Deux articles sont consacrés à Caroline Champetier et Agnès Godard dans le quotidien Libération : " Prélude à Un couple parfait par Philippe Azoury et " Agnès Godard a un grain " par Annick Peigne-Giuly.
La création sous contraintes, thème du deuxième séminaire organisé par l’ENS Louis-Lumière, s’est tenu le 22 septembre 2004, à Noisy-le-Grand. Le débat s’articulait autour de deux tables rondes, animées par Jacques Arlandis, directeur de l’Ecole : la première, Comment dialoguent technique et création ?, regroupant Jean-Jacques Bouhon, AFC, Laurent Chevallier, réalisateur, Thierry Coduys, directeur de La Kitchen, Patrick Tourneboeuf, photographe, Tendance Floue, Bernard Stiegler, directeur de l’IRCAM ; la seconde, Quels espaces la contrainte économique laisse-t-elle à la création ?, réunissant Eric Briat, directeur de la création, des territoires et des publics au CNC, Olivier Cottet-Puinel, chargé de mission cinéma à la SACD, Rémi Jacobs, EMI Classics, Stéphane Martinet, commission du film Ile-de-France, Mariana Otero, réalisatrice.
Il faut désormais chercher pour dénicher un touriste qui ne soit pas équipé d’un appareil photo numérique, qu’il tient souvent, de façon caractéristique, non collé à l’œil mais à bout de bras. Adieu les fameux " instants décisifs " qu’Henri Cartier-Bresson traquait avec son Leica et sa pellicule noir et blanc. Les photographes du XXIe siècle rompent avec le processus chimique.
La refonte du périmètre des annexes 8 et 10 est un des éléments du chantier visant à élaborer une réforme de l’assurance-chômage des artistes et techniciens qui devra aboutir avant la fin de l’année 2005.
La première partie du rapport de Jacques Charpillon est consacrée à l’histoire du régime des intermittents et à son extension. La création d’un régime dérogatoire pour les artistes et techniciens du spectacle date des années 1960.
Lors du Conseil national des professions du spectacle (CNPS) qui s’est tenue le 30 septembre, rue de Valois, Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la culture et de la communication, a rejeté plusieurs propositions du rapport provisoire de Jacques Charpillon relatif à la refonte du champ des annexes 8 et 10.
Le budget de la culture augmente de 5,9 %, soit un budget d’un montant de 2,787 milliards d’euros pour 2005 contre 2,632 en 2004. Le spectacle vivant (théâtre, musique, danse) et le patrimoine sont les deux priorités de ce budget 2005.
Lors de l’ouverture de l’exposition Villette Numérique 2004, le ministre de la culture et de la communication, Renaud Donnedieu de Vabres, a annoncé divers chantiers dans le secteur numérique.
Elizabeth Prouvost, directrice de la photographie, et sa sœur Françoise Prouvost, ont ensemble fait œuvre de fourmi et de cigale pour réunir 100 Portraits Imaginaires de personnalités contemporaines.
Notre ami et vice-président Jacques Loiseleux vient de publier un ouvrage sur notre spécialité, édité par les Cahiers du cinéma et le CNDP, dans la collection "Les petits cahiers" plus particulièrement destinée aux élèves des collèges et lycées.
Nous avions publié dans la Lettre 131, avril 2004, une lettre ouverte de l’AFC à Monsieur le ministre de la culture au sujet du fait que les heures d’enseignement dispensées par les techniciens n’étaient plus prises en compte dans la nouvelle réglementation de l’Assedic pour le calcul des heures travaillées. Nous avons reçu une réponse de Monsieur David Kessler, directeur général du CNC, dans une lettre datée du 20 juillet 2004.
Avec Geneviève Mnich, Teresa Ovidio et Jean-Marie Galey
Daniel Keene a écrit des petites histoires sensibles et drôles qui parlent de l’état du monde sans fioriture ni anecdote. On a l’impression d’entrouvrir le cerveau de personnes qui parlent à haute voix et de voir leurs paroles s’échapper. Une parole qui a la volatilité de la parole perdue. (Maurice Bénichou)
« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective " business ", soyons réalistes : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit...
A l’initiative du cinéaste Jean-Louis Comolli et du producteur Gérald Colas, la question du cinéma en prison a suscité deux jours de débats passionnants. Depuis presque vingt ans, les associations Lieux interdits (aux Baumettes, à Marseille) et Les Yeux de l’ouïe (à la Santé, à Paris) font collaborer détenus et intervenants extérieurs sur des projets liés à l’image.
Voilà le projet que nous avons concocté, Jean-Jacques Bouhon, Jean-Noël Ferragut et moi : faire vraiment vivre cette rubrique, à la fois sur papier et sur le site de l’AFC. A l’origine, il y avait ce pamphlet, Envisager le cinéma autrement, par lequel je prétendais lancer un mouvement de réflexion qui devait dépasser les considérations sectorielles, strictement structurelles ou techniques, universitaires ou critiques.
Le 5 mai, le ministre de la Culture, Renaud Donnedieu de Vabres, avait annoncé la création d’un « fonds spécifique et provisoire » visant à indemniser les comédiens et techniciens exclus de l’assurance chômage par la nouvelle convention entrée en vigueur le 1er janvier.