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L’éditorial de mai 2025, par Nathalie Durand, vice-présidente de l’AFC
Actualités AFC
Camerimage 2024
Retour sur deux Master Class avec les directeurs de la photographie Adam Habib et Jonathan Pytko autour de deux productions Pixar
Les Entretiens AFC
Sergi Gallardo nous parle de la mise en images de la série "Querer", réalisée par Alauda Ruíz de Azúa
Technique
Panavision rencontre le directeur de la photographie Adrain Teijido, ABC, qui parle de son travail sur "Je suis toujours là", de Walter Salles
Lire, voir, entendre
ConversationS Techniques avec Christophe Casenave à propos des nouveaux produits Zeiss présentés au Micro Salon (Paris Images) 2025
EN BREF
Meilleurs Vœux 2025
En souhaitant que l’art cinématographique rassemble et que 2025 apporte un peu de sérénité, les directrices et directeurs de la photographie de l’AFC vous présentent leurs meilleurs vœux.
Derniers regards...
Photo Agnès Godard, AFC
Terrasse du Festival - Le samedi 25 Mai - 20h50 | Photo Gilles Porte, AFC
« Après la cérémonie, ma position de membre du jury de la Caméra d’or me permet d’avoir accès à un carré très VIP. Aucun photographe n’est autorisé mais je rentre avec mon Leica qui ne m’a jamais quitté. Wim Wenders me reconnaît et demande à Georges Lucas et Francis Ford Coppola si je peux faire une photo pour immortaliser l’instant. Ce sera ma dernière... »
Regards
Wim Wenders - Devil’s Playground, Texas | Photo Agnès Godard, AFC
Le 29 septembre 1983 : premier jour de tournage de Paris Texas
Palme d’or 1984
Salle Debussy - Le vendredi 24 mai - 19h13 | Photo Gilles Porte, AFC
Cannes Classics a 20 ans, Paris Texas 40 ans et Wim Wenders une éternité
Une photo au hasard
Universal Pictures
Une vidéo au hasard
Dans Un silenceLa citation
Une autre citationL’objectivité des êtres et des choses est cernée par l’incessante subjectivité des ombres et des éclairages. Le tabou réaliste disparaît brusquement à la frontière de l’objet et cesse de se faire respecter à la faveur des jeux d’ombres et de lumières. La nuit au cinéma – elle était bleue parfois dans les films muets – est une nuit conventionnelle, une nuit esthétique où l’on peut toujours voir obscurément le clair, et clairement l’obscur. Ombres et lumières, les unes et les autres exagérées, stylisées, sont autant d’atteintes à la vérité empirique, mais acceptées.
Edgar Morin, Le Cinéma ou l’homme imaginaire, Les Éditions de Minuit, 1956
