Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
Jacques Vergès
Interprétation
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Articles (2)
Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder Sélection officielle, Un Certain Regard

Entretiens avec des directeurs de la photographie
L’Avocat de la terreur (Terror’s Advocate) directed by Barbet Schroeder, cinematography by Caroline Champetier, AFC

festival de Cannes 2007
L’Avocat de la terreur was shot discontinuously over several months.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
Articles (30)
Jacques Perrin has left us… By Eric Guichard, AFC

Jacques Perrin
Jacques, you’ve gone and joined your partner and our mutual friend Luc Drion, who had left us much too soon, and I am sure that both of you will have impassioned discussions while you watch us muddling about during these difficult times for cinema, for politics, and for the future of planet Earth.
Décès du directeur de la photographie Jean-Jacques Bouhon, AFC

Jean-Jacques Bouhon
Les directeurs de la photographie de l’AFC ont la profonde tristesse de faire part du décès de leur confrère et ami Jean-Jacques Bouhon, AFC, survenu mercredi 27 septembre 2017 des suites d’une grave maladie, à l’âge de soixante-dix ans. A côté de son travail photographique – du cadre de 3 hommes et un couffin, de Coline Serreau, aux images de La Vérité si je mens, de Thomas Gilou, en passant par celles de Lune froide, de Patrick Bouchitey, ou de La Soule, de Michel Sibra –, et de ses grandes qualités humaines, Jean-Jacques aura beaucoup œuvré au sein de notre association, du département Image de La fémis et de la CST.
Jacques Perrin, an exceptional human being By Michel Benjamin, AFC

Jacques Perrin
As was the case for many of us, Jacques Perrin’s death deeply affected me. He’s one of those people you believe are immortal given the space they take up in your life and the guidance they provide you. He helped me trace my own path starting with Winged Migration.
Jacques Loiseleux, au regard doux et bienveillant Par Antoine Héberlé, AFC
Jacques Loiseleux
J’ai rencontré Jacques Loiseleux pour la première fois en 1997 au festival de Grenoble, ma ville d’origine. Quelle chaleur, quelle écoute attentive pour le jeune directeur de la photo que j’étais. Impressionné par la carrière de Jacques et la beauté de son travail sur les derniers film de Maurice Pialat, j’avais enfin l’occasion d’échanger en toute simplicité avec un prestigieux confrère.
Jacques Baratier nous a quittés

Jacques Baratier
Le cinéaste Jacques Baratier est mort à Antony le 27 novembre d’un arrêt cardiaque à l’âge de 91ans.
Né en 1918 à Montpellier, Jacques Baratier découvre le cinéma en 1947 alors que, au cours d’un séjour en Afrique, il se fait embaucher comme assistant sur un tournage rencontré par hasard.
Né en 1918 à Montpellier, Jacques Baratier découvre le cinéma en 1947 alors que, au cours d’un séjour en Afrique, il se fait embaucher comme assistant sur un tournage rencontré par hasard.
The International Community pays its respects to Jacques Monge By Laurent Andrieux for the AFC

Jacques Monge
Jacques’ friends who were also eminent Steadicam cameramen sent us warm messages. His friends Garrett Brown – the inventor of the Steadicam® –, Chris Fawcett, Dan Kneece, Ruben Sluijter, Alessandro Brambilla, as well as Jack Churchill (Ted Churchill’s brother), and, from France, Loïc Andrieu, Philippe Bordelais, and Jake Russell – a cameraman that Jacques trained over the last few years and who filmed Frédéric Ducomet-Boquier’s film Steadicam Paradox(e)– all paid tribute to a man who never stopped training, advising, and supporting Steadicam operators who are passionate about their profession, and who are today the world’s best in the field, including his own son, Valentin. Régis Prosper, of Cartoni France, the current importer of the Steadicam and an associate member of the AFC, also shared his memories with us.
Jacques Loiseleux ou générosité et humanité dispensées Par Pierre Novion, AFC

Jacques Loiseleux
Certaines expériences cinématographiques créent une vraie complicité entre nous, techniciens qui y participons. Ce fut le cas de deux tournages auxquels j’ai participé en collaborant, comme premier assistant, avec Jacques Loiseleux.
Le Micro Salon vu par Jean-Jacques Bouhon, AFC

2011
Lors du dernier Micro Salon, Eric Dumage, AFC, et Jean-Jacques Bouhon, AFC, s’étaient chargés de la préparation et du bon déroulement des projections en salle Jean Renoir. L’appareil photographique à portée de main et de regard, JJB a pris quelques instantanés des activités du 2e étage, entre autres, et des coulisses en cabine de projection. En voici quelques images...
Le directeur de la photographie Jacques Loiseleux, AFC, nous a quittés

Jacques Loiseleux
C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la nouvelle du décès, lundi 17 mars 2014, de notre confrère directeur de la photographie Jacques Loiseleux, AFC. A la fois l’un des membres fondateurs de l’association, l’un de ses piliers, l’une de ses âmes, Jacques en fut le secrétaire général pendant une dizaine d’années et l’un des vice-présidents. Il avait quatre-vingt-un ans.
Articles (2)
L’Avocat de la terreur (Terror’s Advocate) directed by Barbet Schroeder, cinematography by Caroline Champetier, AFC

festival de Cannes 2007
L’Avocat de la terreur was shot discontinuously over several months.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
With the ongoing investigation, informations would keep coming in, which made for incredibly suspenseful meetings and constantly provoked new encounters.
Two lengthy interviews were conducted with Jacques Vergès at a few months interval, but the high point of the shooting was the trip to Algiers.
Caroline Champetier parle de son travail sur "L’Avocat de la terreur" de Barbet Schroeder Sélection officielle, Un Certain Regard

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Le tournage de L’Avocat de la terreur s’est déroulé sur plusieurs mois de façon discontinue.
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".
L’enquête n’a jamais cessé, les informations arrivaient, donnant un suspens formidable à chaque rencontre et provoquant d’autres rencontres.
Il y a eu deux entretiens en longueur avec Jacques Vergès distants de quelques mois, mais le moment fort du tournage a été le voyage à Alger. Très vite, il a été clair que tout partait de la guerre d’Algérie, des premiers attentats du FLN répondant à ceux de l’OAS, des condamnés à mort algériens, du collectif d’avocats mis en place par Jacques Vergès et d’autres avocats français et algériens, de la conceptualisation par Vergès de " la défense de rupture ".