L’Avocat de la terreur was shot discontinuously over several months.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
Jacques Vergès
Interprétation
Résultats de la recherche
Articles (2)
L’Avocat de la terreur (Terror’s Advocate) directed by Barbet Schroeder, cinematography by Caroline Champetier, AFC

festival de Cannes 2007
Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder Sélection officielle, Un Certain Regard

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
Articles (30)
Disparition de Jacques Perrin, acteur, producteur et réalisateur 13 juillet 1941 – 21 avril 2022

Jacques Perrin
Comédien puis producteur et réalisateur engagé, le parcours de Jacques Perrin n’emprunte pas les sentiers habituels d’une “carrière” cinématographique. Enfant de la balle, il a cependant tracé une voie originale et exigeante, affronté avec audace et ténacité les difficultés et les paris les plus improbables, se reconnaissant pour seul talent, celui de « savoir réunir des gens qui en possédaient. » Les personnes qui auront participé à ses films retiendront de lui, entre autres qualités, sa bienveillance, son courage, son obstination, sa confiance et son respect envers elles.
Jacques Perrin, an exceptional human being By Michel Benjamin, AFC

Jacques Perrin
As was the case for many of us, Jacques Perrin’s death deeply affected me. He’s one of those people you believe are immortal given the space they take up in your life and the guidance they provide you. He helped me trace my own path starting with Winged Migration.
Jacques Loiseleux, au regard doux et bienveillant Par Antoine Héberlé, AFC
Jacques Loiseleux
J’ai rencontré Jacques Loiseleux pour la première fois en 1997 au festival de Grenoble, ma ville d’origine. Quelle chaleur, quelle écoute attentive pour le jeune directeur de la photo que j’étais. Impressionné par la carrière de Jacques et la beauté de son travail sur les derniers film de Maurice Pialat, j’avais enfin l’occasion d’échanger en toute simplicité avec un prestigieux confrère.
Jacques Baratier nous a quittés

Jacques Baratier
Le cinéaste Jacques Baratier est mort à Antony le 27 novembre d’un arrêt cardiaque à l’âge de 91ans.
Né en 1918 à Montpellier, Jacques Baratier découvre le cinéma en 1947 alors que, au cours d’un séjour en Afrique, il se fait embaucher comme assistant sur un tournage rencontré par hasard.
Né en 1918 à Montpellier, Jacques Baratier découvre le cinéma en 1947 alors que, au cours d’un séjour en Afrique, il se fait embaucher comme assistant sur un tournage rencontré par hasard.
Pour Jacques Loiseleux Par Pierre-William Glenn, AFC
Jacques Loiseleux
J’ai connu Jacques sur un feuilleton de Telfrance, en 1967, où j’étais acteur, chef de bande d’une horde de motards au titre significatif : Les Oiseaux rares. Le courant est tout de suite passé entre le chef opérateur-cadreur et le jeune idiot que j’étais à l’époque, à la tête d’une bande de futurs pilotes du championnat du monde, faisant fi de toute limitation de vitesse, de toute sécurité élémentaire et dont beaucoup sont morts de leur passion maintenant.
The International Community pays its respects to Jacques Monge By Laurent Andrieux for the AFC

Jacques Monge
Jacques’ friends who were also eminent Steadicam cameramen sent us warm messages. His friends Garrett Brown – the inventor of the Steadicam® –, Chris Fawcett, Dan Kneece, Ruben Sluijter, Alessandro Brambilla, as well as Jack Churchill (Ted Churchill’s brother), and, from France, Loïc Andrieu, Philippe Bordelais, and Jake Russell – a cameraman that Jacques trained over the last few years and who filmed Frédéric Ducomet-Boquier’s film Steadicam Paradox(e)– all paid tribute to a man who never stopped training, advising, and supporting Steadicam operators who are passionate about their profession, and who are today the world’s best in the field, including his own son, Valentin. Régis Prosper, of Cartoni France, the current importer of the Steadicam and an associate member of the AFC, also shared his memories with us.
Hommages de la communauté internationale à Jacques Monge Par Laurent Andrieux pour l’AFC

Jacques Monge
Les plus grands opérateurs Steadicam qui avaient côtoyé Jacques nous ont fait parvenir de chaleureux messages. Ses amis Garrett Brown - l’inventeur du Steadicam® -, Chris Fawcett, Dan Kneece, Ruben Sluijter, Alessandro Brambilla, mais aussi Jack Churchill, frère de Ted Churchill, les Français Loïc Andrieu, Philippe Bordelais, Jake Russell – opérateur que Jacques a formé ces dernières années et qui a cadré Steadicam Paradox(e), de Frédéric Ducomet-Boquier – rendent hommage à celui qui n’a jamais cessé de former, conseiller et soutenir des opérateurs Steadicam passionnés, aujourd’hui parmi les meilleurs, dont son propre fils, Valentin. Régis Prosper, de Cartoni France, importateur actuel du Steadicam et membre associé de l’AFC, se joint à eux pour témoigner.
Jacques Loiseleux ou générosité et humanité dispensées Par Pierre Novion, AFC

Jacques Loiseleux
Certaines expériences cinématographiques créent une vraie complicité entre nous, techniciens qui y participons. Ce fut le cas de deux tournages auxquels j’ai participé en collaborant, comme premier assistant, avec Jacques Loiseleux.
Jacques Perrin, un être d’exception Par Michel Benjamin, AFC

Jacques Perrin
Comme beaucoup d’entre nous, la disparition de Jacques Perrin m’a beaucoup affecté. Il est de ces êtres qu’on croit immortels tellement ils remplissent votre paysage et qui vous montrent le chemin à suivre. Mon chemin, il m’a aidé à le tracer, au début, sur Le Peuple migrateur.
Articles (2)
L’Avocat de la terreur (Terror’s Advocate) directed by Barbet Schroeder, cinematography by Caroline Champetier, AFC

festival de Cannes 2007
L’Avocat de la terreur was shot discontinuously over several months.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder Sélection officielle, Un Certain Regard

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".