a musical ending with a Georges Brassens song is not an easy task. This is the extraordinary challenge that Jacques Audiard set himself with Emilia Perez, the strangest and most original film of the 77th Cannes selection. And since its 12-minute standing ovation at the Grand Théâtre Lumière, one of the most serious contenders for the Palme d’Or. Paul Guilhaume, AFC, who also worked on Audiard’s previous film, Paris, 13th District, shares the behind-the-scenes details of this unique project, which required nearly three years of preparation. He discussed, among other things, the reproduction of Mexico in a Paris studio and how rhythm influenced his visual approach to the film (FR).
Je me souviens... Par Gilles Porte, AFC, membre du jury de la Caméra d’or au 77e Festival de Cannes

Actualités AFC
Je me souviens de Thierry qui a dit qu’on n’allait parler que de cinéma lors de la 77e édition du Festival de Cannes… Je me souviens des mots de Dominique* qui rappellent qu’à l’origine le prix de la Caméra d’or était une caméra Aaton 16 mm et qu’aujourd’hui le trophée est réalisé par la joaillerie Chopard... Je me souviens de nos hésitations, avec Agnès, entre un boîtier Leica et nos téléphones portables, plus discrets, plus compacts, plus légers...
Paul Guilhaume, AFC, revient sur les défis techniques du tournage de "Emilia Pérez", de Jacques Audiard "Les passantes ", par François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes 2024
Réussir en un film à mêler le drame familial, le thriller de narcotrafiquants, et la comédie musicale qui s’achève sur un air de Georges Brassens n’est pas forcément chose la plus aisée. C’est le défi inouï que s’est lancé Jacques Audiard avec Emilia Perez, l’ovni de la 77e sélection cannoise, et depuis ses 12 minutes d’ovation dans le Grand Théâtre Lumière, un des plus sérieux prétendants à la Palme d’or. Paul Guilhaume, AFC, déjà présent pour Les Olympiades, son dernier film en date vient nous raconter les coulisses de ce projet hors norme qui a nécessité près de trois années de préparation avant de voir le jour. Il évoque entre autres la recréation du Mexique en studio à Paris, et le travail sur le rythme qui a influencé sa mise en image du film. (FR)
Parution de "Truquer, Créer, Innover - Les effets spéciaux en France" Ouvrage coordonné par Réjane Hamus-Vallée, Giusy Pisano et Caroline Renouard

Livres et revues
Depuis son invention, le cinéma français ne cesse de truquer, créer, innover et repousse toutes les frontières économiques, esthétiques, logistiques, narratives à force d’effets spéciaux. En prolongeant les trucs de la photographie, de la féerie théâtrale et de la prestidigitation, les pionniers comme Georges Méliès ont attiré la lumière sur eux. Des milliers d’artistes et techniciens ont ensuite œuvré dans l’ombre, nourrissant, par leurs trouvailles, les images cinématographiques françaises, tout au long de son histoire.
Georges Méliès et Laurent Mannoni, invités d’"Autant en emporte l’Histoire" sur France Inter

Lire, voir, entendre
Dans son émission "Autant en emporte l’Histoire", samedi 2 septembre 2023, la productrice de France Inter Stéphanie Duncan conviait Laurent Mannoni, directeur scientifique du patrimoine et du Conservatoire des techniques à la Cinémathèque française, à venir parler de Georges Méliès, considéré comme "l’inventeur du cinéma de fiction", ses propos étant complétés par "Georges Méliès, le magicien du cinéma", une fiction historique de Didier Blonde.
Quand Romain Winding dialoguait avec Georges de Genevraye

Romain Winding
Dans le numéro 4, de décembre 1995, des Cahiers de l’AFC, était paru sous le titre "Le Stress de l’Opérateur", un entretien entre Romain Winding et un jeune opérateur, Georges de Genevraye. Au cours de ce premier tiers de sa carrière, Romain avait déjà tourné quatre films avec Jean-Claude Brisseau, il avait aussi collaboré avec les réalisateurs Pascal Kané, Christian Vincent, Benoît Jacquot, Romain Goupil, Bernard Stora... Georges de Genevraye revient sur la genèse de ces rencontres dont nous avons extrait quelques propos de Romain.
Still images, moving images In which Jimmy Glasberg, AFC, evoked his childhood and his early years behind the camera

Jimmy Glasberg
"OOF… I’m at the end of my rope… Writing is such an effort for me… I had my wife reread it, and she said I talk too much about myself and not enough about technique… Perhaps she’s right… What do you think ? You can suggest any changes you see fit and we’ll talk about it…" (Jimmy)
Those were very exactly the words that Jimmy Glasberg wrote to me in the email he sent to me along with his biography… I had asked him to tell me two or three things about himself because a friend wanted to feature certain cinematographers at the Rencontres Photographiques in Arles where a show had already been organized featuring the work of his father, a photographer. This event never took place and this train - like so many others -remained in the station, but Jimmy’s words remained and I didn’t need to "change" a single one. (Gilles Porte, AFC)
Those were very exactly the words that Jimmy Glasberg wrote to me in the email he sent to me along with his biography… I had asked him to tell me two or three things about himself because a friend wanted to feature certain cinematographers at the Rencontres Photographiques in Arles where a show had already been organized featuring the work of his father, a photographer. This event never took place and this train - like so many others -remained in the station, but Jimmy’s words remained and I didn’t need to "change" a single one. (Gilles Porte, AFC)
Articles (11)
Où l’on parle du travail du directeur de la photographie Georges Lechaptois sur "Augustine" d’Alice Winocour

festival de Cannes 2012
Venant du Chili, Georges Lechaptois est arrivé en France en 1983 pour suivre les cours de l’Ecole Louis-Lumière. Après une quinzaine d’années comme assistant caméra, il éclaire un premier film d’Antoine de Rosières A la belle étoile. Puis il enchaîne avec plusieurs longs métrages métrage – dont Belle épine de Rebecca Zlotowski, prix Louis Delluc 2010, Twenty Nine Palms de Bruno Dumont – et de nombreuses publicités. Il a notamment signé l’image des magnifiques publicités pour Kenzo au côté du réalisateur Patrick Guedj. Georges Lechaptois a récemment photographié le film de Mathieu Demy, Américano.
Le prix Louis-Delluc 2010 décerné aux "Mystères de Lisbonne" de Raùl Ruiz
Autres prix
Présidé par Gilles Jacob, le jury du prix Louis-Delluc a décerné celui-ci au film de Raùl Ruiz Les Mystères de Lisbonne, photographié par André Szankowski.
Le prix Louis-Delluc du premier film a été attribué à Belle épine, réalisé par Rebecca Zlotowski et photographié par Georges Lechaptois.
Les sept autres films qui étaient en lice pour le prix Louis-Delluc...
Le prix Louis-Delluc du premier film a été attribué à Belle épine, réalisé par Rebecca Zlotowski et photographié par Georges Lechaptois.
Les sept autres films qui étaient en lice pour le prix Louis-Delluc...