Diane Baratier

Direction de la photographie

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Articles (30)

Entretien avec Diane Baratier, AFC, à propos de son documentaire "Portrait de mon père, Jacques Baratier"
L’envers du désordre

Propos et entretiens

L’œuvre de Jacques Baratier est un continent méconnu, un archipel d’une dizaine de longs métrages et d’une vingtaine de documentaires, en attente d’être exploré.
De dix ans l’aîné des enfants terribles de la Nouvelle Vague (exception faite de Rohmer dont il est quasi contemporain), Jacques Baratier n’obtiendra jamais les faveurs des Cahiers du cinéma.

La directrice de la photographie Diane Baratier, AFC, parle du travail de restauration de "Dragées au poivre", de Jacques Baratier

Les entretiens au Festival de Cannes

Diane Baratier a reçu en héritage de son père le soin de s’occuper de ses films. C’est après plusieurs années de travail juridique et de récupération des négatifs qu’elle présente à Cannes Classics Dragées au poivre, le film le plus populaire de ce cinéaste, poète et artiste peintre qu’était Jacques Baratier. (FR)

Parution du livre "Du pillage au don", de Diane Baratier et Jean Monod

Livres et revues

« L’origine des États se perd dans un mythe auquel on doit croire et qu’on ne
doit pas discuter », écrivait Marx en 1848. En rapportant l’invention de la civilisation à la création des États il y a 5 500 ans à Uruk, Du pillage au don, ouvrage que Diane Baratier, AFC, a co-écrit avec Jean Monod et qui vient de paraître, aide à comprendre dans quel temps nous vivons.

Retour sur le deuxième atelier Kodak " Vivez l’expérience du film ! "
sous " l’œil affûté " de la directrice de la photographie Diane Baratier, AFC

Kodak

Pas moins de 60 stagiaires se sont succédés les 4, 5 et 6 octobre dernier à l’atelier de tournage S16 organisé par Kodak à Paris. Toute l’équipe Kodak remercie chaleureusement Diane pour son investissement, sa grande pédagogie et ses qualités humaines durant ces trois jours très chargés !

Les marches du palais
par Diane Baratier

festival de Cannes 2005

Les codes du savoir-faire du festival de Cannes sont condensés dans la montée des marches.
C’était la première fois que je me rendais dans la capitale du cinéma et je m’y suis retrouvée le premier soir dans le rôle de la provinciale. Etant parisienne, cela m’a beaucoup plu. Je n’avais pas les bonnes chaussures. J’étais gauche. Je ne comprenais rien. Mais j’étais là.

Articles (30)

"Éric Rohmer au temps 
de la convention collective"
Par Diane Baratier, AFC

Revue de presse

L’Humanité, 19 avril 2013

Films à petits budgets condamnés ? Récemment dans la presse, la démarche courageuse d’Éric Rohmer comme cinéaste a été utilisée pour défendre un point de vue personnel de production. Il a été dit que Rohmer, si la nouvelle convention collective était appliquée le 1er juillet 2013, n’aurait pas pu faire ses films.

Convention collective, contributions diverses
Richard Andry, AFC, Diane Baratier, AFC, Bernard Blancan, Laurent Dailland, AFC, Patrick Duroux, AFC, Antoine Héberlé, AFC, Denis Lenoir, AFC, ASC, Philippe Van Leeuw, AFC

Intermittence, Convention collective, Assurance-chômage

Parmi les nombreuses contributions qui ont nourri le hors série consacré à la Convention collective, voici rassemblés, en complément de ceux publiés séparément, des extraits d’écrits de Richard Andry, AFC, Diane Baratier, AFC, Bernard Blancan, Laurent Dailland, AFC, Patrick Duroux, AFC, Antoine Héberlé, AFC, Denis Lenoir, AFC, ASC, et Philippe Van Leeuw, AFC.

Tekhnè
Par Diane Baratier, AFC

Billets d’humeur

Récemment dans la presse, la démarche personnelle et courageuse d’Eric Rohmer comme cinéaste a été utilisée pour défendre un point de vue personnel de production. Il a été dit que Rohmer, si cette nouvelle convention était appliquée le 1er juillet 2013, n’aurait pas pu faire ses films*.

Le bleu se perd
par Diane Baratier

Laboratoires, Postproduction, VFX

Rouge, vert, bleu, 28, 32, 22 ; RVB déséquilibrés. C’est ce qu’on a ces temps-ci avec les lumières de tirage.
C’est aussi vrai chez Fuji que chez Kodak, pareil chez Eclair, LTC ou GTC. Pourquoi ?
Jusqu’aux essais Fuji pour l’Eterna, je pensais que cela venait de moi, mais depuis ce jour révélateur des essais où nous étions quatre opérateurs, j’ai compris que cette déviance avait une autre source.
J’ai donc décidé de poser la question sans honte et j’ai rencontré Guy Manas chez Eclair.

Le Beau désordre
Par Diane Baratier, AFC

Du côté d’Internet

Si vous voulez respirer et vous envoler, le site de l’association Jacques Baratier est fait pour rendre la liberté a des images enfermées dans des boîtes. Nous avons créé cette association pour permettre à un cinéma indépendant d’exister malgré tout.

La Commission supérieure technique a 60 ans
par Diane Baratier

Vie des associations, sociétés et fédérations

La CST se porte bien pour son âge. Le 2 novembre 2004, la CST fêtait ses 60 ans. Comme le quotidien Le Monde, elle a été fondée juste après la Libération de la France.
Le 2 novembre 2004, nous étions invités à la Cinémathèque de Chaillot pour fêter son anniversaire. Afin d’animer cette soirée, Yves Louchez et Pierre-William Glenn ont remis le prix Vulcain de la CST à Eric Gautier, directeur de la photographie, pour (Clean d’Olivier Assayas et Carnets de voyage de Walter Salles.

A propos de la Genesis
par Diane Baratier

Billets d’humeur

L’AFC a organisé, récemment, la présentation d’une nouvelle caméra, la Genesis.
Son nom provient de genèse, la création. Est-ce que ce choix veut dire que la Genesis est une création ? C’est peut-être le point de vue des industriels qui l’ont mise sur le marché, mais je ne pense pas que ce soit celui des opérateurs qui vont devoir l’utiliser.

Le point sur la caméra au poing de Jimmy Glasberg
par Diane Baratier

Les Entretiens AFC

Nous sommes fin 2005, Jimmy Glasberg vient de nous présenter son film 9m2 pour deux (sortie le 1er février).
Ce film co-réalisé avec José Césarini est tourné en prison. Il a été mis en scène dans un décor de cellule reconstitué en studio à l’intérieur de la prison des Baumettes à Marseille. Jimmy Glasberg et José Césarini ont donné la caméra aux détenus.

Repas de tournage
par Diane Baratier

Billets d’humeur

En ce moment, je suis sur le film de Charles Belmont.
Aujourd’hui, à midi, le sujet lancé à table tourne autour des nuisances sonores dues aux nouvelles gammes de projecteurs.
La conversation est entre Jean Umansky, ingé son, Cafer Ilhan, chef électro et David Grinberg, assistant caméra. Avec délectation, j’écoute pour mieux comprendre : depuis quelques films, je me demande pourquoi les micros ne sont jamais satisfaits des limites du cadre. Alors qu’ils sont de plus en plus performants !

Films (13)