Revue de presse

Le rapport Guillot veut réduire la précarité des intermittents
par Clarisse Fabre

Le Monde, 2 décembre 2004

Un an et demi après le début du conflit des intermittents, déclenché par la signature du protocole du 26 juin 2003, le rapport du président du Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE), Jean-Paul Guillot, devait dresser un état des lieux des annexes VIII (techniciens) et X (artistes) de l’Unedic, dont le déficit s’élevait à 828 millions d’euros en 2002 selon l’Unedic, et proposer des pistes pour sortir de la crise.

Le retour à la " date anniversaire " en 2005

Le Monde, 3 décembre 2004

Le fonds spécifique provisoire, financé par l’Etat et destiné à indemniser les intermittents exclus du protocole, devait prendre fin au 31 décembre.

RDDV annonce la publication d’une circulaire par l’UNEDIC

Le journal des spectacles, 17 décembre 2004

Dans la cadre de l’ouverture, vendredi 17 décembre, du Conseil national des professions du spectacle, Renaud Donnedieu de Vabres a présenté les 4 axes de travail qui a ses yeux devront être prioritaires dans le programme de travail des Conseils prévus en 2005.

" 9 m2 " sur le petit écran, lu dans la presse

Libération et Télérama, 17 et 22 novembre

La version télévisuelle de 9 m2, réalisé par José Césarini et notre ami Jimmy Glasberg, était programmée sur Arte en cinq épisodes du 22 au 26 novembre.
Elle a fait l’objet de nombreux articles dans la presse, dont nous vous livrons ici quelques extraits.

"Un long dimanche de fiançailles" privé du financement du CNC

La nouvelle a été rendue publique par le CNC, le 25 novembre : le tribunal administratif de Paris a décidé de supprimer l’agrément permettant de recevoir les aides publiques du compte de soutien au film de Jean-Pierre Jeunet, Un long dimanche de fiançailles.

"Lyon se rêve en star internationale du cinéma"

« Avant qu’un projet ne devienne réalité, il faut qu’il ait été un long rêve », déclare Thierry Frémaux, directeur de l’Institut Lumière et délégué général du Festival de Cannes. Sa dernière passion rime avec un rendez-vous international du film assorti d’un Prix Lumière à Lyon.

Nouvelle cuisine
par Philippe Azoury

Libération, 13 octobre 2004

Jusqu’ici, on croyait la restauration des films cantonnée aux seules cinémathèques, qui préservent chaque année sur support " safety " des milliers de mètres de négatifs nitrates, tirant au passage des internégatifs.
A ce travail de préservation et de duplication s’ajoute parfois une restauration. La restauration s’établissait autrefois hors de toute valeur marchande : c’était pour l’histoire, le prestige, le patrimoine. C’était aussi avant l’explosion du marché du DVD.

Tirer une copie, ce n’est pas faire de la restauration...
par Dominique Païni

Libération, 13 octobre 2004

« Tirer une copie, ce n’est pas faire de la restauration...
Restaurer, ça signifie retrouver le scénario, relire le roman dans le cas d’une adaptation, s’appuyer sur la presse corporatiste de l’époque et, à défaut, réécrire certains intertitres. Là, l’acte restaurateur est comparable au travail sur les fresques d’art ancien. »

Des élèves de maternelle et du primaire initiés au septième art
par Isabelle Regnier

Le Monde, 20 octobre 2004

Depuis dix ans, l’association Enfants et cinéma ouvre les yeux des écoliers sur les grands classiques du cinéma.
Maître d’œuvre d’Ecole et cinéma, dispositif placé sous la double tutelle du ministère de la culture et de l’éducation, l’association fait le lien entre des professeurs des écoles et des salles de cinéma.

Le ministère de la culture veut développer le CDD de longue durée dans le spectacle
par Clarisse Fabre

Le Monde, 19 octobre 2004

Le premier débat est officiel : lundi 18 octobre, Renaud Donnedieu de Vabres, organise " Les entretiens du spectacle vivant - paroles d’artistes et de techniciens ".
Le second débat se tient, pour l’instant, dans les coulisses. Depuis le 30 septembre, circule un rapport relatif à l’avenir du spectacle vivant qui suscite déjà de vives réactions.

Impalpable image numérique
par Michel Alberganti

Le Monde, 9 septembre 2004

Il faut désormais chercher pour dénicher un touriste qui ne soit pas équipé d’un appareil photo numérique, qu’il tient souvent, de façon caractéristique, non collé à l’œil mais à bout de bras. Adieu les fameux " instants décisifs " qu’Henri Cartier-Bresson traquait avec son Leica et sa pellicule noir et blanc. Les photographes du XXIe siècle rompent avec le processus chimique.