Arnaud des Pallieres
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Articles (8)
Le directeur de la photographie Julien Hirsch, AFC, parle de son travail sur "Nos années folles", d’André Téchiné

Les entretiens au Festival de Cannes
Julien Hirsch, AFC, avait éclairé Les Temps qui changent, d’André Téchiné, et collaborait déjà avec Jean-Luc Godard et Arnaud des Pallières lorsqu’il remporta le César de la Meilleure photographie en 2007 pour Lady Chatterley, de Pascale Ferran. C’est pour Nos années folles qu’il collabore pour la 7e fois avec André Téchiné qui, pour ce nouveau film d’époque, prend de grandes libertés avec la chronologie du récit. Avec pas moins de 38 films à son actif, un hommage est rendu au réalisateur par la sélection de ce dernier long métrage au 70e Festival de Cannes (BB).
Entretien avec le directeur de la photographie Yves Cape, AFC, SBC, à propos de son travail sur "Les Filles d’Avril", de Michel Franco

Les entretiens au Festival de Cannes
Yves Cape, AFC, SBC, a commencé sa carrière avec Bruno Dumont puis il a collaboré avec Claire Denis, Patrice Chéreau, Cédric Khan, Guillaume Nicloux et dernièrement avec Arnaud des Pallières. En 2014, il rencontre le réalisateur mexicain Michel Franco avec lequel il tourne à Los Angeles Chronic, qui remporte le Prix du scénario à Cannes en 2015. Pour ce 70e Festival, le réalisateur revient à Cannes avec Las hijas de Abril (Les Filles d’Avril) en sélection à Un certain regard.
31e édition du Festival international du film francophone de Namur

Autres festivals
Le Festival international du film francophone de Namur, qui s’est déroulé du 30 septembre au 6 octobre 2016, représente, à travers ses différents programmes, toute la diversité de la Francophonie. Présidé par Bouli Lanners et composé de Marguerite Abouet, Jérôme Bonnell, Sandrine Bonnaire, Tudor Giurgiu, Niels Schneider et Eileen Hofer, le jury de la compétition internationale a décerné le Bayard d’or du Meilleur film à Orpheline, d’Arnaud des Pallières, photographié par Yves Cape, AFC, SBC.
La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Le Procès de Viviane Amsalem", de Ronit et Sholmi Elkabetz

Les entretiens au Festival de Cannes
Après avoir débuté sa carrière de directrice photo sur les films de Téchiné (Les Roseaux sauvages, Les Voleurs), Jeanne Lapoirie éclaire plusieurs films de François Ozon (Goutes d’eau sur pierres brûlantes, Sous le sable, Huit femmes, Le Temps qui reste, Ricky) et de Valeria Bruni Tedeschi (Il est plus facile pour un chameau, Actrices, Un château en Italie). Son parcours l’amène à travailler sur des films très différents, il suffit pour s’en rendre compte de visionner Michael Kholhass, d’Arnaud des Pallières, puis Le Procès de Viviane Amsallem. Pour ce film israélien de Ronit et Sholmi Elkabetz, en sélection à la Quinzaine des réalisateurs, Jeanne Lapoirie nous confie comment elle a abordé son travail en fonction des choix radicaux des deux réalisateurs.
"Un film se fait tout seul" Des propos de Jeanne Lapoirie, AFC
Propos et entretiens divers
A l’occasion de la récente sortie en salles de Michael Kohlhaas, le film d’Arnaud des Pallières que Jeanne Lapoirie, AFC, a photographié, l’hebdomadaire Le Nouvel observateur (17-23 août 2013) et Sophie Grassin ont demandé à la directrice de la photographie de « livrer sa méthode et raconter le tournage du film ».
L’agenda du vendredi 24 mai
Agendas
- Les films AFC du jour
- Sélection officielle, Compétition
- The Immigrant, de James Gray, photographié par Darius Khondji, AFC, ASC, projections au Grand Théâtre Lumière à 8h30, 15h et 19h30
- Le film sera de nouveau projeté le samedi 25, salle du Soixantième à 11h15
- Lire un entretien accordé par Darius Khondji à propos de son travail sur The Immigrant
- Sélection officielle, Compétition
- Michael Kohlass, d’Arnaud des Pallières, photographié par Jeanne Lapoirie, AFC, projections au Grand Théâtre Lumière à 11h30 et 22h30
- Le film sera de nouveau projeté le samedi 25, salle du Soixantième à 14h
- Lire un entretien accordé par Jeanne Lapoirie à propos de son travail sur Michael Kohlass.
- Contacts AFC
- Mathilde Demy : +33 (0)6 48 10 44 58
- Jean-Noël Ferragut : +33 (0)6 03 50 09 28
- Point de rencontre : Pavillon de la CST
La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Michael Kohlass", d’Arnaud des Pallières

Les entretiens au Festival de Cannes
C’est pour un deuxième entretien que nous retrouvons Jeanne Lapoirie cette année à Cannes puisqu’elle a éclairé deux films en Sélection officielle sur la Croisette : Un château en Italie, de Valeria Bruni Tedeschi, et Michael Kohlhaas, d’Arnaud des Pallières. Elle évoque ici cette deuxième collaboration avec un réalisateur qui nous avait étonné avec Parc, en 2009. Sur Parc, Jeanne avait créé une lumière assez travaillée et présente. Sur Michael Kohlass, elle sublime la lumière naturelle pour rendre toute la rudesse et l’âpreté de ce scénario. (BB)
La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Un château en Italie", de Valeria Bruni Tedeschi

Les entretiens au Festival de Cannes
Jeanne Lapoirie débute sa carrière en éclairant des films d’André Téchiné (Les Roseaux sauvages, Les Voleurs). Elle collabore ensuite sur plusieurs films avec François Ozon (Goutes d’eau sur pierres brûlantes, Sous le sable, Huit femmes, Le Temps qui reste et Ricky). Son parcours l’amène à travailler sur des films d’auteurs ou des films particuliers comme My Little Princess d’Eva Ionesco, Les Revenants de Robin Campillo, Independencia de Raya Martin, Parc d’Arnaud des Pallières, La Possibilité d’une île de Michel Houellebecq. C’est pour le troisième long métrage de Valeria Bruni Tedeschi, avec qui elle a travaillé depuis son premier film, Il est plus facile pour un chameau, que nous retrouvons Jeanne qui nous parle de son travail sur Un château en Italie, en Sélection officielle. (BB)
Articles (30)
Arnaud Guez looks back on the technical and aesthetic choices for "La Danse des renards" ("Dance of the Foxes"), by Valéry Carnoy "Wild Foxes", by François Reumont for the AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
With La Danse des renards (Dance of the Foxes), Valéry Carnoy tells the story of friendship between two young boys in a sports training and competition context. This debut film, selected for the Directors’ Fortnight, weaves reality and allegory, as the lives of these young boarders are divided between the training centre and an adjacent forest. Arnaud Guez, a graduate of the INSAS, is lensing this boxing film, in which very few fights are actually shown on screen... (FR)
Jacques Girault parle des enjeux visuels du film d’Alice Douard, "Des preuves d’amour" Par Margot Cavret pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Dans Des preuves d’amour, d’Alice Douard, présenté à la Semaine de la Critique, Ella Rumpf incarne une jeune femme dont l’épouse est enceinte de leur futur enfant. Femme, future mère, mais sans être enceinte, dans un 2014 qui vient tout juste de voir naître la loi autorisant le mariage homosexuel, elle tente de collecter des "preuves d’amour", des témoignages de ses proches qui lui permettront d’adopter légalement son enfant. Tout en affrontant les doutes et les inquiétudes de n’importe quel futur parent, elle doit en plus surmonter les jugements, et renouer avec sa mère, incarnée par Noémie Lvovsky, dont le témoignage sera crucial. Pour accompagner ce sujet inédit en intime, et lui apporter toute la justesse, la sensibilité et l’originalité qu’il nécessite, le chef opérateur Jacques Girault nous raconte ses choix visuels, de la préparation au tournage. (MC)
Arnaud Guez revient sur les choix techniques et esthétiques pour "La Danse des renards", de Valéry Carnoy "Wild foxes", par François Reumont pour l’AFC

Les entretiens au Festival de Cannes 2025
Avec La Danse des renards, Valéry Carnoy propose une histoire d’amitié entre deux jeunes garçons sur fond d’études sportives et de compétition. Un premier film sélectionné à la Quinzaine des Cinéastes où le réel et l’allégorie s’entrecroisent, la vie de ces jeunes internes étant partagée entre le centre d’entraînement et une forêt adjacente. C’est Arnaud Guez, diplômé de l’Insas, qui signe les images de ce film de boxe où finalement très peu de combats sont portés à l’écran... (FR)
Communiqué des étalonneuses et étalonneurs Pour une reconnaissance des métiers de l’étalonnage

Les appels à la profession
Nous, directrices et directeurs de la photo de cinéma, avons toujours eu des relations privilégiées avec les étalonneuses et les étalonneurs. Autrefois personnels intégrés au laboratoire, aujourd’hui leur statut de free lance se doit d’être pris en considération. Sans elles, sans eux, nous ne pourrions pas aller au bout de nos images. L’accès aux rushes est devenu immédiat et nous savons tous l’importance de livrer au montage, à la production, des rushes étalonnés. De même les outils d’étalonnage de plus en plus performants ainsi que le recours fréquent aux VFX nécessitent l’intervention régulière d’assistant
e s. Il nous semble juste et nécessaire de reconnaître le travail des étalonneur se s ainsi que le travail des "petites mains" indispensables à la bonne marche des travaux de finition du film. C’est pourquoi, à l’AFC, nous sommes solidaires de leurs revendications et approuvons leur communiqué.
La Journée internationale des droits des femmes accompagnée par le magazine "Cinematography World"

Revue de presse
Samedi 8 mars 2025, le magazine britannique Cinematography World a accompagné la Journée internationale des droits des femmes en faisant partager des articles qui mettent en lumière le travail remarquable de huit directrices de la photographies de par le monde à travers un de leurs films les plus récents. Coup de projecteur sur Tasha Back, Alice Brooks, ASC, Cecile Embleton et Alys Tomlinson, Judith Kaufmann, BVK, Suzie Lavelle, ISC, BSC, Hélène Louvart, AFC, Polly Morgan, ASC, et Nanu Segal, BSC.
Les récompenses les plus prestigieuses de la 97e cérémonie des Oscars ont honoré des productions tournées sur pellicule Kodak

Les Oscars
Les lauréats des Oscars 2025 pour le meilleur film (Anora), le meilleur long métrage international (I’m Still Here), le meilleur court métrage (I’m Not a Robot) et la meilleure photographie (Lol Crawley pour The Brutalist) ont tous été filmés sur pellicule Kodak.
Au palmarès de la 50e cérémonie des César

Les César
Lors de la 50e cérémonie de remise des César, vendredi 28 février 2025 à l’Olympia, les lauréats, désignés par les 4 951 membres votants de l’Académie, ont été annoncés. Emilia Pérez, Jacques Audiard et Paul Guilhaume, AFC, se sont vu chacun attribuer un de ces trois César respectifs : Meilleur film, Meilleure réalisation et Meilleure photographie. Le film ayant reçu quatre autres César : Meilleure adaptation, Meilleur son, Meilleurs effets visuels et Meilleure musique originale.
Au palmarès des BAFTA Awards 2025

BAFTA Awards
Lors de la cérémonie des 78es British Academy Film Awards, dimanche 16 février 2025, le film Conclave, d’Edward Berger, photographié par Stéphane Fontaine, AFC, a obtenu le BAFTA 2025 du Meilleur film et Emilia Prérez, de Jacques Audiard, photographié par Paul Guilhaume, AFC, celui du Film en langue non-anglophone, le BAFTA de la Photographie étant allé au film The Brutalist, de Brady Corbet, photographié par Lol Crawley, BSC.
Articles (8)
Le directeur de la photographie Julien Hirsch, AFC, parle de son travail sur "Nos années folles", d’André Téchiné

Les entretiens au Festival de Cannes
Julien Hirsch, AFC, avait éclairé Les Temps qui changent, d’André Téchiné, et collaborait déjà avec Jean-Luc Godard et Arnaud des Pallières lorsqu’il remporta le César de la Meilleure photographie en 2007 pour Lady Chatterley, de Pascale Ferran. C’est pour Nos années folles qu’il collabore pour la 7e fois avec André Téchiné qui, pour ce nouveau film d’époque, prend de grandes libertés avec la chronologie du récit. Avec pas moins de 38 films à son actif, un hommage est rendu au réalisateur par la sélection de ce dernier long métrage au 70e Festival de Cannes (BB).
Entretien avec le directeur de la photographie Yves Cape, AFC, SBC, à propos de son travail sur "Les Filles d’Avril", de Michel Franco

Les entretiens au Festival de Cannes
Yves Cape, AFC, SBC, a commencé sa carrière avec Bruno Dumont puis il a collaboré avec Claire Denis, Patrice Chéreau, Cédric Khan, Guillaume Nicloux et dernièrement avec Arnaud des Pallières. En 2014, il rencontre le réalisateur mexicain Michel Franco avec lequel il tourne à Los Angeles Chronic, qui remporte le Prix du scénario à Cannes en 2015. Pour ce 70e Festival, le réalisateur revient à Cannes avec Las hijas de Abril (Les Filles d’Avril) en sélection à Un certain regard.
31e édition du Festival international du film francophone de Namur

Autres festivals
Le Festival international du film francophone de Namur, qui s’est déroulé du 30 septembre au 6 octobre 2016, représente, à travers ses différents programmes, toute la diversité de la Francophonie. Présidé par Bouli Lanners et composé de Marguerite Abouet, Jérôme Bonnell, Sandrine Bonnaire, Tudor Giurgiu, Niels Schneider et Eileen Hofer, le jury de la compétition internationale a décerné le Bayard d’or du Meilleur film à Orpheline, d’Arnaud des Pallières, photographié par Yves Cape, AFC, SBC.
La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Le Procès de Viviane Amsalem", de Ronit et Sholmi Elkabetz

Les entretiens au Festival de Cannes
Après avoir débuté sa carrière de directrice photo sur les films de Téchiné (Les Roseaux sauvages, Les Voleurs), Jeanne Lapoirie éclaire plusieurs films de François Ozon (Goutes d’eau sur pierres brûlantes, Sous le sable, Huit femmes, Le Temps qui reste, Ricky) et de Valeria Bruni Tedeschi (Il est plus facile pour un chameau, Actrices, Un château en Italie). Son parcours l’amène à travailler sur des films très différents, il suffit pour s’en rendre compte de visionner Michael Kholhass, d’Arnaud des Pallières, puis Le Procès de Viviane Amsallem. Pour ce film israélien de Ronit et Sholmi Elkabetz, en sélection à la Quinzaine des réalisateurs, Jeanne Lapoirie nous confie comment elle a abordé son travail en fonction des choix radicaux des deux réalisateurs.
"Un film se fait tout seul" Des propos de Jeanne Lapoirie, AFC
Propos et entretiens divers
A l’occasion de la récente sortie en salles de Michael Kohlhaas, le film d’Arnaud des Pallières que Jeanne Lapoirie, AFC, a photographié, l’hebdomadaire Le Nouvel observateur (17-23 août 2013) et Sophie Grassin ont demandé à la directrice de la photographie de « livrer sa méthode et raconter le tournage du film ».
L’agenda du vendredi 24 mai
Agendas
- Les films AFC du jour
- Sélection officielle, Compétition
- The Immigrant, de James Gray, photographié par Darius Khondji, AFC, ASC, projections au Grand Théâtre Lumière à 8h30, 15h et 19h30
- Le film sera de nouveau projeté le samedi 25, salle du Soixantième à 11h15
- Lire un entretien accordé par Darius Khondji à propos de son travail sur The Immigrant
- Sélection officielle, Compétition
- Michael Kohlass, d’Arnaud des Pallières, photographié par Jeanne Lapoirie, AFC, projections au Grand Théâtre Lumière à 11h30 et 22h30
- Le film sera de nouveau projeté le samedi 25, salle du Soixantième à 14h
- Lire un entretien accordé par Jeanne Lapoirie à propos de son travail sur Michael Kohlass.
- Contacts AFC
- Mathilde Demy : +33 (0)6 48 10 44 58
- Jean-Noël Ferragut : +33 (0)6 03 50 09 28
- Point de rencontre : Pavillon de la CST
La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Michael Kohlass", d’Arnaud des Pallières

Les entretiens au Festival de Cannes
C’est pour un deuxième entretien que nous retrouvons Jeanne Lapoirie cette année à Cannes puisqu’elle a éclairé deux films en Sélection officielle sur la Croisette : Un château en Italie, de Valeria Bruni Tedeschi, et Michael Kohlhaas, d’Arnaud des Pallières. Elle évoque ici cette deuxième collaboration avec un réalisateur qui nous avait étonné avec Parc, en 2009. Sur Parc, Jeanne avait créé une lumière assez travaillée et présente. Sur Michael Kohlass, elle sublime la lumière naturelle pour rendre toute la rudesse et l’âpreté de ce scénario. (BB)
La directrice de la photographie Jeanne Lapoirie, AFC, parle de son travail sur "Un château en Italie", de Valeria Bruni Tedeschi

Les entretiens au Festival de Cannes
Jeanne Lapoirie débute sa carrière en éclairant des films d’André Téchiné (Les Roseaux sauvages, Les Voleurs). Elle collabore ensuite sur plusieurs films avec François Ozon (Goutes d’eau sur pierres brûlantes, Sous le sable, Huit femmes, Le Temps qui reste et Ricky). Son parcours l’amène à travailler sur des films d’auteurs ou des films particuliers comme My Little Princess d’Eva Ionesco, Les Revenants de Robin Campillo, Independencia de Raya Martin, Parc d’Arnaud des Pallières, La Possibilité d’une île de Michel Houellebecq. C’est pour le troisième long métrage de Valeria Bruni Tedeschi, avec qui elle a travaillé depuis son premier film, Il est plus facile pour un chameau, que nous retrouvons Jeanne qui nous parle de son travail sur Un château en Italie, en Sélection officielle. (BB)
Films (5)
Degas et moi
de Arnaud des Pallières
Produit par Les Films Pelléas
Photographié par
Jonathan Ricquebourg, AFC
Lire la fiche technique
Orpheline
de Arnaud des Pallières
Photographié par
Yves Cape, AFC
Lire la fiche technique
Michael Kohlhaas
de Arnaud des Pallières
Parc
de d’Arnaud des Pallieres
Produit par Les Films d’Ici
Photographié par
Emmanuel Machuel
Lire la fiche technique