Hélène Surgère

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Articles (30)

Hélène Louvart, AFC, parle de ses choix d’image sur "La Chimère", d’Alice Rohrwacher
Par Brigitte Barbier, pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2023

Depuis les débuts de la réalisatrice Alice Rohrwacher, la directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, l’accompagne sur tous ses films. Avec La Chimère, elles explorent encore et toujours le(s) support(s) argentique(s), en soutenant l’esprit romanesque qui marque les films de la réalisatrice italienne. Ce film est en Compétition officielle de cette 76e édition du Festival de Cannes. (BB)

La directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, parle de son travail sur "La Vie invisible", de Karim Aïnouz

Les entretiens au Festival de Cannes

Hélène Louvart, AFC, signe l’image de La Vie invisible, un film brésilien présent à Un Certain Regard 2019. Une histoire de deux sœurs qui se déroule des années 1950 à nos jours. Elle nous parle de sa relation de travail avec Karim Aïnouz, le réalisateur, de leur volonté commune d’oser des univers visuels assez marqués, de savoir moduler leur envie afin de ne pas être au-dessus de l’histoire et des personnages, visuellement parlant. (FR)

Où la directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, parle de son travail sur "Les Apaches", de Thierry de Peretti

Les entretiens au Festival de Cannes

Hélène Louvart : « Le film a été tourné en Corse. L’histoire est tirée d’un fait réel, se passant en été, au sud de l’île. Nous avons tourné quelques scènes en plein mois d’août, comme la virée nocturne en voiture dans les ruelles de Porto Vecchio, la " dance-party en après-midi " sur une plage (bondée), et la boîte de nuit qui n’était ouverte que pendant l’été. Puis nous avons filmé plus tranquillement les autres scènes pendant l’automne. »...

Quand Alice Rohrwacher parle de sa collaboration avec Hélène Louvart, AFC

Revue de presse

L’actualité du mois mettant en lumière l’œuvre de la cinéaste italienne Alice Rohrwacher, de la sortie sur les écrans – le 6 décembre – de La Chimère à la rétrospective intégrale de ses films au Centre Pompidou – du 1er décembre au 1er janvier 2024 –, plusieurs articles reviennent sur son travail de collaboration avec la directrice de la photographie, Hélène Louvart, AFC. En voici quelques extraits...

Hélène Louvart parle de son travail en Arriflex 416 et Arri Alexa Mini

Caméras et Accessoires

Travaillant indifféremment en Super 16 et en numérique, Hélène Louvart, AFC, vient de signer deux films à l’image très remarquée. Sur Never Rarely Sometimes Always, Ours d’argent à Berlin, la directrice de la photographie a tourné en pellicule Kodak 7219 avec l’Arriflex 416. Sur Rocks, elle a utilisé plusieurs Arri Alexa Mini pour mieux saisir la dynamique de groupe de ces lycéennes.

Hélène Louvart, AFC, winner of the "Robby Müller Award" 2023

Autres prix

The Robby Müller Award is a collaboration between the International Film Festival Rotterdam (IFFR), the Netherlands Society of Cinematographers (NSC) and Andrea Müller-Schirmer, Robby Müller’s wife. For our upcoming edition the award goes to French cinematographer Hélène Louvart, whose cinematography is also featured in Limelight title, Un petit frère, by director Léonor Serraille.

Hélène Louvart, AFC, à l’honneur dans le quotidien cannois du "Film français"

Festival de Cannes 2022

Le Quotidien gratuit du Film français publie, dans son n° 27 - 24 mai 2022, une pleine page consacrée, dans un entretien-rencontre, à la directrice de la photographie Hélène Louvart, AFC, à son parcours, sa façon de travailler, son style, sa rencontre avec Léonor Serraile pour Un petit frère et sa façon d’aborder l’image du film. En voici quelques extraits.

Festival de Berlin 2025 Manu Dacosse, SBC, évoque les défis techniques de "Reflet dans un diamant mort", d’Hélène Cattet et Bruno Forzani
"Permis de briller", par François Reumont, pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Le couple formé par Hélène Cattet et Bruno Forzani produit, film après film, une œuvre singulière dont le cinéma bis des années 1960 et 1970 constitue la pierre angulaire. Reflet dans un diamant mort ne déroge pas à la règle dans leur filmographie. Plaçant au centre de l’affiche des yeux masqués de cuir noir tout droit issus de Danger Diabolik, de Mario Bava (1968), c’est en ligne de mire des bandes dessinées transalpines et films bis d’espions de cette époque (aussi appelés James Bond spaghetti) que Manu Dacosse, SBC, a pointé la caméra. Retour sur ce film très graphique qui est en sélection officielle en compétition à la Berlinale 2025. (FR)

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