JBA Production

Directed by Kasia Adamik and Olga Chajdas, the series "Kabul" is a European co-production between France, Belgium, Greece, Germany, and Italy. This ambitious project portrays the evacuation of the Afghan capital during the American withdrawal in 2021. In the great Anglo-Saxon tradition of films recreating major historical events, the series offers a detailed reconstruction of the fall of Kabul. The Polish cinematographer Matteusz Wichlacz, PSC, a long-time collaborator of the two directors, was in charge of filming the entire series. We spoke with him about this spectacular reconstruction of Afghanistan—shot entirely in the suburbs of Athens—and "Kabul"’s participation in the official international competition at Séries Mania. (FR)

Ocellus permet un suivi stable sans marqueur avec plusieurs capteurs et une intégration optimale des caméras pour les productions cinématographiques et audiovisuelles, y compris le sport, les informations et les bulletins météorologiques.

Le secteur de l’éclairage professionnel connaît une évolution majeure avec l’arrivée du Ruby 1200B de Filmgear, un projecteur LED bicolore de 1 200 watts qui se positionne comme le digne successeur du Tungstène Super Beam 1200. Disponible en avant-première chez Groupe Zebra avant sa sortie officielle en avril, ce projecteur marque un tournant pour l’éclairage cinéma.

Mardi 10 décembre 2024 ont eu lieu les 3^es Assises de l’éco-production, organisées par Ecoprod, association qui œuvre pour des pratiques écologiques et durables dans l’industrie du cinéma et de l’audiovisuel. La journée s’est ouverte sur huit ateliers, des outils RSE à la publicité, en passant par les moyens techniques, le scénario ou encore l’ancrage local des tournages.

Lors d’une de ses dernières réunions, le CA de l’AFC a décidé d’admettre en tant que membre associé Virtual Production House, société qui propose une suite d’outils matériels et logiciels dédiés à la production virtuelle sur fond d’écrans LED. Ses deux parrains AFC, Thierry Arbogast et Renaud Chassaing, présentent ci-après ce nouvel arrivant, à l’équipe duquel nous souhaitons dès à présent la bienvenue !

In March 2023, a strike is in full swing in France, disrupting transport and complicating journeys. Claire Mathon, who lives in Paris, must travel every day to the Bry-sur-Marne studios in the distant suburbs, where she is shooting Pablo Agüero’s film Saint-Ex. She has therefore asked the production company – and this will be her only luxury – for a driver to get her there. During this hour-long journey, she sees the sun rise and, for the first time in her life, enjoys the traffic jams that allow her to delay a little the moment when, every day for 47 days, she will enter the famous 1,000m2 studio B5, from which she will not leave until nightfall.

En ce mois de mars 2023, la grève bat son plein en France désorganisant les transports et compliquant les trajets. Or, Claire Mathon, qui habite à Paris, doit se rendre chaque jour aux studios de Bry-sur-Marne, en lointaine banlieue où elle tourne le film Saint-Ex, de Pablo Agüero. Elle a donc demandé à la production - et ce sera son seul luxe - un chauffeur pour s’y rendre. Durant cette heure de transport elle voit le jour se lever et, pour la première fois de sa vie, aime les embouteillages qui lui permettent de retarder un peu le moment où, tous les jours durant 47 jours, elle va rentrer dans le fameux studio B5 de mille mètres carrés dont elle ne sortira qu’à la nuit tombée.

L’Observatoire de l’égalité Femmes-Hommes du CNC a présenté, dans son édition 2024 publiée le 14 novembre, les principaux chiffres-clés de la place des femmes dans le cinéma et l’audiovisuel. On retiendra, parmi les principaux points de cette étude, une dynamique positive sur le long terme avec une féminisation progressive des filières cinéma et audiovisuel, un moindre accès aux œuvres à gros budget même si les écarts tendent à se réduire, des inégalités salariales persistantes dans les métiers techniques et un effet bénéfique lorsqu’une femme est à la réalisation, avec davantage de postes-clés alors confiés aux femmes.

"Baby Reindeer" ("Mon petit renne") a certainement été l’un des chocs de l’année en termes d’écriture, d’interprétation et d’impact sur les spectateurs. Devenue l’une des séries phares de la plateforme Netflix en l’espace de quelques mois, elle repose essentiellement sur son créateur Richard Gadd, également interprète principal, qui ose de manière assez inédite à l’écran transposer un épisode extrêmement grave et privé de sa propre vie. Une série qui fait date dans l’histoire de la production, prouvant que même les projets les plus audacieux ou à première vue loin du courant "mainstream" peuvent déclencher l’engouement du public. Retour sur sa fabrication avec Krzysztof Trojnar, le directeur de la photographie des quatre premiers épisodes, réalisés par Weronika Tofilska. (FR)