L’Avocat de la terreur was shot discontinuously over several months.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
Jacques Vergès
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Articles (2)
L’Avocat de la terreur (Terror’s Advocate) directed by Barbet Schroeder, cinematography by Caroline Champetier, AFC

Cannes films festival 2007
Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder Sélection officielle, Un Certain Regard

Conversations with cinematographers
Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
Articles (30)
Patrick Blossier, AFC, reflects on his choices for shooting "Indomptables", by Thomas Ngijol By Brigitte Barbier for the AFC

Conversations with cinematographers at Cannes 2025
The production company Why Not, a staunch supporter of arthouse films and discoverer of many French directors (Arnaud Desplechin, Xavier Beauvois, Jacques Audiard, Bruno Podalydès, among others), has initiated the creation of cost-effective films (€1 million) with the constraint of only four weeks of shooting but with the advantage of not having to wait for funding. In this context, was produced Indomptables, the film by Thomas Ngijol, shot by director of photography Patrick Blossier, AFC, who was asked by the producers to join the crew in Cameroon. With his experience as a cinematographer since 1985, Blossier took on the challenge of accompanying the director to Yaoundé and shooting Indomptables, which was selected for the 2025 Cannes Film Festival’s Directors’ Fortnight. (BB)
Jacques Girault discusses the visual challenges of Alice Douard’s film, "Des preuves d’amour" ("Proofs of Love") By Margot Cavret for the AFC

Conversations with cinematographers at Cannes 2025
In Alice Douard’s Des preuves d’amour (Proofs of Love), presented at Critics’ Week, Ella Rumpf plays a young woman whose wife is pregnant with their future child. A woman and future mother, but not pregnant, in 2014, just after the law authorizing same-sex marriage was passed, she tries to collect "proof of love", testimonials from her loved ones that will allow her to legally adopt her child. While facing the doubts and concerns of any future parent, she must also overcome judgment and reconnect with her mother, played by Noémie Lvovsky, whose testimony will be crucial. To accompany this intimate and original subject matter with all the accuracy, sensitivity, and originality it requires, director of photography Jacques Girault tells us about his visual choices, from preparation to shooting. (MC)
Jacques Girault parle des enjeux visuels du film d’Alice Douard, "Des preuves d’amour" Par Margot Cavret pour l’AFC

Conversations with cinematographers at Cannes 2025
Dans Des preuves d’amour, d’Alice Douard, présenté à la Semaine de la Critique, Ella Rumpf incarne une jeune femme dont l’épouse est enceinte de leur futur enfant. Femme, future mère, mais sans être enceinte, dans un 2014 qui vient tout juste de voir naître la loi autorisant le mariage homosexuel, elle tente de collecter des "preuves d’amour", des témoignages de ses proches qui lui permettront d’adopter légalement son enfant. Tout en affrontant les doutes et les inquiétudes de n’importe quel futur parent, elle doit en plus surmonter les jugements, et renouer avec sa mère, incarnée par Noémie Lvovsky, dont le témoignage sera crucial. Pour accompagner ce sujet inédit en intime, et lui apporter toute la justesse, la sensibilité et l’originalité qu’il nécessite, le chef opérateur Jacques Girault nous raconte ses choix visuels, de la préparation au tournage. (MC)
Au palmarès de la 50e cérémonie des César

Césars
Lors de la 50e cérémonie de remise des César, vendredi 28 février 2025 à l’Olympia, les lauréats, désignés par les 4 951 membres votants de l’Académie, ont été annoncés. Emilia Pérez, Jacques Audiard et Paul Guilhaume, AFC, se sont vu chacun attribuer un de ces trois César respectifs : Meilleur film, Meilleure réalisation et Meilleure photographie. Le film ayant reçu quatre autres César : Meilleure adaptation, Meilleur son, Meilleurs effets visuels et Meilleure musique originale.
Le chef électricien Thomas Garreau illumine "Emilia Pérez" pour Jacques Audiard et Paul Guilhaume, AFC, avec les projecteurs d’Arri Lighting

Lighting and Power Equipment
Issu d’une jeune génération de chefs électriciens, Thomas Garreau est aussi actif dans la publicité que dans le long métrage. Récemment, il a travaillé aux côtés du directeur de la photographie Paul Guilhaume, AFC, sur la création de la lumière d’Emilia Pérez, le film choc de Jacques Audiard multi primé au dernier Festival de Cannes.
Au palmarès des BAFTA Awards 2025

BAFTA Awards
Lors de la cérémonie des 78es British Academy Film Awards, dimanche 16 février 2025, le film Conclave, d’Edward Berger, photographié par Stéphane Fontaine, AFC, a obtenu le BAFTA 2025 du Meilleur film et Emilia Prérez, de Jacques Audiard, photographié par Paul Guilhaume, AFC, celui du Film en langue non-anglophone, le BAFTA de la Photographie étant allé au film The Brutalist, de Brady Corbet, photographié par Lol Crawley, BSC.
"Métiers du cinéma : Mariore Manneville, cheffe électricienne", sous le coup de projecteur du CNC

Press and video interviews
Dans sa série de vidéos cinéma publiées sur son site Internet, le CNC (Centre national du cinéma et de l’image animée) a mis en ligne, en décembre 2024, l’un des derniers en date de sa collection de portraits "Métiers du cinéma", donnant la parole à la cheffe électricienne Mariore Manneville, qui a travaillé, entre autres directeurs de la photographie, avec Sébastien Buchmann, AFC, Jacques Girault, Alexis Kavyrchine ou Maxence Lemonnier. Une invitation à découvrir les facettes de ce métier et éventuellement susciter de nouvelles vocations...
Au palmarès des "European Film Awards" 2024

European Film Awards
Lors de la cérémonie de remise des 37es "European Film Awards" (Prix du cinéma européen), qui s’est tenue samedi 7 décembre 2024 à Lucerne (Suisse), le film Emilia Pérez, de Jacques Audiard, photographié par Paul Guilhaume, AFC, s’est vu attribuer cinq récompenses : "European Film", "European Director" (Jacques Audiard), "European Actress" (Karla Sofía Gascón), "European Screenwriter" (Jacques Audiard) et "European Editing" (Juliette Welfling). Le directeur de la photographie écossais Benjamin Kračun, BSC, s’est vu remettre, quant à lui, l’un des huit "Excellence Awards", l’"European Cinematography", pour The Substance, de Coralie Fargeat.
Stéphane Fontaine, AFC, et Paul Guilhaume, AFC, dans "Cinematography World" n° 024

Books and Magazines
Dans son n° 024 de novembre-décembre 2024, la revue britannique Cinematography World publie deux articles sur le travail de directeurs de la photographie de l’AFC. L’un, de Darek Kuźma, au sujet du travail de Stéphane Fontaine sur Conclave, d’Edward Berger, l’autre, de Ron Prince, à propos de celui de Paul Guilhaume sur Emilia Pérez, de Jacques Audiard.
Articles (2)
L’Avocat de la terreur (Terror’s Advocate) directed by Barbet Schroeder, cinematography by Caroline Champetier, AFC

Cannes films festival 2007
L’Avocat de la terreur was shot discontinuously over several months.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder Sélection officielle, Un Certain Regard

Conversations with cinematographers
Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".