Jeanne Lapoirie

Direction de la photographie

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Articles (30)

Entretien avec Jeanne Lapoirie, AFC, à propos de son travail sur "Cigare au miel", de Kamir Aïnouz
Selma et les cigares

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Cigare au miel est le premier film de la réalisatrice Kamir Aïnouz (à ne pas confondre avec son demi-frère, aussi réalisateur, Karim Aïnouz). Entre récit autobiographique et tranche d’histoire moderne, ce long métrage propose le portrait de Selma, une jeune fille parisienne d’origine kabyle qui découvre sa liberté sexuelle. Le tout dans le contexte du début des années 1990, avec en arrière-plan la montée de l’islamisme radical en Algérie. Portrait de femme filmé par un duo de femmes (Jeanne Lapoirie, AFC, est elle-même à l’image), ce film est aussi l’occasion de mettre en scène les relations difficiles entre les générations d’une famille maghrébine aisée, partagée entre modernisme et traditions. (FR)

Jeanne Lapoirie, AFC, discusses her work with Paul Verhoeven on "Benedetta"
Nuns and Lux, by François Reumont, for the AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Jeanne Lapoirie, AFC, didn’t expect to bring the new film by the director of Basic Instinct to the screen, as her long career as a cinematographer had never brought her into contact with such a Hollywood legend. Jeanne Lapoirie discusses Benedetta, one of the most anticipated films of the 74th annual Cannes Film Festival. (FR)

La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Michael Kohlass", d’Arnaud des Pallières

Les entretiens au Festival de Cannes

C’est pour un deuxième entretien que nous retrouvons Jeanne Lapoirie cette année à Cannes puisqu’elle a éclairé deux films en Sélection officielle sur la Croisette : Un château en Italie, de Valeria Bruni Tedeschi, et Michael Kohlhaas, d’Arnaud des Pallières. Elle évoque ici cette deuxième collaboration avec un réalisateur qui nous avait étonné avec Parc, en 2009. Sur Parc, Jeanne avait créé une lumière assez travaillée et présente. Sur Michael Kohlass, elle sublime la lumière naturelle pour rendre toute la rudesse et l’âpreté de ce scénario. (BB)

Jeanne Lapoirie, AFC, évoque sa collaboration avec Paul Verhoeven sur "Benedetta"
Des nonnes et des lux, par François Reumont, pour l’AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Porter à l’écran le nouveau film du réalisateur de Basic Instinct, c’était très inattendu pour Jeanne Lapoirie, AFC, dont la longue expérience de directrice de la photo ne l’a pourtant jamais mise en contact avec une telle légende d’Hollywood. Jeanne Lapoirie revient sur Benedetta, un des films les plus en vue de ce 74e Festival de Cannes ... (FR)

La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Le Procès de Viviane Amsalem", de Ronit et Sholmi Elkabetz

Les entretiens au Festival de Cannes

Après avoir débuté sa carrière de directrice photo sur les films de Téchiné (Les Roseaux sauvages, Les Voleurs), Jeanne Lapoirie éclaire plusieurs films de François Ozon (Goutes d’eau sur pierres brûlantes, Sous le sable, Huit femmes, Le Temps qui reste, Ricky) et de Valeria Bruni Tedeschi (Il est plus facile pour un chameau, Actrices, Un château en Italie). Son parcours l’amène à travailler sur des films très différents, il suffit pour s’en rendre compte de visionner Michael Kholhass, d’Arnaud des Pallières, puis Le Procès de Viviane Amsallem. Pour ce film israélien de Ronit et Sholmi Elkabetz, en sélection à la Quinzaine des réalisateurs, Jeanne Lapoirie nous confie comment elle a abordé son travail en fonction des choix radicaux des deux réalisateurs.

La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "120 battements par minute", de Robin Campillo

Les entretiens au Festival de Cannes

Le parcours de la directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, est balisé par des rencontres avec des réalisateurs très différents, allant de Téchiné à Valeria Bruni Tedeschi, en passant par Ozon, des Pallières ou les réalisateurs israéliens Ronit et Sholmi Elkabetz. Elle a éclairé les deux premiers films du scénariste et monteur de Laurent Cantet, Robin Campillo. Son premier long métrage, Les Revenants, a été adapté pour une série éponyme devenue mythique aussi bien en France qu’aux États-Unis. Après avoir réalisé Eastern Boy, Robin Campillo fait son entrée pour la première fois sur la Croisette avec, en compétition officielle, 120 battements par minute. (BB)

Jeanne Lapoirie de Ozon à Ozu

Propos et entretiens divers

Le paysage cinématographique est mutant. L’importance de bouleversements technologiques incessants n’échappe pas aux techniciens français. Les yeux de la nouvelle génération des « chefs op’ » sont souvent sans visage, quasiment sans voix. Et Jeanne Lapoirie, l’une de ses chefs de file, d’avouer elle-même « ne pas aimer parler de son travail ».
C’est pourtant à elle que nous avons demandé deux ou trois choses. Pour son parcours, symptomatique d’une position de curiosité et d’ambivalence revendiquée.

Cinematographer Jeanne Lapoirie, AFC, discusses her work on Robin Campillo’s film “120 Beats per Minute”

Les entretiens au Festival de Cannes

The career of cinematographer Jeanne Lapoirie, AFC, has been shaped by her relations with very different directors, from Téchiné to Valeria Bruni Tedeschi, Ozon to des Pallières, and Israeli directors Ronit and Sholmi Elkabetz. She designed the lighting on the first two films by Robin Campillo, Laurent Cantet’s set designer and editor. Her first feature-length film, The Returned, was made into an eponymous television series that has become a legend in both France and the United States. After directing Eastern Boy, Robin Campillo made his début at Cannes in the official competition with 120 Beats per Minute. (BB)

Articles (30)

5050 for 2020
By Jeanne Lapoirie, AFC

Festival de Cannes 2018

I was proud to be one of the 82 women who ascended the steps at Cannes, organized by the 50/50 for 2020 Collective, which is promoting more parity and equality (especially in terms of salaries) in the 7th Art. 82 women to represent the 82 women selected in the Official Competition at Cannes since it began, versus 1,688 men. With only two Golden Palms awarded to women. A very beautiful, simple and moving text was read aloud by Cate Blanchett in English and reprised by Agnès Varda in French.

Retour sur la Caméra d’or 2018
Par Jeanne Lapoirie, AFC

Festival de Cannes 2018

Il faut commencer par dire que c’est une magnifique expérience que je conseille à tout le monde d’essayer si vous en avez la possibilité. Un grand plongeon dans le cinéma. Moi qui n’allais que très rarement en salles voir des films ces derniers temps - oui, j’ai un peu honte de le dire mais c’est vrai -, ça a été un premier plaisir : voir des films sur grand écran.

Independencia
de Raya A. Martin, photographié par Jeanne Lapoirie, AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie

Raya A. Martin est un jeune réalisateur philippin très remarqué dans les festivals. Un hommage lui était consacré au dernier Festival du Réel. Ses films évoquent l’histoire de son pays sous des formes très expérimentales.
Jeanne Lapoirie l’a rencontré au Festival du documentaire de Marseille (FID) et a été séduite par son film Indio Nacional, un film en noir et blanc, muet, accompagné au piano. Après la lecture du scénario d’Independencia, elle accepte l’aventure d’un film entièrement tourné aux Philippines.

5050 pour 2020
Par Jeanne Lapoirie, AFC

Festival de Cannes 2018

J’ai fièrement participé à la très marquante montée des marches de 82 femmes, organisée par le collectif 50/50 pour 2020 en faveur de plus de parité et plus d’égalité (notamment salariale) dans le 7e art. 82 femmes pour incarner les 82 femmes sélectionnées en compétition officielle à Cannes depuis ses débuts contre 1 688 hommes. Avec seulement deux Palmes d’or décernées à des femmes. Très beau texte simple et percutant lu par Cate Blanchett en anglais et repris par Agnès Varda en français.

Décès de l’actrice et réalisatrice Ronit Elkabetz
Jean-François Hensgens, AFC, SBC, et Jeanne Lapoirie, AFC, témoignent

In memoriam

« Le regard intense, les traits taillés à la serpe, la crinière noire flamboyante. Ronit Elkabetz était le visage du nouveau cinéma israélien. Cette nouvelle vague profuse, diverse, stimulante […] a été marquée par ses rôles intenses de femmes se débattant sur le voie escarpée de l’émancipation quand la pression de la société patriarcale ne les poussait pas au bord de la folie. Le cancer contre lequel elle luttait depuis deux ans l’a emportée, mardi 11 avril, à 51 ans. » Isabelle Regnier, Le Monde, 21 avril 2016

Films (59)

Le Mohican

de Frédéric Farrucci
Produit par Koro Films, Les Films Velvet, Novoprod, Atelier de Production
Photographié par

Jeanne Lapoirie, AFC