Nathalie Lao

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L’éditorial de novembre 2024, par Nathalie Durand, vice-présidente de l’AFC
"Quel pouvoir donne-t-on aux images ?"

Editoriaux de la Lettre

Voilà donc qu’en Afghanistan, le gouvernement des talibans a décidé d’interdire aux médias de publier des images d’êtres vivants. Le "ministère de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice" (excusez du peu !) est chargé de faire appliquer cette loi. Les journalistes sont encouragés à prendre des photos de plus loin et à filmer moins, pour "s’habituer"... Après avoir interdit aux femmes de chanter, d’étudier, de se déplacer seules, de parler en public, de se promener dans les parcs, l’étau se resserre un peu plus sur la population.

Où la directrice de la photographie Nathalie Durand, AFC, parle de son travail sur "Jusqu’à la garde", de Xavier Legrand
Par François Reumont pour l’AFC

Interviews at Camerimage

Lauréat, entre autres, du Grand prix du Festival de Clermont-Ferrand et du César du Meilleur Court Métrage en 2014 avec Avant que de tout perdre, le réalisateur Xavier Legrand revient avec son premier long métrage, Jusqu’à la garde. Après avoir remporté le Lion d’argent et le Prix du Meilleur Premier Film à Venise, ce film très maîtrisé poursuit l’histoire du court métrage. Chose rare, que ce soit au casting ou dans l’équipe technique, Xavier Legrand et son producteur Alexandre Gavras ont fait preuve de fidélité en renouvelant leur confiance à l’ensemble de l’équipe du court métrage. En attendant sa sortie française le 7 février 2018, le film continue sa tournée enthousiaste des festivals et passe par Camerimage. Nathalie Durand, AFC, en profite pour nous raconter son tournage. (FR)

L’éditorial de septembre 2024, par Nathalie Durand, vice-présidente de l’AFC

Editoriaux de la Lettre

C’est la rentrée pour beaucoup. Après cette trêve estivale et olympique, les activités habituelles reprennent. Il y a eu une belle bouffée d’enthousiasme avec les JO. Il faut reconnaitre que l’ambiance JO était galvanisante. Excepté pour tous ceux qui ont été fermement déplacés de leur abri de fortune. Pour faire propre… Finalement, il y a quelque chose de rassurant dans le sport, c’est ce rapport au corps, les ressources qu’il faut aller chercher au plus profond et même l’émulation par la compétition. L’absence de machine, de technologie, de high tech redonne foi en l’humain.

L’éditorial de janvier 2025, par Nathalie Durand, vice-présidente de l’AFC

Editoriaux de la Lettre

Nous voilà donc en 2025. Les perspectives ne sont pas forcément réjouissantes... beaucoup d’incertitudes sur la marche du monde, 2024 ne nous a pas épargnés (excepté Gisèle Pélicot, héroïque et inspirante). Notre monde hyperconnecté contribue à un climat anxiogène. Sans oublier la crise climatique. Aux assises de l’éco-production, j’ai appris que l’impact d’une heure de film était en moyenne de 16 tonnes équivalent CO2, sachant qu’une française émet 10 tonnes par an !

Entretien avec la directrice de la photographie Nathalie Durand à propos du film "Pieds nus sur les limaces" de Fabienne Berthaud
En sélection à la Quinzaine des Réalisateurs

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Après une carrière d’assistante opératrice auprès (entre autres) de Patrick Blossier, AFC, Nathalie Durand commence à travailler en tant que directrice de la photo sur Fais moi rêver de Jacky Katu. Depuis elle a signé l’image de nombreux documentaires ainsi que d’une dizaine de longs métrages comme La Faute à Fidel de Julie Gavras ou Le Pays du chien qui chante de Yann Dedet.
Pieds nus sur les limaces est sa première collaboration avec Fabienne Berthaud.
Ce film fait la clôture de la Quinzaine des Réalisateurs 2010.

Festival Manaki Brothers 2024, 45e édition Manaki Brothers, à Bitola, un festival à taille humaine et qui doit le rester
Par Nathalie Durand, vice-présidente de l’AFC

Festival Manaki Brothers 2024

Bitola… Il y a quelque chose de la représentation de l’histoire qui flotte quand on arrive ici. Les traces de la Yougoslavie de Tito dans l’architecture, l’urbanisation, le mélange des traditions et de la modernité... Les frères Manaki, à l’origine du festival, sont les frères Lumière du pays et font partie du roman national ; Milton surtout qui a fini sa vie à Bitola. La ville est dynamique culturellement et il y a une forte présence de la jeunesse dans la cité. Les terrasses de café sont nombreuses et fréquentées. Et partout des chiens errants mais contrôlés et fort pacifiques.

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