Hélène Fillières
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Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques
Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.
Articles (30)
Raconter en images l’histoire d’"Eleanor the Great", de Scarlett Johansson Par Hélène Louvart, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Ce film est ma première collaboration avec Scarlett Johansson, qui réalisait son premier long métrage. Nous nous sommes rencontrées avec des discussions très instructives autour du scénario, de ses intentions, de la manière envisagée pour filmer, et surtout de l’organisation du tournage. Les acteurs devaient pouvoir ressentir une certaine liberté, il fallait éviter de se diriger vers un plateau trop lourd techniquement parlant. L’actrice principale, June Squibb, avait 94 ans, c’était donc à nous de s’adapter à elle, plutôt que l’inverse, dans la mesure du possible…
L’agenda du mercredi 21 mai
L’agenda de Cannes
- Les films AFC
- Sélection officielle, Compétition
- Romería, de Carla Simón, photographié par Hélène Louvart, AFC, projection à 15h, au Grand Théâtre Lumière
- Un texte d’Hélène Louvart est à venir
- Le film sera de nouveau projeté le jeudi 22 mai à 14h, Salle Agnès Varda
- Les films non AFC
- Sélection officielle, Compétition
- Sentimental Value, de Joachim Trier, photographié par Kasper Tuxen, DFF, projection à 11h, Salle Debussy
- Quinzaine des Cinéastes
- Les Filles désir, de Prïncia Car, photographié par Raphaël Vandenbussche, projection à 19h30, Salle Agnès Varda
- Un texte de Raphaël Vandenbussche est à venir
- Hors compétition, Cannes Première
- Connemara, d’Alex Lutz, photographié par Éponine Momenceau, projection à 14h, salle Debussy.
Marine Atlan, cinematographer, and Pierre Mazoyer, colorist for "The Girl in the Snow", by Louise Hémon By Hélène de Roux for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Embodying the Enlightenment and early female emancipation, the resolute and not God-fearing Aimée (Galatea Belluggi) sets up her books and planisphere in a stable turned into school, in the hollow of an Alpine valley circled by slopes and the shade of fir trees. Coldly received by a handful of local families, only the youngest of whom speak French, the young teacher is confronted with darkness, both literal and metaphorical, but also with the burning experience of a sensuality that is both an extension of Rationality and the bearer of a curse. Filmed over eight winter weeks by Marine Atlan in a 1.33 aspect ratio favoring both portraits and peaks, this cruel Maupassant-style tale follows Aimée’s physical and mental evolution as close as possible to the skins and to flames, with all the rigor and clarity of a film that has found its language.
(HdR)
Marine Atlan, cheffe opératrice, et Pierre Mazoyer, étalonneuse, nous parlent de "L’Engloutie", de Louise Hémon Par Hélène de Roux pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Telle une incarnation des Lumières et d’une émancipation féminine précoce, la résolue et laïque Aimée (Galatea Belluggi) installe ses livres et son planisphère dans une étable qui servira d’école, au creux d’un vallon alpin encerclé par les pentes et l’ombre des sapins. Accueillie froidement par les quelques familles locales dont seuls les plus jeunes parlent français, la jeune institutrice fait face à l’obscurité, littérale et métaphorique, mais fait aussi l’expérience brûlante d’une sensualité à la fois prolongement de la Raison et porteuse de malédiction. Filmé sur huit semaines d’hiver par Marine Atlan dans un ratio 1,33 favorisant les portraits comme les cimes, ce conte cruel à la Maupassant fait ressentir l’évolution physique et mentale d’Aimée au plus près des peaux et des flammes, avec toute la rigueur et l’évidence d’un film qui a trouvé son langage.
(HdR)
Sélection officielle du Festival de Cannes 2025, 78e édition

Festival de Cannes 2025
La Sélection officielle de la 78e édition du Festival de Cannes, qui se tiendra du 13 au 24 mai 2025, a été annoncée le 10 avril par Iris Knobloch, présidente, et Thierry Frémaux, délégué général. Parmi les films sélectionnés, quatorze ont été photographiés par des membres de l’AFC. Informations diverses...
Berlin Festival 2025 Sébastien Buchmann, AFC, discusses the shooting of "Ari", by Léonor Serraille "Ari’s Gentleness", by François Reumont for the AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie
After Jeune femme (Caméra d’or at Cannes in 2017) and Petit frère, French filmmaker Léonor Serraille now offers a portrait of a young man, portrayed by Andranic Manet, who plays the lead role. Ari is a character full of contradictions who is navigating between malaise and hope, and who suddenly discovers a role in his life that he hadn’t anticipated. Sébastien Buchmann, AFC, is responsible for the images in this film, produced by Arte as part of a series on youth. (FR)
La Journée internationale des droits des femmes accompagnée par le magazine "Cinematography World"

Revue de presse
Samedi 8 mars 2025, le magazine britannique Cinematography World a accompagné la Journée internationale des droits des femmes en faisant partager des articles qui mettent en lumière le travail remarquable de huit directrices de la photographies de par le monde à travers un de leurs films les plus récents. Coup de projecteur sur Tasha Back, Alice Brooks, ASC, Cecile Embleton et Alys Tomlinson, Judith Kaufmann, BVK, Suzie Lavelle, ISC, BSC, Hélène Louvart, AFC, Polly Morgan, ASC, et Nanu Segal, BSC.
Festival de Berlin 2025 Sébastien Buchmann, AFC, nous parle du tournage de "Ari", de Léonor Serraille "La douceur d’Ari", par François Reumont, pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Après Jeune femme (Caméra d’or à Cannes en 2017) et Petit frère, la cinéaste française Léonor Serraille propose cette fois-ci le portrait d’un jeune homme porté par Andranic Manet, qui interprète le rôle principal. Ari est un personnage tout en contradictions qui navigue entre mal-être et espoir, et qui va soudain découvrir un rôle dans sa vie qu’il n’avait pas prévu. C’est Sébastien Buchmann, AFC, qui signe les images de ce film, produit par Arte dans le cadre d’une collection sur la jeunesse. (FR)
Festival de Berlin 2025 Manu Dacosse, SBC, évoque les défis techniques de "Reflet dans un diamant mort", d’Hélène Cattet et Bruno Forzani "Permis de briller", par François Reumont, pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Le couple formé par Hélène Cattet et Bruno Forzani produit, film après film, une œuvre singulière dont le cinéma bis des années 1960 et 1970 constitue la pierre angulaire. Reflet dans un diamant mort ne déroge pas à la règle dans leur filmographie. Plaçant au centre de l’affiche des yeux masqués de cuir noir tout droit issus de Danger Diabolik, de Mario Bava (1968), c’est en ligne de mire des bandes dessinées transalpines et films bis d’espions de cette époque (aussi appelés James Bond spaghetti) que Manu Dacosse, SBC, a pointé la caméra. Retour sur ce film très graphique qui est en sélection officielle en compétition à la Berlinale 2025. (FR)
Articles (1)
Stephan Massis, AFC, parle de deux tournages en Zeiss Supreme Radiance

Optiques
Série noire filmée à deux caméras mobiles en Forêt-Noire d’un côté, drame caniculaire provençal cadré au cordeau sur tête à manivelles de l’autre, la série en 4x52 mn "Les Disparus de la Forêt-Noire" (lauréate du Grand prix du Festival Polar de Cognac), d’Ivan Fegyvères, et le téléfilm Une confession, réalisé par Hélène Fillières, pourraient difficilement être plus éloignés l’un de l’autre en termes visuels – sans parler de la température ambiante. Ces différences n’ont pas empêché leur directeur de la photographie commun, Stephan Massis, AFC, de choisir les mêmes Zeiss Supreme Radiance conjugués à une Sony Venice pour les filmer. Devant les images projetées sur le grand écran d’Amazing Digital en compagnie de Fred Savoir, étalonneur sur les deux projets, il nous a expliqué comment cette expérimentation a porté ses fruits.
Films (6)
Volontaire
de Hélène Fillières
Produit par Albertine Productions, Gaumont Production, France 2 Cinéma
Photographié par
Eric Dumont, AFC
Une histoire d’amour
de Hélène Fillières
Photographié par
Christophe Beaucarne, AFC , SBC
Les Papas du dimanche
de Louis Becker
Photographié par
Stephan Massis, AFC
Coupable
de Laetitia Masson
Photographié par
Antoine Héberlé, AFC
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