L’Opérateur ! grand maître de la lumière par René Jeanne

Livres et revues
Kodak vous invite à l’inauguration de l’exposition " Vaches en ville ", l’événement photographique de l’été dont vous entendrez parler...
Coup de sifflet à l’Espace Cinéma Kodak les 17 et 21 juin prochains !
Venez nombreux encourager l’équipe des bleus autour d’un verre amical à l’occasion de l’EURO 2004.
Dans ce livre, Bernard Edelman, avocat spécialiste du droit d’auteur et de la propriété intellectuelle, retrace d’un point de vue historique et philosophique le long processus ayant permis de mettre en place des barrières juridiques autour d’une œuvre de l’esprit créée par un individu qui est devenu, au fil des siècles, un auteur.
Tout en émettant un doute sur le devenir de ce droit âprement acquis, car il risque d’être mis à mal par la moulinette de l’ère numérique.
(Bernard Edelman, faut-il le rappeler, a contribué, à la demande de l’AFC, aux réflexions sur le droit d’auteur concernant les images de film dans le cadre d’Imago, la fédération européenne des directeurs de la photo.)
Emmanuelle Demoris, qui m’a fait parvenir le texte joint ci-dessous, est scénariste et cinéaste documentaire.
Elle a longtemps bourlingué autour du bassin méditerranéen et en particulier en Egypte où elle a réalisé un documentaire qu’elle est en train de monter.
Le Monde, 13 avril 2004
Depuis une petite dizaine d’années, le cinéma fait sa " révolution numérique ".
Les plus grands cinéastes se sont approprié la technologie, au même titre que les novices. C’est par elle, de plus en plus, que se fait l’apprentissage du cinéma.
La Lettre d’information, ministère de la Culture, avril 2004
Le ministère de la Culture et de la communication participe à la révolution financière que va constituer en 2006 l’application de la nouvelle loi relative aux lois de finances (LOLF). Renforçant le contrôle du Parlement, cette loi va modifier le comportement des administrations qui devront mesurer les résultats de leurs actions au regard de leurs objectifs.
Le Monde, 2 avril 2004
Depuis " l’état d’urgence " décrété au Festival de Lussas en août 2003 (Le Monde du 23 août), la mobilisation en faveur du documentaire de création ne faiblit pas. Alors que s’ouvre mercredi, au Forum des images, le Salon des refusés, une programmation de documentaires jamais montrés à la télévision, une journée de débats sur l’avenir du genre a rassemblé dans cette salle parisienne, le jeudi 25 mars, de nombreux auteurs, producteurs, distributeurs.
Le Monde, 11 avril 2004
C’était le baptême du feu avec les intermittents, vendredi 9 avril, pour Renaud Donnedieu de Vabres. Pendant plus de deux heures, le nouveau ministre de la culture et de la communication a reçu le " comité de suivi " qui regroupe divers opposants à la réforme de l’assurance chômage des intermittents du spectacle, entrée en vigueur le 31 décembre 2003.
Le Monde, 21 avril 2004
Lundi 19 avril, Renaud Donnedieu de Vabres présidait le Conseil national des professions du spectacle (CNPS).
Réunis pendant plus de six heures au ministère de la culture, des représentants d’entreprises du spectacle, des syndicats et des pouvoirs publics ont échangé leurs points de vue dans un climat qui, de l’avis de tous, était constructif. M. Donnedieu de Vabres a appelé les partenaires sociaux à « prendre la pleine mesure des situations de difficultés individuelles, d’angoisse, de détresse » et à « apporter, sans délai, les corrections nécessaires ».
La représentation cinématographique du passé se définit avant toute chose par la reconstitution d’une époque révolue. reconstitution qui implique le recours au savoir historique, d’où une interrogation sur l’apport de l’historien, lorsqu’il devient conseiller historique. C’est le thème de cette étude, suivie d’entretiens avec les réalisateurs, scénaristes et historiens ayant collaboré à l’élaboration de films historiques.
Monsieur le ministre,
Je ne vous apprendrai rien en vous disant que la vie des intermittents du spectacle est singulièrement compliquée par les nouvelles mesures concernant leur indemnisation Assedic. Je veux seulement revenir sur l’une d’entre elles qui me semble particulièrement injuste et néfaste pour l’avenir de nos professions. Je veux parler du fait que les heures d’enseignement prodiguées par les professionnels du spectacle ne sont plus prises en compte pour le calcul des heures travaillées. Dans l’ancien régime elles étaient soumises au fait que les écoles " employeurs " possédaient ou non le bon code APE.