Jean-Luc Godard
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Articles (30)
Où le directeur de la photographie Willy Kurant, AFC, ASC, évoque son travail sur "Masculin féminin", de Jean-Luc Godard

Festival de Cannes 2016
A l’occasion de la projection dans la section Cannes Classics de "Masculin féminin", de Jean-Luc Godard, le directeur de la photographie Willy Kurant, AFC, ASC, se remémore quelques souvenirs et évoque son travail de restauration chez Eclair.
Caroline Champetier se souvient de Jean-Luc Godard

Revue de presse
Dans un article daté du 14 décembre 2022 et publié sur le site Internet du quotidien britannique The Guardian, rubrique "The Observer’s obituaries of 2022", la directrice de la photographie Caroline Champetier, AFC, évoque ses souvenirs de Jean-Luc Godard.
Coutard, “First Name : Raoul” Raoul Coutard has passed away

Raoul Coutard
Raoul Coutard has passed away ! The famous cinematographer and director left this world on Tuesday, 8 November 2016, near Bayonne, at the age of 92. With his passing, a major figure of the cinematography world of the last sixty years – from 1956 with Pierre Schoendoerffer’s La Passe du Diable to 2001 (Philippe Garrel’s Sauvage Innocence) – has taken his last bow.
Coutard, "Prénom Raoul" Raoul Coutard nous a quittés

Raoul Coutard
Raoul Coutard s’en est allé ! Le célèbre directeur de la photographie et réalisateur s’est éteint, mardi 8 novembre 2016, près de Bayonne, à l’âge de quatre-vingt-douze ans. Avec sa disparition, c’est l’acteur majeur d’un large champ de la photographie de cinéma des soixante dernières années – qu’il a couvert entre 1956 (La Passe du diable, de Pierre Schoendoerffer) et 2001 (Sauvage innocence, de Philippe Garrel) – qui tire une dernière fois sa révérence.
"Godard, seul le cinéma", de Cyril Leuthy Par Gertrude Baillot, AFC

Le Festival de Venise
C’est en 2018 que Cyril Leuthy m’a proposé pour la première fois de collaborer à l’un de ses films, L’Adieu à Solférino. Depuis, nous avons tourné trois autres documentaires ensemble dont notamment Melville, le dernier Samouraï et cette année, Godard seul le cinéma, sélectionné à Venice Classics à la Mostra de Venise.
Interview with cinematographer Guillaume Schiffman, AFC, about his work on Michel Hazanvicius’ film "Redoubtable" "Shooting Godard", by François Reumont

Les entretiens au Festival de Cannes
This unexpected biopic on Jean-Luc Godard’s life was a brave project by Michel Hazanavicius. The movie lover and director of hit comedies OSS 117 and The Artist decided to pay a trenchant tribute to the internationally-renowned symbol of the Nouvelle Vague.
Shooting this out-of-the-ordinary film suddenly took on a personal and emotional dimension for Guillaume Schiffman, AFC, because of the family relationship between him and the emblematic director of the Nouvelle Vague.
Shooting this out-of-the-ordinary film suddenly took on a personal and emotional dimension for Guillaume Schiffman, AFC, because of the family relationship between him and the emblematic director of the Nouvelle Vague.
A propos du "Redoutable", de Michel Hazanavicius, photographié par Guillaume Schiffman, AFC "Filmer Godard", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes
Un projet courageux que cet inattendu biopic consacré à Jean-Luc Godard de la part de Michel Hazanavicius. Ce réalisateur de comédies à succès (OSS 117, The Artist), et cinéphile a décidé de rendre un hommage mordant à l’icône mondiale de la nouvelle vague. Pour Guillaume Schiffman, AFC, le tournage de ce film pas comme les autres a soudain pris une dimension personnelle et sentimentale en raison des liens familiaux qui unissent le chef opérateur au réalisateur emblème de la nouvelle vague.
L’éditorial de décembre 2023 "Retour de festivals", par Jean-Marie Dreujou, AFC, Agnès Godard, AFC, Rémy Chevrin, AFC

Editoriaux de la Lettre
Après le festival Manaki Brothers, en Macédoine du Nord, l’AFC était présente au festival Camerimage, à Toruń en Pologne, avec Agnès Godard, présidente du jury de la "Polish Competition", Rémy Chevrin, membre du jury de la "Cinematographer’s Debuts Competition", et j’étais au côté d’Agnès dans la "Polish Competition".
Articles (30)
Sébastien Buchmann, AFC, accompagne à l’image "Maria", de Jessica Palud Par Brigitte Barbier pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024
Adapté du récit de Vanessa Schneider, Tu t’appelais Maria Schneider, Jessica Palud réalise son deuxième long métrage, Maria, et décrit les débuts destructeurs de la comédienne Maria Schneider. À travers la reconstitution d’une scène qui a fait scandale dans le film de Bernardo Bertollucci Le Dernier tango à Paris sorti en 1972, la réalisatrice dénonce la domination et l’abus de pouvoir dans le milieu du cinéma, sujet devenu d’une grande et nécessaire actualité. L’image du film, proposée par le directeur de la photo Sébastien Buchmann, AFC, accompagne subtilement ces années seventies et nous fait revisiter les plateaux de cette époque. Il revient sur cette expérience d’autant plus passionnante pour un homme d’image. Maria est présenté en Sélection officielle, Cannes Première, au Festival de Cannes 2024. (BB)
Sébastien Buchmann, AFC, accompanies the image on Jessica Palud’s film "Maria" By Brigitte Barbier for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2024
An adaptation of Vanessa Schneider’s story Tu t’appelais Maria Schneider, Jessica Palud’s second feature film, Maria depicts the destructive beginnings of actress Maria Schneider’s career. Through the reconstruction of a scene which caused a scandal in Bernardo Bertollucci’s 1972 film Last Tango in Paris, the director condemns domination and the abuse of power in the film industry, a subject that has become highly relevant and necessary. The cinematography, by Sébastien Buchmann, AFC, is a subtle reminder of the seventies, and revisits the film sets of that era. He reflects on this particularly captivating experience as a cinematographer. Maria is presented in the Official Selection, Cannes Première, at the Cannes 2024 Festival. (BB)
A propos des "Silences de Johnny", documentaire de Pierre-William Glenn, AFC

Les entretiens au Festival de Cannes
Lorsqu’on interroge quelqu’un sur la carrière de Johnny Hallyday au cinéma, rares sont les personnes, même les fans, qui peuvent lister plus de cinq films sur les trente-quatre qu’il a interprétés. Et pourtant sa carrière d’acteur a commencé avant celle de chanteur, en 1954, dans Les Diaboliques, de Henry-Georges Clouzot. Il est même probable que Johnny ait découvert Elvis Presley et le Rock’n’roll en voyant Loving You (Amour frénétique) au cinéma à l’âge de 14 ans.
Editorial de la Lettre de février 2020 Par Gilles Porte, président de l’AFC

Editoriaux de la Lettre
« Qu’est-ce que c’est, dégueulasse ? »
« Dégueulasse », c’est évoquer la qualité des images censées « mettre en lumière le travail des techniciens français, reconnus à l’international »* et faire dégueuler, en boucle, une bouillie de pixels carrés surexposés sur un écran qu’il eut été plus élégant de laisser immaculé, lors de la remise des Trophées César & Techniques, mardi 7 janvier...
« Dégueulasse », c’est évoquer la qualité des images censées « mettre en lumière le travail des techniciens français, reconnus à l’international »* et faire dégueuler, en boucle, une bouillie de pixels carrés surexposés sur un écran qu’il eut été plus élégant de laisser immaculé, lors de la remise des Trophées César & Techniques, mardi 7 janvier...
Parution de "Georges Pierre - Profession : photographe de plateau - 100 ans 100 films" Un ouvrage de Laurence de Geyer, Laurent Benyayer, Philippe Sichler

Livres et revues
Roger Corbeau, Raymond Cauchetier, Jean-Marie Leroy, Emmanuel Lowenthal, Vincent Rossell, Raymond Voinquel, Bob Willoughby ou encore Pierre Zucca sont des photographes de plateau reconnus, même si l’on connaît moins les publications dont ils ont fait l’objet. On saluera ainsi la récente parution de Georges Pierre – Profession : photographe de plateau – 100 ans 100 films, reflet de trois décennies (1960-1990) d’un regard posé avec humour et tendresse sur les plateaux de cinéma.
Passing of Cinematographer Willy Kurant, AFC, ASC

Willy Kurant
We were deeply saddened to learn of the death of cinematographer Willy Kurant, AFC, ASC, in Paris on Saturday, 1st May 2021, at the age of 88. Trained in the heyday of television reporting, he described himself as the “leader of the second group of the New Wave”. He was a daring and eclectic cinematographer whose career, in France and in the USA, lasted over sixty years. His work was recognized on films by directors as different as Agnès Varda, Jean-Luc Godard, Jerzy Skolimowski, Orson Welles, Serge Gainsbourg, Maurice Pialat, and Philippe Garrel in recent years.
Le directeur de la photographie Willy Kurant, AFC, ASC, nous a quittés

Willy Kurant
Nous avons appris avec une profonde tristesse la nouvelle du décès du directeur de la photographie Willy Kurant, AFC, ASC, survenu à Paris samedi 1er mai 2021, dans sa quatre-vingt-huitième année. Formé à la grande époque du reportage TV, s’étant lui-même qualifié de « chef de file du deuxième groupe de la Nouvelle Vague », opérateur éclectique et audacieux dont la carrière, en France et aux Etats-Unis, s’est déroulée sur quelque soixante ans, son travail aura été remarqué sur des films de cinéastes aussi divers qu’Agnès Varda, Jean-Luc Godard, Jerzy Skolimowski, Orson Welles, Serge Gainsbourg, Maurice Pialat ou encore Philippe Garrel, plus récemment.
"Godard / Machines", dirigé par Antoine de Baecque et Gilles Mouëllic A paraître le 20 novembre 2020

Livres et revues
"La Machine Cinéma", une exposition proposée par la Cinémathèque française fin 2016, reste un souvenir marquant. Godard / Machines, ouvrage dirigé par d’Antoine de Baecque et Gilles Mouëllic, rappelle quant à lui que les films de Jean-Luc Godard semblent parcourir et interroger sans cesse les liens entre cinéma et machines, de l’imposante caméra Mitchell BNC qui ouvre Le Mépris (1963) à l’installation vidéo de Numéro deux (1975), du ballet de caméras montées sur des grues devant les tableaux de Passion (1982) aux images de défilement de la pellicule qui ponctuent les Histoire(s) du cinéma (1988-1998).
Merde de Leos Carax, un des trois chapitres de "Tokyo !" photographié par Caroline Champetier, AFC

Entretiens avec des directeurs de la photographie
Tokyo ! est une trilogie cinématographique ayant pour décor la ville de Tokyo. Trois réalisateurs évoquent la capitale japonaise par des moyens métrages très personnels : Michel Gondry avec Interior Design, Leos Carax avec Merde et le Coréen Joon-ho Bong avec Shaking Tokyo.
Caroline Champetier – collaboratrice de Jean-Luc Godard, Jacques Doillon, Benoît Jacquot, Xavier Beauvois, Nobuhiro Suwa et, récemment, d’Amos Gitaï et de Naomi Kawase – signe la photo de Merde et nous parle de sa première collaboration avec Leos Carax.
Caroline Champetier – collaboratrice de Jean-Luc Godard, Jacques Doillon, Benoît Jacquot, Xavier Beauvois, Nobuhiro Suwa et, récemment, d’Amos Gitaï et de Naomi Kawase – signe la photo de Merde et nous parle de sa première collaboration avec Leos Carax.
Films (23)
Grandeur et décadence d’un petit commerce de cinéma
de Jean-Luc Godard
Produit par TF1, Hamster Productions
Photographié par
Caroline Champetier, AFC
Les Ponts de Sarajevo
de Aida Begic, Leonardo Di Costanzo, Jean-Luc Godard, Kamen Kalev, Isild Le Besco Sergei Loznitsa, Vincenzo Marra, Ursula Meier, Vladimir Perisic, Cristi Puiu, Marc Recha, Angela Schanelec, Teresa Villaverde
Photographié par
Agnès Godard, AFC
Notre musique
de Jean-Luc Godard
Photographié par
Julien Hirsch, AFC
Eloge de l’amour
de Jean-Luc Godard
Photographié par
Christophe Pollock